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| Sujet: Aldemar - TOP - Relaxe 17 mars 1455 Dim 10 Avr - 4:06 | |
| Comté du Maine
Procès pour Trouble à l'ordre public
En date du mois de février-mars 1455 Procès instruit le 20 février 1455 Verdict rendu le 17 mars 1455
Nom de l'accusé: Aldemar
Procureur: Caitline Juge: Micki
Acte d’accusation - Citation :
- Le Procureur du Tribunal Caitline agissant en vertu des pouvoirs qui lui sont conférés accuse le sieur Aldemar du crime ci-après énuméré :
Rackette. Brigandage.
Ce méfait c’est passé le 7 Novembre 1454.
En effet, celui-ci représente un acte de nuisance grave face à sa victime sieur Castin. Etant parti de Laval avec huit morceaux de viande et une quarantaine d'écus, il ne lui reste plus que les yeux pour pleurer.
Voici les preuves du rackette :
http://img171.imageshack.us/my.php?image=1iq4.jpg
Cet acte de trouble à l’ordre public, doit être sévèrement réprimandé, car il constitue une perturbation au bon ordre, à la sécurité, à la salubrité et à la tranquillité publique. Toute personne, Mainoise ou étrangère, se doit de ne pas troubler l’ordre public, sous peine de sanction.
De plus, l'acte de brigandage qui correspond à la substitution de richesses (marchandises et/ou écus) sur une personne physique (un villageois) ou morale (une institution) est un trouble à l'ordre public. Que sur une personne physique, cet acte constitue une agression sans qu'il y ait intention de tuer. L'acte de brigandage est un crime grave. Ce dossier m’a été transmis en accord avec dame Killia procureur d’Anjou.
Vous êtes la peste de votre race.
La parole est à l’accusé. Première plaidoirie de la défense - Citation :
- Non disponible
Réquisitoire de l’accusation - Citation :
- Sieur Aldemar,
Vous avez commis sur autrui ce qu'on vous avait fait. La justice en mon sens n'est pas ainsi. Nous avons une cour de justice pour cela. Vous avez brillé pas vos combats, très bien, mais chacun doit payer ses fautes. Vous avez attaqué consciemment une personne pour lui détrousser ses biens. Je demande 3 jours de prison et une amende du double du racket soit 350 écus, afin que tous sachent que le racket n'enrichit pas. Dernière plaidoirie de la défense - Citation :
- Non disponible
Verdict - Citation :
- En cette journée du 17 mars 1455, moi estimé Juge Micki du Comté du Maine, rend un verdict par la grâce du très Saint Radis aristotélicien et la haute bienveillance royale.
Messire Aldemar, levez vous donc et regardez donc la justice dans les yeux !
En ce lieu épris de justice, le tribunal va rendre donc son verdict.
Moi, Micki, Juge du Maine, je prononce la relaxe.
Puisse Arsitote souffler un peu de sa miséricorde sur votre âme !
Ainsi soit-il, et que le très Saint Radis Politais soit goulotté avant de replonger dans sa fiole sacrée et prunisée.
Micki, Juge du Maine le 17 Mars de l'an de grâce 1455 Peine - Citation :
- Le prévenu a été relaxé.
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