Archives de France, donjon de Saint-Félix
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 Andreia ( Trahison - Coupable )

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AuteurMessage
Célestine.
Archiviste
Célestine.


Nombre de messages : 83
Localisation : Carcassonne - Languedoc
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Date d'inscription : 27/02/2010

Andreia ( Trahison - Coupable ) Empty
MessageSujet: Andreia ( Trahison - Coupable )   Andreia ( Trahison - Coupable ) EmptyMar 20 Avr - 21:00

Procès ayant opposé Andreia au Comté du Languedoc

Citation :

Acte d'accusation
En ce jour du 30 Janvier 1458, Nous Bentich Procureur du Languedoc, mettons en accusation devant ce tribunal Mestra Andreïa, pour trahison envers le Comté du Languedoc.

En effet durant les nuits du 25 au 26, du 26 au 27 et du 27 au 28 Janvier 1458, Mestra Andreïa a été reconnue tentant de se révolter contre l�autorité, représentée par la mairie de Montpellier.

Voici l�article violé par l�accusé

Article 4.6.12. : Prises de château et Mairie - Toute personne ayant commis ou préparé un acte de Prises du Château Comtal ou de Mairie d'une Bonne Ville dans le Comté du Languedoc, seul ou en groupe, sur est passible de l'emprisonnement, et/ou de l�amende ou de la peine de mort.



Voici les preuves de la présence de l�accusé sur les lieux des faits

Rapport de garde

26-01-1458 04:08 : Une tentative de révolte a eu lieu devant la mairie,
et vous avez contribué à la mater. Dans la mêlée, vous avez reconnu Andreia parmi les assaillants.

27-01-1458 04:05 : Une tentative de révolte a eu lieu devant la mairie, et vous
avez contribué à la mater. Dans la mêlée, vous avez reconnu Andreia parmi les assaillants.

28-01-1458 04:06 : Une tentative de révolte a eu lieu devant la mairie, et vous avez contribué à la mater. Dans la mêlée, vous avez reconnu Andreia parmi les assaillants.

Fait aggravant, cette personne fait partie des Avocats du Dragon, ce qui veut dire qu�elle est censée représenté la justice Royale et Comtale

Je rappelle que l�accusée peut se faire aider d�un avocat pour sa défense. Avocat qui doit être reconnu par le barreau du Languedoc. Voici l�adresse où vous pouvez faire la demande

http://chateau-montpellier.discutforum.com/salle-publique-f111/

Article 3.2.3. de la loi de procèdure pénale : L�accusé peut recourir aux services d�un avocat au barreau du Languedoc, qu�il fera intervenir sous la qualité de témoin. Ce droit est reconnu à toute personne déférée devant le tribunal. L�avocat doit faire partie du barreau du Languedoc.

L�accusée peut également se faire assistée par un représentant du barreau des avocats du dragon, si bien sur ce dernier a reçu son agrément, comme le prévoit le règlement du barreau du Languedoc

Article III : Nomination des avocats
Tout languedocien peut se présenter au barreau du Languedoc comme candidat au poste d�avocat. Il devra alors passer une série d�examens, préparés par le bâtonnier du barreau.
Un examen simplifié est mis en place pour favoriser l'agrément des Avocats du Dragon, il est centré sur les spécificités du coutumier du Languedoc.


Citation :
Première plaidoirie de la défense
Votre Honneur,
Messire le Procureur,
La Cour,

Après démarches réalisées auprès de qui de droit dans le cadre de l'article préliminaire de la Loi de procédure pénale Languedocienne, visant à obtenir retranscription publique du dépôt de plaintes émis à mon encontre ayant amené le Procureur Bentich à valider la mise en accusation menée à mon encontre - demande restée sans réponse satisfaisante à ce jour - je me présente à vous, Andreia de Montjoie-Ryllas, en qualité d'accusée et donc, partie défenderesse.

Outre cette violation de mon droit le plus légitime qu'est celui d'avoir accès aux informations déposées en salle des plaintes du Castel de Montpelhier, m'empêchant par la même de vérifier si la loi de procédure pénale a été correctement respectée par l'accusation, d'aucun ne saurait me contraindre à me rendre en son enceinte - dont l'accès est gardé et nécessite droit de passage - alors que telle information devrait au contraire être mise à disposition de qui en demande l'accessibilité directe puisque faisant l'objet de divers articles de lois et autres procédures.

Aussi, et en l'absence de production des pièces demandées, il est à noter qu'à aucun moment dans l'acte d'accusation, n'est mentionné le nom du plaignant dans cette affaire, pas plus que la légitimité des témoins que le procureur à fait citer à comparaitre.

Je souhaite avant de débuter plus avant ma plaidoirie, préciser qu' on ne saurait donc juger de la recevabilité de la plainte qu'en vertue de témoignages précis, et d'une étude approfondie de la demande, voire une enquête préalable.

Je tacherais de démontrer à la Cour que ce procès n'a pas lieu d'être, tant pour un problème de forme, comme nous le verrons dans un premier temps, que pour un problème de fond, ce qui implique une relaxe incontestable en ma faveur, ainsi qu'en celle des personnes mises en accusation sous ce même motif fallacieux.

Pour débuter, je vous parlerai d'un manquement lors de la procédure d'instruction de cette affaire.

Au vu de l' Article 10 , également rappelé à l'article 20, du Code la Maréchaussée Languedocienne, il est précisé que, je cite :

" le prévôt a pour tâche de vérifier si la procédure a été respectée par ses agents avant le dépôt d�une plainte.
Il doit donc vérifier le dossier que le lieutenant ou sergent est prêt à envoyer en salle des plaintes.
Le cas échéant, il émet des remarques ou demander un complément d�enquête.
Lorsque le dossier est correct, il dépose le dossier en salle des plaintes.
En tout état de cause, le dépôt de plainte doit être fait après vérification du prévôt.
Une armoire est dédiée dans chaque bureau à ces dossiers en cours d�instruction."

Or, cette armoire n'étant pas à disposition directe des villageois, car ne se trouvant pas dans la ville même mais dans une salle fermée du château comtal, il est impossible de vérifier à nouveau si la procédure du Code sus-mentionné fut respectée par les autorités compétentes.

Auxquels s'ajoutent par ailleurs les articles 34 à 37 dudit Code, reprenant les mêmes termes, mais dans le cadre d'une saisine directe de la justice.

Or, le rendu d'une justice juste et équitable repose sur les termes d'égalité des droits devant la loi, comme spécifié à l'article 1.5.1 et 1.5.2 du Codex Languedocien dict coutumier. Qu'en conséquence, cette salle devrait, ou être supprimée au profit des brigades de villages, ou être accessible par tous languedociens, ou encore, supprimer ces points invérifiables pour le commun des mortels, du corps même des lois du languedoc.

*Andreia insiste bien sur le terme commun des mortels, regroupant tous les gueux et autres villageois et étrangers qui n'auraient aucun intérêt propre à se rendre au castel*

Je souhaiterai également rappeler à la Cour les articles 3.1.1 à 3.1.2.11 du Codex sus-cité, qui visent à rappeler le rôle de la maréchaussée et la place tenue par ses membres au sein de la hiérarchie comtale. Ils prennent leurs ordres du prévôt et / ou connétable et ne sauraient agir qu'en vertu de directives émanant de ces deux conseillers comtaux et du Comte le cas échéant. Rappel étant faits aux articles 3.1.3.8 à 3.1.3.11 du même livre de Loi.

Aussi, durant la période des faits ayant conduit à ma mise en accusation, il n'y avait aucun prévôt nommé, pas plus que de connétable et le régent en place à cette époque n'a pas donné d'ordre spécifique quant au recrutement de tels agents.

Le témoin ainsi auditionné , mestre Antimond, n'était donc pas agent de la maréchaussée recruté au nom du Comté, de même qu'après recherche, il n'est pas gens d'armes de l'Ost ou du Guet, qu'en outre, d'après les registres des embauches de la mairie de Montpellier, celui-ci ne fait pas non plus partie des civils recrutés à la sécurité civile de cette institution en tant que milicien.

Qu'en conclusion, ce dernier n'a aucune légitimité pour venir témoigner - contrairement aux termes de l'article 3.1.3.5 du Codex cité en référence - il se présente d'ailleurs lui même en qualité de simple artisan, mais au contraire, devrait faire l'objet d'une enquête quant à sa participation illégale à un groupe armé stationné devant la mairie de la capitale le cas échéant.

Si cette supposition s'avérait exacte, celui-ci n'ayant pas obtenu autorisation de voyager et/ ou stationner en groupe armé par le prévôt légitime avant les faits, qu'ensuite, nulle prévôt de régence n'était nommé, il aurait donc créée et maintenu un groupe armé en toute illégalité, malgré l'intention louable qui était d'assurer la défense de sa mairie, l'acte n'en est pas moins passible de procès. Cela est d'ailleurs défini aux articles 3.2.5.4 à 3.2.5.10 du Codex Languedocien.

*Fait de grands gestes et secoue la tête en soupirant, dépitée*

Quiconque ayant sciemment enfreint la loi, ne peut rendre de témoignage crédible au nom de cette même loi. Je tiens également à rajouter que, sur un motif fallacieux, ce sire à éhontément diffamé à mon encontre dans le cadre de son témoignage devant cette Cour.

En effet, celui-ci évoque, je cite : [..] une rare violence, tant en acte qu'en parole.

D'une part, je n'ai porté aucun coup, mon bâton me servant alors d'appui puisqu'ayant une cheville douloureuse, il m'eut été impossible d'user d'une rare violence. Que ce bâton a été utilisé comme d'un porte drapeau portant l'étendard de mon credo : vox populi vox Dei.

Quant aux paroles évoquées, il est fort dommage que notre témoin n'ait point cité mes propos outrageux et violents. Je souhaiterais souligner à la cour que je n'ai fait que répéter la devise trônant sur mon oriflamme de fortune. Que s'il plait à messire Antimond d'inventer des termes ne sortant pas de ma propre bouche, qu'il ne le fasse pas dans l'enceinte d'un tribunal, cela étant ni plus ni moins que de la diffamation comme indiqué à l'article 4.4.6 du Codex de notre Comté.

Alors, que représente le témoignage que nous donne en substance mestre Antimond ? Je laisserai cela à votre appréciation messire le Juge. A vous de vérifier la validité de la preuve avancée par la partie requérante.

J'ajouterai tout de même que, celui-ci ayant par ailleurs tenus des propos dégradant et insultant , que le témoin à des griefs personnels envers ma personne, propos tenus à la vu et su de tous en gargote, utilisant les qualificatifs suivants, je le cite de mémoire : "[..] une nuée de cloportes [...] alors les Bazin, Mazarin, Ryllas, Andreia [...] et autres avocaillons misérables [..] je vous somme de quitter nostre comté qui n'est pas le vôtre ! [..] il n'est pas le vôtre et ne le sera jamais [...]Alors quittez-là " ou encore ces gentillesses : " [...] ces méprisables personnages venus d'ailleurs [....]ces suppôts de l'hérésie et du chaos [...] ne vous laissez pas manipuler par leurs langues de vipères [..] ces crapules [...] ".

Nous ne saurions alors tenir compte de ce témoignage puisque nous pouvons mettre en doute son impartialité dans l'affaire qui nous réunie ce jour.

Enfin, je solliciterai la bienveillance de la Cour en demandant, pour tous les motifs invoqués, le retrait pur et simple du témoignage de messire Antimond des minutes de ce procès.

Toutefois, et en l'attente de la décision du juge, je vais, afin de poursuivre ma plaidoirie, considérer cette preuve comme faisant partie de l'instruction, le procureur l'ayant jugé recevable. A moins que celle-ci ne soit tout simplement absente du dossier de l'instruction comme supposé précédemment...

*elle se retourne, fait quelques pas, puis s'installe derrière sa table, prenant quelques parchemins et autres documents importants*

Attardons nous à présent sur le fond de cette affaire, car il faut creuser l'histoire pour en comprendre le fin mot.

Concernant les faits qui me sont reprochés, il faut replacer les choses dans leur contexte à présent.

En date du 20 janvier 1458, Sa Majesté Levan III a fait une annonce officielle concernant notre Comte précisant, je cite : [...] Par conséquent, nous déclarons le sieur Ryllas félon à la Couronne, avec pour conséquences l'autorisation par nous donnée à ce qu'il soit détrôné s'il refuse de laisser le trône du Languedoc, et le fait que les vassaux de la provinces soient libérés de toute obligation concernant celui qui était leur Comte [..].

Aussi, dès le 25 janvier de cette année, mestre Mazarin est devenu régent de notre province prenant la tête du Comté et sa direction , destituant le Comte félon tel que demandé expressément par ordre royal. Aussi, l'ordre était rétabli.

La félonie ne frappant que le Comte Boniface Ryllas, le régent avait alors souhaité redonner de plein droit leurs compétences aux conseillers - devenus sans sièges par la reprise de pouvoir - afin de respecter le choix des urnes, en l'attente de nouvelles élections. Ainsi, la demande royale était tenue pour remplie et la voix des languedociens toujours prise en considération.

C'était sans compter sur la constitution d'une armée illégale, incontrôlée et du reste, incontrôlable par les conseillers légitimes. Aussi, le conseil de régence avait bien évidemment vu se dresser là une armée venant user de la force et des armes pour déloger le conseil de régence sans motif valable qu'une insurrection contre le pouvoir en place, l'armée se substituant - comme l'avenir nous l'a prouvé ensuite - à la justice et à la volonté populaire, dépassant très largement ses prérogatives et son devoir premier.

Aussi, sur ordre du régent, et au motif que j'étais là pour et par la volonté du peuple, j'ai effectivement tenté d'empêcher les armes d'entrer, en voulant fermer les portes de la capitale à ces porteurs d'épées plus que de paix, qui n'avaient plus lieu d'intervenir, et d'ainsi, empêcher un mouvement de foule, apeurée par une armée en pleine ville.

Voilà votre Honneur, Messire le Procureur, la Cour, oui, voilà d'où vient cette confusion dans les esprits. Il ne s'agissait pas d'une tentative de déstabilisation de l'Ordre établi, puisque répondant justement à l'appel du conseil de régence ayant mené à la destitution du Comte frappé de félonie par le Roy.

*Andreia rangea quelques autres documents qu'elle avait sous le coude, se disant qu'il ne fallait pas abattre tous ses atouts en un seul coup. Se levant , elle ajouta à l'attention de la Cour : *

Pour tous ces motifs, Votre Honneur, Messire le Procureur, la Cour,

Au vu du Codex régissant ce Comté et eu égard à la terrible injustice à laquelle je suis confrontée ce jour, du tort qui m'est fait par le témoignage diffamant de mestre Antimond, portant atteinte à mon honneur et a mes valeurs, et devant la gravité des actes qui me sont injustement reprochés n'ayant fait que suivre les ordres et tenté de faire respecter le choix des urnes de notre bon peuple,

En conséquence, je demande la relaxe

Citation :
Réquisitoire de l'accusation
*Ben écouta avec attention ce que Andreia avait à dire. Il ne laissa nullement paraître ses humeurs et réactions, il aurait pu, vu le flot de mensonges et la mauvaise foie flagrante que l�accusé montrait.*

Je vous signale Mestra que la salle des plaintes est publique, donc que votre plainte est accessible pour vous et pour toutes autres personnes le désirant au château de Montpellier, Il n�y a nulle entrave de notre part, mais juste de la mauvaise volonté de la votre.

Les plaignants sont doubles : Dans un premier temps la mairie de Montpellier via Liloie Alienor que vous avez voulu déloger par la force alors que la pauvre fille voit son père partir à la guerre et orpheline de sa mère.

De plus, Donà Liloie a été choisi pour ce pour la � fois par les Montpelliérains et Montpelliéraines. Dans un second temps le comté du Languedoc.


Les dossiers de la maréchaussée n�ont pas à être accessibles à tous dans les bureaux privés des maréchaux. La plainte est portée de différentes manières à la maréchaussée, et ce qui se passe dans ces bureaux, l�avancement des enquêtes, les interrogatoires des témoins et des victimes, et à ce moment là encore confidentiel pour ne pas entraver le déroulement de l�enquête et les remarques du prévôt à ses maréchaux.
Si les dossiers étaient à ce moment là accessibles à tous, qu�est ce qui empêcherait un présumé coupable de venir intimider la victime pour l�empêcher de parler, ou d�en faire de même avec un témoin.
Si les dossiers étaient libre d�accès qu�est ce qui empêcherait un complice de venir retirer des preuves du dossier ou de rajouter des éléments ne faisant pas parti du dossier pour brouiller les esprit et les pistes.

Le dossier à 30 jours pour être porté à la connaissance du procureur, ce délais n�étant toujours par impartit, il nous ait toujours possible de vous poursuivre.

Qu�est ce qui empêche Messire Antimond de défendre la mairie. Ce n�est pas parce vous trouvez son nom nulle part dans les registre qu�il n�a pas monté de garde ce soir là. D�ailleurs puisque vous semblez si enclin à lire notre Codex, trouvez-moi l�article stipulant qu�un simple civil ne peut pas défendre la mairie, s�il sent qu�une révolte se prépare suite au courrier que ce cher Mazarin lui a envoyé, le fait est qu�il vous a reconnu�����.Il me vient un doute, comment pouvez vous être sur qu�il n�apparaît pas sur les registres de garde. La seule personne qui le sait est le Maire de la ville, et ce même maire va retranscrire les noms sur un registre, registre qui lui n�est pas accessible par tout le, monde, auriez vous gardez des clés ? Mais vous avez dit que vous ne vouliez plus vous rendre dans l�enceinte du château. Pour rentrez illégalement dans la salle de dépôts des registres de la milice, vous savez vous rendre au château, mais pour venir voir votre acte d�accusation, la non comme par hasard. Nouvelle preuve de votre mauvaise volonté

Une personne se faisant piller et ne faisant pas partie de la maréchaussée, ne peut donc pas, d�après vos dires, venir témoigner car il n�est pas assermenté par le comté ? En effet, là aussi il est simple civil donc son témoignage ne peut pas être prit en compte, un peu de sérieux voulez-vous ?

Ce n�est d�ailleurs point de l�impartialité, ni même de l�intégrité de Messire Antimond dont il est question, mais bien de votre comportement inadmissible à l�encontre d�un élu du peuple Languedocien.

A ce que je sache, quand votre époux était Coms, le peuple n�a pas tenté de le renverser par la force. Il a attendu une demande royale pour le faire.

Vous nous dites que Messire Mazarin souhaitait remettre en place les conseillers élus. Comment se fait-il alors que les membres du 1er conseil n�appartenant pas à la liste de Ryllas où d�Amor n�aient pas été contactés pour cette fameuse reprise. Comment se fait-il aussi que Messire Bazin ait participé à cette révolte ? A ce que je sache il ne faisait même pas parti des conseillers élus par le peuple. Comment se fait-il aussi que vous preniez les armes aux côtés d�au moins un non Languedocien dans l�optique de reprendre le château de Montpellier.
Si l�armée était illégale, pouvez vous nous expliquer pourquoi cette révolte a été validée par le Roy, via une reconnaissance dans la salle des allégeances à Paris. De plus comment voulez vous faire fonctionner un comté avec un Coms, un capitaine, un CAM et un procureur qui se changeait en juge à la nuit tombé, je connaissait la lycanthropie, mais le procurothite aigue je n�en avais jamais entendu parlé

Le Roy ayant à l�esprit, au vus des listes comtale, que Messire Mazarin coopère avec le félon Ryllas, votre époux. Ne vous est �il pas venu à l�esprit qu�il avait diligenté des personnes de confiance pour reprendre le pouvoir ?

Je vous cite ; Aussi, le conseil de Régence avait bien évidemment vu se dresser là une armée venant user de la force et des armes pour déloger le conseil de régence sans motif valable.

Si je ne me trompe pas, ce sont vos propres mots. J�aimerai que vous m�expliquiez quand vous a été accordé le titre de Conseil de Régence par notre bon Roy. Sans cette reconnaissance, vous ne valez pas mieux que l�ancien conseil dirigé par le félon Ryllas.

Vous vous défendez en disant avoir gardé les portes de la ville alors que nous vous accusons de révolte contre la Mairie de Montpellier. Pouvez vous nous expliquer pourquoi vous vous défendez de fait qui ne vous sont pas reproché c'est-à-dire une révolte contre le château, alors que vous êtes trainé devant nous aujourd�hui dans ce tribunal pour une révolte contre la mairie de Montpellier. Faudrait il que nous rajoutions révolte contre le Comté a l�acte d�accusation. ????

J�aurais quelques questions encore, ou avez-vous vu que Mazarin avait été reconnu régent par sa majesté le Roy Levan III de Normandie, contrairement à la régente actuelle, qui à peine arrivée à Paris à pu entrer dans la salle d�allégeance, faire son serment, et avoir une réponse immédiate. Je vous entends déjà venir avec une histoire de complot, fomentée par les hautes instances du Royaume, seriez vous en train de nous dire que le Languedoc et la Comtesse Enduril dirigent notre pays, la France et que notre bon Roy lui obéit. Ne sombrons pas dans le ridicule s�il vous plait

Deuxièmement, vous dites et je vous cite « �n�ayant fait que suivre les ordres et tenté de faire respecté le choix des urnes de notre bon peuple » oté moi d�un doute, Liloie_ alienor a-t-elle prit la, mairie par la force ou a-t-elle été élue par les habitants de Montpellier et cela à plusieures reprises.

Je vous rappelle que vous êtes mise en accusation pour trois tentatives de révolte contre la mairie de Montpellier ce qui n�est pas une petite accusation.

Et grâce au témoignage de votre amie Frenegonde, nous savons maintenant avec certitude que vous avez tentez de reprendre la mairie de Montpellier. Ce qu�il y a de marrant dans ce témoignage en votre faveur, c�est que l�on pourrait en conclure que Mestra Frenegonde, se trouvait avec vous durant ces trois nuits, car oui, et il me semble que vous l�oubliez, vous êtes devant cette cour, pour trois révoltes contre la mairie, qui heureusement pour la ville de Montpellier n�ont pas abouti et pas pour une révolte contre le château

*La regardant dans les yeux, il se dit que c�était dommage qu�une femme aussi brillante soit tombée aussi bas.

Se tournant vers le juge*

Votre honneur je demande pour les faits qui sont avérés et reconnu dans l�absolu par l'accusée une peine de prison de 2 jours, une amende de 200 écus.

Citation :

Dernière plaidoirie de la défense
Votre Honneur,
Messire le Procureur,
La Cour,


Je me présente à nouveau devant vous afin de poursuivre ma défense.

Dans un premier temps, je répondrais aux récriminations du Procureur et apporterais par la même, des éléments complémentaires sur l'affaire qui nous concerne.

Concernant la salle de dépôt des plaintes, elle n'est pas publique, au sens où il faut déjà droit d'entrée pour pénétrer en l'enceinte du château en vue d' y parvenir.

Concernant les plaignants évoqués, je suis fort aise de les connaitre à présent, puisqu'à aucun moment cela n'apparait dans l'acte d'accusation. En effet, vous dites que l'accusation est menée par la mairesse de Montpellier en qualité de plaignante, or, au sens de l'article 1.1.2.de la loi de procédure pénale, celle-ci aurait eu toute latitude de me mettre en procès, à l'instar des sires Bazin et Mazarin que cette dernière avait mise en accusation pour d'autres cas.

Or, dans mon cas, celle-ci n'a absolument pas procédé à ma mise en accusation, et après recherche complémentaires, il s'avère qu'elle n'a pas non plus déposée sa plainte à mon encontre dans la salle réservée à cet effet, comme indiqué à l'article 1.2.1 de la procédure sus-mentionnée.

De plus, toujours dans le cadre de la mise en accusation, dès lors qu'un dépôt de plainte est réalisé, il existe un mode opératoire a suivre, comme décrit à l'article 1.2.2 de la même procédure, précisant que le libellé de la plainte doit contenir le nom de l'accusé, mais également : l'identité du plaignant, le lieu et la nature de l'infraction présumée,
ainsi que les preuves sur lesquelles se fonde la plainte.

En ce qui me concerne, mon identité n'a pas été versée au dossier, le lieu de l'infraction n'a pas été nominativement spécifié , quant aux preuves, on m'oppose des registres de maréchaux, dont on ne sait à qui ils appartiennent. Qui à vu quoi ? Qui est témoin de l'infraction ? Lors du dépôt de plaintes, ses éléments n'ont pas été renseignés, nouveau vice de procédure.

Je ferais également un aparté pour reprendre les termes utilisés par le Procureur dans son réquisitoire de l'accusation. Celui-ci nous informe que le délai de 30 jours pour porter une affaire à la connaissance de celui-ci est toujours imparti. Dois-je comprendre qu'aucun dépôt de plainte en bonne et due forme n'a été réalisée, mais qu'il se réserve le droit de le faire ultérieurement ? Auquel cas, il confirme le fait que je suis actuellement mise en procès sans plainte, sans preuve et sans enquête effectuée. Comme s'il s'était alors levé un beau matin en se disant : tiens et si je mettais Andreia en procès, pour les preuves, nous verrons plus tard , quand Andreia sera jugée ! Il conviendra au juge d'apprécier la façon de procéder du Procureur Bentich.

Ensuite, concernant le témoin appelé par l'accusation, à savoir mestre Antimond, le Procureur m'informe que mestre Antimond m'a vu. Là encore, aucune preuve n'a été portée au dossier de manière nominative. L'absence de preuves certifiées lors du dépôts de plainte, aurait dû mener à une enquête complémentaire, chose qui n'a pas été faite, découle alors une mise en accusation sans preuve en substance.

Concernant les propos diffamant du procureur, je souhaiterai également y répondre avant que de poursuivre. En effet, celui-ci m'accuse à tort d'avoir conservé des clefs en l'enceinte du castel, permettant de me rendre dans des lieux généralement fermés au public, chose que je réfute énergiquement. Avant que de porter de telles accusations, mettant à mal mon intégrité morale, il aurait été plus sage pour le Procureur de mener enquête préalable auprès des autorités compétentes.

Si j'ai pu constater que le sire Antimond n'était pas présent dans la milice municipale, je n'ai point eu besoin de me rendre au castel illégalement, mais simplement en mairie, afin d'y consulter les registres des dernières embauches. Or, d'après ces retranscriptions, la maréchaussée n'avait pas embauché le sire Antimond durant les nuits portées dans l'acte d'accusation.

Voilà retranscription des-dits registres :

25/01 23:43 : Armee4265 embauche Enduril pour 20,00 écus
25/01 23:43 : Armee4265 embauche Julios pour 20,00 écus
27/01 06:23 : Armee4265 embauche Bentich pour 16,00 écus
27/01 00:23 : Armee4265 embauche Enduril pour 16,00 écus
27/01 21:43 : Armee4265 embauche Aeris_g. pour 16,00 écus
28/01 07:43 : Armee4265 embauche Finubar pour 16,00 écus

Par contre, comme évoqué lors de ma première intervention, mestre Antimond devait être dans un corps d'armes, tel qu'il l'était encore en date du 30 janvier dernier, comme j'ai pu le constater aux portes de la ville.

Mais comme l'a si justement précisé le Procureur, si le cas de mestre Antimond doit être jugé, cela sera dans un procès mené à son encontre, et non en cet instant. Toutefois, il convient de noter une petite incohérence. Mestre Antimond prétend m'avoir vue et reconnue durant 3 nuits durant, pourtant, dans son allocution publique du 26 janvier, il prétendait n'avoir vu qu'Enalia. Pourquoi, alors, n'a t'il pas mentionné mon nom à ce moment là ?

Je remercie par ailleurs le Procureur de ne pas s'être cantonné à un simple réquisitoire, mais à un véritable jugement, et ce de manière on ne peut plus partiale, de l'affaire. Je remet donc en cause le caractère juste et équitable de ce procès du côté de la procure languedocienne.

Je souhaiterai également rétablir quelques vérités puisque le Procureur semble avoir mal interprété certains de mes paroles, pour ainsi dire, toutes.

D'une, je confirme que Mazarin avait, lorsqu'il est arrivé au pouvoir, demandé à ce que les anciens conseillers , élus par le peuple, reprennent leurs attributions, sous la tutelle du conseil de régence représenté par lui. Et non pas en les invitant à participer à la prime révolte l'ayant vu arriver à la tête du Comté, au même titre que Doña Enduril et d'autres. Mestre Mazarin ayant fait cette déclaration en public, il sera aisé pour la Cour que de vérifier mes propos.

De deux, vous parlez d'une armée cautionnée par le Roy, je vous dirai simplement que l'annonce Royale faisant mention de la destitution du Coms Félon Ryllas, et non pas d'une contre -révolte suite à la première révolte. Donc, à mon sens, le félon n'étant plus au pouvoir, l'armée n'avait pas à intervenir par les armes.

Enfin, le Procureur fait des suppositions hasardeuses, parlant au nom du Roy, lorsqu'il précise, je le cite : le Roy ayant à l'esprit, au vu des listes comtale, que messire Mazarin coopère avec le félon..etc. La Cour comprendra que nul ne saurait parler au nom du Roy, que nulle annonce royale n'a été faite attestant cela et qu'aussi, le Procureur devrait, tel est son rôle, s'en tenir aux faits et rien qu'aux faits. La spéculation est interdite, tant en parole qu'en économie de marché. Aussi, je me réserve le droit d'aviser la grande chancellerie que des procureurs pensent connaître les paroles du Roy et s'en servent dans leur réquisitoire.


De la même manière qu'il confond le conseil de régence en attente de reconnaissance que représentait le sire Mazarin, et dans lequel il me place bien maladroitement.

Là encore, le Procureur fait un jugement totalement partial, biaisant le procès de par des insinuations qui devraient rester purement personnelles et non être mentionnée dans un procès où il n'est pas un simple villageois, mais une autorité judiciaire. Notamment lorsqu'il dit, je le cite à nouveau : vous ne valez pas mieux que l ancien conseil dirigé par le félon Ryllas.

A nouveau, il me faut clarifier une erreur de la procure. En effet, dans ce florilège de propos hasardeux tenus, il est dit que je me défends de faits qui ne me sont pas reprochés. Je ne comprends pas cette intervention. Je confirme que j'ai réalisé cette action, que je ne réfute nullement , à savoir la reprise de la mairie, sur ordre du mestre Mazarin, afin de garder les portes de la ville fermée à une armée. Aussi, le Procureur Bentich a quelque peu digressé, en interprétant des propos qui ne sont pas miens.

Quant à, je le cite : déjà m'entendre venir avec une histoire de complot, je dois avouer que là encore, le Procureur juge de mes éventuels propos de manière tout à fait partiale. Serais-je déjà jugée avant le rendu du verdict ?

Toutefois, je vais être magnanime en répondant à la question qui m'a été posée. D'une part, je considère mestre Mazarin comme ayant été un régent en attente de reconnaissance, mais pour obtenir reconnaissance, il aurait fallu que les portes du Louvre ne soient pas coincées. Il n'a pas été reconnu ? Je vous dirai également que son allégeance, de fait, n'a pas non plus été refusée. Quant à préciser que la régente suivante, mestra Christina s'est vue ouvrir les portes le lendemain et obtenir reconnaissance royale le surlendemain, loin de moi l'idée de faire un lien entre cette prompte réception et les amitiés commerciales connues entre mestra Frederique85 et Doña Nebisa de Malemort.

Nous arrivons au terme du réquisitoire illustré de la Procure. Lorsque j'ai dit que je souhaitais, par mon action, faire respecter le choix des urnes, je parlais bien de la majorité des languedociens ayant placé des personnes au conseil comtal, concernant donc les électeurs de tous les villages languedociens et pas uniquement ceux de Montpellier.

Pour conclure, j'ajouterai qu'au cas où quelqu'un viendrait soumettre l'idée que nous ne pouvions prendre une mairie car seule l'armée à autorisation, cela ne peut nous être reproché à nous sujets du régent Mazarin mais seulement à celui qui a donné l'ordre.

Pour tous ces motifs, Votre Honneur, Messire le Procureur, la Cour,

Je confirme ma demande de relaxe.

Merci de m'avoir écouté. Que justice soit faite !

*s'en retourne en attendant l'énoncé du verdict*

Citation :
La défense a appelé Frenny à la barre
Voici son témoignage :
Bonjours et respect à la cours ici présente,
Moi Frenegonde De Alais,brigadière,me présente devant vous comme témoin de la défense en date du 4 fevrier 1458.
je viens témoigner qu'en aucun cas Mestra Andreia n'a fait geste de vilolence devant la mairie durant la révolte,ni prononcé aucune paroles de la sorte.Elle est restée égale à elle-même douce et calme sans animosité aucune.
Mestra Andreia se tenait devant la mairie,appuyé sur son bâton,sa cheville la faisant aparrement énormément souffrir.Puis,étant fixer à son baton,elle à élevé pacifiquement,et j insiste sur ce terme,son étendard et à clamé sans aucune violence sa devise:"vox populi vox Dei".
Je le répète encore une foi,cette Dame n'a usé d'aucune violence physique,dailleurs elle n'aurai pas put vu l'etat de sa cheville,ni verbale,je ne sais ou Messire Antimond à vu cela.
Sur ce,je reste à disposition de la cours pour d'éventueeles questions.

Citation :
La défense a appelé Toon3146 à la barre
Voici son témoignage :
Le prévôt adjoint, Toon3146 avait suivi le procès depuis le début, l�affaire paraissait entendue, mais il ne pouvait s�empêcher de réfléchir aux propos de l�accusée Andreia�Celle-ci semblait insister sur la légalité inhérente à la formulation de la plainte qui avait été portée contre elle� Toon était en train de tenter de finaliser mentalement un début de conclusion quand il entendit son nom� c�était à son tour de témoigner.

Monsieur le juge, Monsieur le procureur, la Cour�Je suis Toon3146, prévôt adjoint affecté aux affaires concernant la maréchaussée depuis le mois d�août 1457, et je déclare en ce huitième jour du mois de février 1458, mon intention de ne déformer, ni d�interpréter en rien, ce que j�ai pu observer concernant l�affaire qui nous préoccupe aujourd�hui.

Je ne parlerais pas du « fond » relatif à la faute reprochée à la suspecte Andreia, celle-ci a assuré s�en charger elle-même�Je ne me contenterai que de rapporter mes observations personnelles concernant la forme de cette plainte, car il semble que ce soit le souhait de la suspecte.

Force est de constater que la plainte portée contre l�accusée Andreia a été effectuée de manière inhabituelle en regard de ce genre de délit, et qu�en tant que prévôt adjoint, je n�ai à aucun moment été consulté pour vérifier la plainte contre Andreia, plainte nominative qui n�a d�ailleurs jamais existée en tant que telle, car, dans le dossier publique que j�ai consulté après coup, le nom de la suspecte était noyé parmis les noms d�un grand nombre de personnes accusées du même crime qu�Andreia.

Loin de moi l�idée de tenter d�atténuer la faute de l�accusée, si faute avérée il y a, mais je serai fourbe de prétendre que la procédure habituelle ait été respectée car j�ai constaté que ce n�était pas le cas.

Citation :
L'accusation a appelé Antimond à la barre
Voici son témoignage :
Antimond se leva pour apporter son témoignage.

Mestres Juge et Procureur, je vous salue.

Je suis Antimond Maillane, artisan établi à Montpelhièr.

Je me contenterai d'énoncer les faits tels que je viens de les vivre en participant des nuits durant à la défense de la Mairie de nostre ville Capitale.

J'ai en effet eu la surprise de reconnaître l'accusée parmi les assaillants qui ont attaqué la Mairie de Montpelhièr pendant 3 nuits, du 25 au 28 janvier de cette année.

S'en prendre ainsi à nostre Maire respectée, quelle honte. Surtout de la part d'une personne que tout le monde croyait ... gentille.

Mais je peux vous dire qu'elle n'attaquait pas "gentiment" nostre Mairie, et faisait au contraire preuve d'une rare violence, tant en acte qu'en parole.

Citation :
L'accusation a appelé Asakura à la barre

Citation :
Le jugement a été rendu
Enoncé du verdict
Le prévenu a été reconnu coupable de trahison.
Nous Célestine de la Croix de Bramafan , Juge du Languedoc par la volonté de Sa Grandeur Klan
d'Acier , allons rendre notre verdict dans le procès de mestra Andreia pour Trahison .

- Attendu que pour nous l'accusée dans ses plaidoiries avoue elle-même les faits
- Attendu qu'elle est avocate et donc connaissait les risques d'une révolte contre une mairie illégalement

Nous déclarons l'accusée coupable de Trahison et la condamnons a une peine de prison de trois jours .
Que le Très Haut la ramène dans le droit chemin .
Qu'il soit ainsi fait .

Célestine. Juge Du Languedoc .
Fait le 17 Avril 1458
Le prévenu a été condamné à une peine de prison de 3 jours.
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Andreia ( Trahison - Coupable )
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