[RP] Entraînement au combat

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...et le coup s'échoua de nouveau sur une difficile parade du Seigneur de Donazac ! Rekkared dit :

« Et bien, mon âge ne me permet plus de porter des coups que vous ne puissiez parer, même difficilement ! »

Ayant contré difficilement le coup du Baron, le Maure se recula en l’écoutant puis, baissant sa lame-, il remonta la visière de son bassinet et répondit.

Allons, vous vous moquez…
Voyez comme j’ai eu peine à vous empêcher de m’atteindre sur le dernier assaut. Votre age n’y fait rien, il vous fallait simplement vous échauffer. Ne doutez point de la vaillance de votre bras…

A moins que votre propos ne soit là pour faire prendre fin à cet échange ?
Souhaitez vous cesser de combattre ?

Rekkared répondit :

« Non, c'était juste le temps de reprendre mon souffle... Et vous, ne désirez-vous point encore un peu continuer ? Si vous voulez poursuivre, c'est à vous de me porter un coup. »

Rekkared vit signe à son fils qu'il l'avait vu, puis reprit :

« Alors, sire Djahen, c'est à vous ! »

Secouant la tête pour chasser les pensées qui l’avaient égaré quelques instants, Djahen regarda le Baron qui parlait de son fils. Il avait bien entendu parler de lui, et se souvenait même de son passage en Alais, alors que lui-même et son épouse étaient encore roturiers et que Marie se chargeait des douanes de la ville. Ils avaient pu se parler, mais s’en souvenait-il ?

Le Maure lui adressa donc un geste amical avant d’ajouter…

Bonjorn senher Cristòl…

Ce faisant, il hésitait à reprendre le combat, puisque à priori, le terrain devenait lieu de présentations….

[HRP : Hem, euh... Pardon, j'avais oublié ce RP. Au cas où ce ne soit pas trop tard, je réponds.]

L'échange mettait en présence deux adversaires soucieux d'en découdre. Cristòl voyait bien que l'âge n'était pas sans effet sur son père, mais il se battait sans conteste très bien, et le seigneur de Donazac, depuis peu autorisé à ce genre de combats nobles, était, en vérité, fort habile avec une épée.

Son père lui fit signe, et comme pour entériner cette pause dans leur duel, Djahen s'avança vers Cristòl et le salua. D'un signe de tête, le seigneur de Marmorières répondit :

-« Bonjorn, Sènher Djahen. Vòli pas desajudar, fasètz coma si èri pas aquí... »

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