Autour du Pas de Gauvoie : sous les tentes

Invité

Ella allait repondre que la vie d'un homme pouvait etre composé de plusieur defaites avant d'obtenir des vistoires, l'important etant de perseverer et surtout de garder confiance en soi pour avoir l'envie de faire de ces defaites des elements qui conduiraient à une victoire mais ses dernieres paroles maintenurent sa reflexion en suspent. Elle plongea son regard dans le sien tout en levant son verre:

A vous, à votre victoire si cherement acquise et aux futures.

Elle aurai aussi bien pu parler du futur au singulier. Elle porta le verre à ses levres pour en gouter le breuvage sans quitter son regard, puis le posa. Elle aurai aimé revenir sur ce dotn ils avaient parlé mais ne su comment l'aborder, elle baissa les yeux et parti sur un tout autre sujet, mais tellement moins intimidant:

Combien d'adversaires vous reste t il ?

Cristòl reposa son verre, posa une main sur son bras souffrant, et répondit, en la regardant :

-« Ce combat était le pilier de ma semaine. En un sens, il est bon que ce jour central ait été pour moi une victoire. Tout un symbole...

Je garde le pas trois jours encore, contre trois adversaires, si le Très Haut le veut. Ensuite, ma vie commencera vraiment... Avec vous, je l'espère. »

Invité

Elle nota qu'il lui resterait encore trois jours a trembler pour lui mais surtout qu'il abordait le sujet principale. Elle en rougit, decidement elle n'etait pas tres douée a ce jeu la, pourtant la raison de sa presence etait aussi pour parler de ce point evoqué. Elle se leva, visiblement touchée, anxieuse aussi faisant le tour de la tente, comme elle en avait l'habitude dans son bureau de la garde quand quelque chose la travaillait.

Puis elle revient face à lui, elle regarda son bras, elle aurai aimé l'aider mais ne voyait pas ce qu'elle aurai pu faire de plus que ce qu'avait deja fait le moine et remonta son regard pour trouver le sien:

Je......mon Dieu que c'etait difficile a dire comme ca, elle envia sa facilité.....je le souhaiterai aussi.........elle baissa les yeux continuant plus bas......mais vous savez que ni vous ni moi ne decidons de cela.......soupire, ouf un echapatoire, il est certaines realités plus difficile a affronter que d'autres, malgré tout elle lui avait ouvert son coeur.

Cela ne diminua pas la bonne humeur de Cristòl. Il mangea une olive, et répondit :

-« Cela, nous ne pouvons le prévoir tant que nous n'aurons pas touché mot à nos supérieurs familiaux respectifs... Nous attendrons la fin de mon Pas, de toute façon. Ensuite, peut-être commencerons-nous par demander à mon père son approbation...

Qui décide, pour vous ? »

Invité

Il avait poursuivi la conversation avec une telle desinvolture qu'elle resta silencieuse un instant. Elle aurai aimé voir son pere spirituel, le cardinal Elmoron, il avait toujours ete de bon conseil pour elle, mais elle le savait en voyage et sa presence lui manquait cruellement. Qui decide pour elle, Owain, comme il l'avait fait pour..........allait devoir repasser la meme douloureuse epreuve ? non si cela devait se faire ainsi, elle ne renouvellerait pas l'epxerience. Il etait hors de question qu'elle du se vendre une deuxieme fois, meme si ca devait etre seulement face à son père.

Revenant sur Cristol, elle lui repondit apres avoir bu une gorgée d'hydromele:

C'est mon frere le Seigneur Owain d'Ascalon de Tossiat.

Elle baissa de nouveau les yeux:

Mais j'avoue lui avoir deja fait part de ma.........de mon souhait.

[Sous la tente de Cristòl, au soir du cinquième combat]

Avant les vêpres, le vieil homme accompagné d'un homme d'armes, vint sous le pavillon de Cristòl. Il salua Cristòl humblement, et s'enquérit du bras suturé de celui-ci. Il enleva le pansement qui le protégeait, examina le bras et dit :

- « Et bien, il me semble que la plaie commence à cicatriser, malgré que vous la malmeniez avec ces activités guerrières... Je vais vous nettoyer la plaie à nouveau et vous refaire le pansement. »

Il s'exécuta et conclua :

- « Bon, reposez-vous bien et à demain. »

Puis il ressortit de la tente avec l'homme d'armes.
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HRP : malus toujours de -1

Guillaume, en grand convoi, approchait des terres de Saint-Félix. Avec lui, une suite appréciable de valets, ainsi que quelques hommes d'armes à qui il avait proposé sa compagnie sur la route. Joyeux compains, ceux-ci lui permirent de moins voir la longueur du chemin, et c'est le sourire aux lèvres que le Gentilhomme de la Chambre du Roy vit les tentes déjà dressées. A ce spectacle, il comprit que la fin de son voyage était venu. Saluant courtoisement ceux qu'il ne reverrait certainement plus jamais, il les quitta et vint s'arrêter au bord du champ déjà recouvert de tentes.

Glissant à bas de son cheval, il ordonna de monter son pavillon à ses valets alors qu'il s'avançait, espérant rencontrer quelque connaissance avant de jouter...