Archives de France, donjon de Saint-Félix
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 Finn.

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lenada
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lenada


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MessageSujet: Finn.   Finn. EmptyJeu 28 Juin - 15:30

Procès de Finn.


  • Trouble A l'Ordre Puclic : Procès du mois de Février 1460 Arrow Relaxé
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lenada
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MessageSujet: Re: Finn.   Finn. EmptyJeu 28 Juin - 15:32

Finn. Bourgo26
    Duché de Bourgogne
    Office de Justice



Casier judiciaire de Finn.



Trouble A l'Ordre Public

Procès instruit le 04 Février 1460
Verdict rendu le 10 Février 1460


Nom de l'accusé: Finn.

Procureur: Aryana
Juge: Yrysbleue




[quote]Procès ayant opposé Finn. au Duché de Bourgogne

Finn. était accusé de trouble à l'ordre public.
Le jugement a été rendu
Enoncé du verdict
Le prévenu a été relaxé.
* La Juge de Bourgogne, fit son entrée dans la salle d audience .
Elle annonça d'une voix ferme et grave le verdict : *
Gentes Dames, Messires,
Dans le Procès opposant l'Accusé, Finn au Duché de Bourgogne
en Date du 10 ème jour du mois de Février de l'An de Grâce 1460, devant la Cour de Justice présidée en la Ville de Dijon par Nous,Yrysbleue Juge de Bourgogne.
L accusé ayant fait preuve de bon sens est relaxé
Nous, Yrysbleue, en notre qualité de Juge de Bourgogne,
relaxons le dit Accusé.
La justice a été rendue !
La séance est levée!
Fait en la Ville de Dijon, le 10ème Jour du Mois de février l'An de Grâce de Nostre Seigneur MCDLX
par Nous,
Yrysbleue, Juge de Bourgogne, au Nom de notre Grâce Edwen, Duchesse de Bourgogne

Acte d'accusation
Citation :
*Aryanha pénétra dans la salle du tribunal, dossier épais sous le bras. Brrrr...quel froid dehors ! Autant se réchauffer dans ces lieux qu elle connaissait maintenant par coeur. Frottant ses mains l'une contre l'autre, elle se leva et salua la Cour :*
Votre Honneur,
Membres de la Cour,
Ce jour le 04 février 1460, Le sieur Finn., comparait devant ce tribunal pour trouble à l ordre public à l encontre de la mairie d Autun.
En effet, il a en sa possession un mandat de la mairie d Autun.
Chose étrange, ce mandat non daté, a été réalisé en été ou en Automne 1458, donc nous sommes là hors limite autorisée pour n importe quel délai. La date n existant pas nous avons pu évaluer la dite date grâce à au numéro du mandat et un premier courrier envoyé par le maire en novembre 1458, courrier resté à l époque sans réponse.
Seconde chose étrange, ce mandat a été fait à un certain Burrich et non à l accusé, nous supposons donc que ce mandat aurait pu être volé par l accusé
Quoiqu il en soit, la mairie d Autun exige le retour de ce mandat qui lui appartient.
Aryanha montra le parchemin au Juge :
& quot;Mandat numéro '796115'
Contrat :
& quot;Mandat de voyage, pour aller loin"
Inventaire des marchandises :
Encombrement : 8
#Nom95,00 écus1fût de bière"
Cet acte reste déraisonnable aux yeux de notre coutume, et peut déstabiliser l économie d une institution comme une mairie, en effet, Un tel acte mettrait en péril la vie économique des villes si tous les citoyens s autorisaient d agir ainsi,
En vertu de notre coutume, Finn. Je vous accuse de trouble à l ordre public pour non restitution de mandat en votre possession. Pour cela vous encourez d une peine de prison et d une amende.
Vous pouvez être assisté lors de votre procès par un membre du barreau de Bourgogne officiant actuellement, Maîtres Angelyque, Garwael, ou tout avocat de L'Ordre Du Dragon.
J'appellerai à la barre le maire d' Autun actuel, Willaparis pour entendre son témoignage.
La parole est à la défense !
*Fait à Dijon le 04 février 1460,
Aryanha, Procureur de Bourgogne*

Première plaidoirie de la défense
Citation :
*Le dénommé Finn chemine jusqu'à la barre drapé dans son humble bure, la démarche instable, encombré par les pièces de fer qui protègent ses jambes et aux cliquetis incessants.*
Salutations Gens de la Cour.
Je suis Finn, homme de foy itinérant et gérant de bistrot. Je me présente à vous afin d'éclairer le Monde sur les tenants et les aboutissants de cette sombre affaire de mandat.
En effet, ce mandat ne m'appartient pas. Du moins, pas à l'origine. Mais je ne l'ai point dérobé.
Il m'a été confié, ou plutôt indirectement légué par l'ivrogne qui se vautrait dans le péché et la débauche la plus avilissante avec ma très chère soeur. Une fois que l'homme se fut éteint dans une bassine de vinasse, ma soeur décida qu'il valait mieux me remettre ce mandat, qu'il m'aiderait dans mes périples et me porterait chance. Elle est très protectrice, voyez-vous. D'autant plus qu'il ne lui servirait plus à rien au couvent où elle souhaitait se retirer afin de prononcer son voeu de chasteté. C'est pourquoi chaque jour que Dieu fait, ce mandat me rappelle que l'amour du Divin et la vertu qui en découle peuvent triompher du vice et ramener les êtres les plus vils dans le giron de notre Seigneur bien-aimé...
Vous comprendrez ainsi que nous attachons une valeur sentimentale à l'objet de cette affaire.
Ce qui suit m'a été rapporté, je ne pourrais donc vous assurer de l'exactitude des faits. Mais nous devrons nous en contenter.
Le précédent mandaté dont il est question aurait bien pris acte de l'avertissement du Bourgmestre ici-présent. Il s'en serait également, je cite: « battu les grelots. » Ceci vous renseigne sur le genre d'énergumène avec lequel ce noble fonctionnaire du duché avait affaire. A sa décharge, je doute même que ce rustaud des vignes ait été en mesure d'aligner plus de deux lettres au grossier charbon de bois pour lui donner réponse courtoise.
En ce qui me concerne, je vous prie de croire que je n'ai jamais rien reçu. Mais il n'est pas question de dénigrer le sérieux de tes prédécesseurs ou successeurs, Bourgmestre.
Je tiens par conséquent à m'excuser pour la gêne occasionnée à la mairie d'Autun par mon inconséquence. Je n'imaginais pas que cette infâme canaille était en possession illégale d'un bien de Bourgogne. En raison de cela, je t'informe, noble Juge, que le mandat sera remis à la mairie dans les plus brefs délais. Je ne saurais porter plus longtemps la parole du Créateur tout en la bafouant bassement. Sache également que Dieu recevra mon repentir sincère quant à cet acte de petite envergure.
Je voudrais simplement que la très grande Bourgogne me laisse l'opportunité de reprendre, sans trop la retarder, ma cavalcade sur les sentiers de la foy. Je pense que ce sera donc mon unique contribution à l'avancée de l'affaire. J'espère que la Cour n'en sera pas offensée, mais les brebis ne se gardent pas toutes seules.
Que Dieu guide le bras de votre Justice.
*L'Irlandais se retire à reculons tout en saluant la cour, espérant qu'il ne faudrait pas également rendre le tonneau de bière que contenait le mandat lorsqu'il l'avait reçu.*
Réquisitoire de l'accusation
Citation :
*la procureur avec écoutait cette histoire de mandat avec intérêt. A la fin de la plaidoirie du sieur Finn. elle se leva et déclara :*
Sieur Finn. votre histoire nous a touché, et la mairie d'Autun vous est reconnaissable de lui rendre ce mandat.
Je vous laisse donc reprendre vos chemins en toutes tranquillités.
Votre Honneur,
je demande la relaxe pour le sieur Finn.
Dernière plaidoirie de la défense
La personne intéressée ne s'est pas manifestée.
L'accusation a appelé Willaparis à la barre
Voici son témoignage :
Citation :
Le maire d'Autun arriva d'un pas pressé afin de se tenir chaud.
Arrivant à la barre comme témoin, il prit le temps de défaire quelque peau et fourrure pour se mettre à son aise.
Madame la juge, la procure merci de me donner la parole.
Je suis l'actuel maire d'Autun et à ma prise de fonction, j'ai trouvé un mandat au nom de l'individu.
Quelle surprise que j'ai eu à la vu de ce mandat, ce jour là !!
En effet, parceque je le connais bien ce mandat. Son intitulé est le même que j'avais eu affaire lors d'un précédant mandat.
Je suis étonné de voir que celui-ci est toujours dans la nature et que l'individu n'est plus Sir Burrich que j'avais contacté déjà à l'époque pour rendre le mandat mais bien cette individu ici présent.
Mes registres de maire le confirment bien, c'est bien l'individu ici présent qui a le mandat.
j'ai pris soin de faire faire copie du registre ainsi que le courrier que j'avais expédié auparavant. Vous pourrez donc tous constater que c'est le même mandat que l'on parle et qu'il n'y apas de confusion là dessus.
Par contre, je sais pas comment cette personne, ici présente a eu ce mandat ! Il nous l'expliquera probablement à la prise de parole.
Voilà, je n'ai plus rien à dire, je demande juste que la justice des hommes fasse son travail et que ce satané mandat soit restitué une bonne fois pour toute.
Car je tient a rappeler que ce mandat est bien utilisé, son inventaire change régulièrment et que cela coût encore une fois à la
L'accusation a appelé Willaparis à la barre
Voici son témoignage :
Citation :
Heu .... Il reprit sa conversation après avoir été quelque peu troublé...
Je disais donc que ce mandat N° 796115 était au main de Burrich courant novembre 1458 dont voici la copie de l'affaire traité par mes soins à l'époque. Par la suite d'autres maires ont du suivre l'affaire et contacter le possesseur du-dit mandat.
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Finn.
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