Jutimor (décédé)

Le prévenu a été relaxé le 10/09/1457.

Procès ayant opposé Jutimor au Comté de Rouergue

Jutimor était accusé de Trahison.

Nom du procureur : celia
Nom du juge : Aster
Date du verdict : 10/09/1457
Lieu concerné par l'affaire : Villefranche-de-Rouergue

Acte d'accusation :

Citation :: En ce XV ème jour du VIIème mois de l'année 1457,
nous, nefertoum, Procureur du Comté du Rouergue,
déposons une affaire opposant Jutimor et le Comté du Rouergue,
sous le chef d'accusation de trahison

Vous étes accusé de trahison, pour la prise de la mairie de ville franche de rouergue
le 15 juillet de l'an de grâce 1457.

6.3.1.1. De la trahison

La trahison est un crime qui consiste en l'atteinte à la sûreté ou aux intérêts fondamentaux du Comté. L'acte de trahison peut consister en :

- Un acte de sabotage qui est une action délibérée consistant en l'obstruction ou en la destruction de données matérielles ou non, dans le but d'atteindre l'efficacité des institutions du Comté dans l'exercice de leurs missions.
- Un acte d'espionnage pour le compte d'une autre province
- La fourniture de fausses informations dans un but de désinformation et de déstabilisation du comté.

Cette liste n'est pas exhaustive et tout acte dont les caractéristiques seront identiques à ceux cités ci-dessus, pourra voir son auteur jugé devant le Conseil.

Première plaidoirie de la défense :

Citation :: La personne intéressée ne s'est pas manifestée.

Réquisitoire de l'accusation :

Citation :: Bon bein votre honneur il semblerait que celui ci est déjà mort, nous n'aurons pas la joie de le faire bruler, snif...

Dernière plaidoirie de la défense :

Citation :: La personne intéressée ne s'est pas manifestée.

L'accusation a appelé Odysseus à la barre :

Citation :: Odysseus entre dans le tribunal et salue Nefertoum d'un sourire. Il s'approche de la barre et commence à parler.*

Le 15 juillet au petit matin, j'ai été éjecté de mon fauteuil de maire acquis par des élections réglementaires et légale, moi Odysseus, et ce, sans ménagement aucun. Je n'ai malheureusement pas eu le temps de voir les visages, surtout que dans la nuit, ma vision est très mauvaise depuis quelques années. Mais ma grande ouïe me permettrai aisément de reconnaître les fautifs. Ils parlaient fort et rigolaient beaucoup. Ils avaient visiblement l'air de s'amuser. De plus, ils puaient de la gueule à cent mètres et je pourrais reconnaître leur odeur fétide à coups sûr si le sieur dans le box daignait ouvrir la bouche.
De mon temps, il y avait le respect de l'ainesse. Les jeunes étaient plus respectueux.

Et puis j'ai toujours dit qu'il fallait se méfier des étrangers.

Les Albichois sont gentils, mais il y a des pommes pourries dans leur panier. A mon époque, les étrangers, on les accueillait à bras ouvert. C'était mieux avant, les jeunes avaient du respect... aujourd'hui on est obligé de fermer les frontières et de demander des laisser passer et les étranger viennent abreuver de sang nos sillons...

*Odysseus commence à radoter et à se répéter sous le coup de l'émotion. Il est tout rouge et il agite sa canne en l'air en tout sens, prêt à assommer sans faire exprès un geôlier qui passerait trop près de lui.*

Enoncé du verdict :

Citation :: Nous laisserons donc Aristote juger son âme dans l'au delà.

Qu'il en soit ainsi.

Affaire suivante!

Le prévenu a été relaxé.

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