Dîner médiéval du nouvel an 1454

Eh bien bon retour Marquis... Ne faites point de mauvaises rencontres en chemin

Souriant à son hôte

Baron, laisser quelque chose dans ces plats serait pire que de l'impolitesse ! un vrai crime...

Rekkared fit appeler le maître-queue :

« Faites donc porter la saugée, que nous fêtions enfin cette nouvelle année qui vient de commencer ! »

L'échanson apporte et sert aux convives la saugée. Rekkared se lève et lève sa coupe :

« Bonne année à tous ! »

Vous préjugez de mes capacités stomacales, baron votre écuyer tranchant a déjà fait place nette. Votre table est comme la corne d'abondance, il faudrait une armée d'orgres pour en venir à bout !

Et saluant l'assemblée une dernière fois d'un vaste mouvement de son couvre chef,

à vous revoir, baron, adésias.

et le marquis quitta la salle suivi de ses gens.

Rekkared a écrit:

Rekkared de rigoler aussi :

« Oui, les trois servants qui sont là - écuyer-tranchant, échanson et panetier - sont ici apprentis, mais je pense il y en a bien un d'entre eux qui ne tardera pas à passer maître à son tour. Peut-être acceptera-t-il de servir dans vos cuisines ? »

Ma foi, celà serait un honneur et une chance, non pas que les cuisines de Meymac soient mal tenues, mais mon personnel se trouve être très campagnard, et quelques serviteurs d'un plus haut prestige serait atout précieux!

*Aux dires de l'hôte, la nouvelle année commencait, et il leva alors son verre*

La bonne année!

S'adressant à tous :

« Mesdames, messieurs, la nouvelle année étant et vu le travail qui m'attend aux archives du donjon, je me dois de vous quitter. Je vous remercie de votre venue et vous souhaite bon retour en vos demeures. J'espère avoir l'occasion de vous revoir en ces murs, aux archives ou lors de fêtes prochaines. »

Se levant, Paquerette fit signe aux gens de son Père qui se précipitèrent avec son manteau

Je vous remercie baron, de cette invitation... Puisse la nouvelle année être aussi succulente et agréable que votre soirée

Rekkared a écrit:

S'adressant à tous :

« Mesdames, messieurs, la nouvelle année étant et vu le travail qui m'attend aux archives du donjon, je me dois de vous quitter. Je vous remercie de votre venue et vous souhaite bon retour en vos demeures. J'espère avoir l'occasion de vous revoir en ces murs, aux archives ou lors de fêtes prochaines. »

Baron, ma visite fut fort tardive, et je ne puis qu'en exprimer mon regret.
Sachez que vos futures invitations seront les bienvenues, et que je tacherai d'y répondre présent, d'une meilleure manière que ce ne fut le cas ce soir.

Encore une fois, je vous souhaite la bonne année, et je ne doute pas que nous nous reverrons prochainement, pour parler joutes ou sigillographie, ou même de votre maitre-queue

*Il salua alors chaleureusement Rekkared, puis, vidant tout de même son verre au passage, partit, tout de même content d'être venu.*

[HRP : milles excuses pour les nombreux courants d'air qui ont dû souffler, ma traîtresse connexion m'a lâchée... Je reprends assez brièvement ^^]

Elissa, répondait à la dame Paquerette, sur le ton de la confidence :

"Je fais confiance à une jeune femme épanouie telle que vous... Tâchez de ne point fâcher notre Seigneur Aristote toutefois en vous mariant en état de péché... C'est ce qui m'est arrivé et j'en ai été pour plusieurs semaines de pénitence en retraite loin des festivités si agréables telles que celles de cette soirée !"

Enfin, reprenant sa conversation avec le Comte du Languedoc :

"Bien entendu messire, je ne souhaite point non plus me quereller ici, je ne suis ni en état de santé propre à ces petits jeux, ni en condition morale suffisament posée pour étaler nos différends. Je vous promets de passer, quand le coeur m'en dira, et sans omettre de m'annoncer, en votre demeure."

Elissa s'essuya les doigts sur la nappe avant d'entamer le met suivant. Elle en profitait de temps à autre pour féliciter son hôte ou bavarder avec insouciance avec ses voisins de table.

Vint l'heure où le maître de maison se retira, Elissa estima qu'il était temps pour elle d'en faire de même, et relevant les pans de sa robe, elle s'inclina face à l'assemblée et prit congé, non sans glisser au passage à la fille du duc de Cholet :

"Dame Paquerette, je fus heureuse de faire votre connaissance. Sachez que vous serez toujours la bienvenue sur mes terres à Malpertuis ou à Bélinay."