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| Sujet: Ignir - Trahison - Coupable 17 septembre 1459 Lun 3 Oct - 15:38 | |
| Comté du Maine
Procès pour Trahison
En date du mois de septembre 1459 Procès instruit le 6 septembre 1459 Verdict rendu le 17 septembre 1459
Nom de l'accusé: Ignir
Procureur: Dimaro di Campiglio (ig: Dimaro) Juge: Elendillefin
Acte d’accusation - Citation :
- La cour sinstalla, tandis que Dimaro prenait place du côté de laccusation. Cela faisait quelque temps quil navait pas mit les pieds en ces lieux, néanmoins la robe quil portait ne lui avait point manquée.
Le greffier savança et annonça :
« La séance est ouverte. Nous sommes réunit pour le procès à lencontre de sieur Ignir, paysan de Laval, en date du six septembre quatorze cent cinquante neuf. Je laisse à présent le procureur vous présenter le dossier qui suit. »
Dimaro prit le dossier à bras le corps et se leva en remerciant le greffier.
« Votre honneur, mesdames et messieurs de la Cour, mes hommages.
Nous, Dimaro di Campiglio, Procureur en charge de la justice du comté du Maine, présentons devant vous le dossier Ignir.
Ignir est accusé de Trahison pour avoir tenté une révolte, dans la nuit du cinq au six septembre dernier, à lencontre des institutions du Maine, en loccurrence la municipalité de Laval. Et ceci, aggravant l'acte, en contexte de guerre !
Ainsi, vous êtes mis en accusation pour avoir enfreint larticle 5, sous-section B crimes et délits, du droit pénal définie par le Codex du Maine en vigueur depuis le 19 juin 1459. « Article 5 : Trahison : Tout acte nuisant de façon sérieuse aux intérêts du comté ou susceptible de le faire, commis par quelqu'un lui devant fidélité pourra être qualifié de trahison. »
Monsieur le Juge, nous déposons auprès de vous un élément à charge essentiel dans cette affaire. A savoir la déposition du témoin et maire de Laval, la vicomtesse Athena de Lavallière, dit athena44. Dame Athena à explicitement reconnue et confirmée lacte volontaire de laccusé. Cest pourquoi nous lappellerons à la barre afin de vous faire part de son témoignage poignant.
Merci. Jen ai finit votre Honneur. »
Dimaro alla se rassoir laissant place au greffier qui rappela les droits de laccusé.
« Sieur Ignir, de par le Codex Mainois en vigueur, de larticle 1.4 des principes généraux du droit pénal, vous avez le droit d'être représenté ou aidé d'un avocat de votre libre choix.
La parole est donc à la défense.»
Première plaidoirie de la défense - Citation :
- La personne intéressée ne s'est pas manifestée.
Réquisitoire de l’accusation - Citation :
- Votre honneur,
Nous avons devant nous un parfait exemple d'insolence envers l'ordre et la justice Mainoise. L'accusé préfère, à première vue, récidiver sa révolte a mainte et mainte reprise plutôt que de venir défendre sa cause ici même.
Et comme celui qui ne dit mot consent au faits, messire Ignir se livre lui même comme coupable.
Ainsi, monsieur le juge, nous réclamons la sentence maximal pouvant être attribuée pour Trahison à l'encontre de cette personne. Dernière plaidoirie de la défense - Citation :
- La personne intéressée ne s'est pas manifestée.
Témoin n°1 de la défense : Témoin n°2 de la défense : Témoin n°1 de l’accusation : L'accusation a appelé Athena44 à la barre - Citation :
- Installé sur le banc des témoins athena fit appelé à la barre. Tout en se levant elle salua le juge et le procureur.
Sereine elle prit la parole prêtant serment et raconta son récit.
Monsieur le Juge, je jure de dire rien que la vérité toute la vérité sur cette histoire.
Nous étions dans la nuit du 5 au 6 septembre, lorsque je fus réveillé par Dame pélipa ici présente pour m'avertir d'un évènements.
Je me suis habillé sur le champs et je l'ai suivi pour me rendre à la mairie. Sur le chemin elle m'a raconté les faits. Un homme a essayé de pénétrer dans l'enceinte de la mairie.
Tout en me donnant l'identification de l'homme qu'elle me décrivait. J'ai pensé à Sire Ignir qui correspondait très bien.
Je fis très étonné de lui, ayant déjà aidé à la défense de la ville il aurait ensuite essayé de prendre la mairie.
J'espère qu'il se rendra compte de son erreur et que cela ne se reproduira pas.
Je vous en remercie Monsieur le juge de m'avoir écoutée.
Puis ath reparti s'assoir en regardant l'accusé doù elle comprenait pas son acte. Témoin n°2 de l’accusation : L'accusation a appelé Pelipa à la barre - Citation :
- Bonjour,
Je me trouvais sur les remparts de la nuit du 5 au 6 septembre 1459. Je surveillais, j'ai vu un messire qui essayait de s'infiltrer. J'ai clairement vue le visage de cette personne. Il est brun avec les cheveux court blouclés. Vetus une loque blanche. Sans rien d'autre ni arme ni rien. Verdict - Citation :
- Len resta assis à son bureau. L'accusé n'étant pas présent, le procès allait donc être prononcé par
contumace.
"Voici la lecture du verdict"
"Attendu que les faits reprochés, à savoir la tentative de prise de mairie, sont avérés, Attendu que la mairie représente le pouvoir issu du peuple de Laval, Attendu que la mairie abrite des biens qui sont la propriété collective du peuple de Laval, Attendu que le succès de cette révolte aurait pu avoir des conséquences dommageables pour l'ensemble de la
population de la ville, Attendu que l'accusé a récidivé à plusieurs reprises dans les jours qui ont suivi sa première tentative, Attendu que l'accusé n'a pas daigné se présenter au tribunal et semble s'être enfui hors du Maine, dans le
but d'échapper à la justice,
Moi, Elendillefin, par les pouvoirs qui me sont conférés par le peuple en tant que juge du Maine, déclare
: - que les faits reprochés sont très graves au regard de la loi, - que le contexte de guerre contitue une circonstance aggravante, - que la récidive contitue également une circonstance aggravante - que l'absence et la fuite de l'accusé montrent à l'évidence que l'accusé ne montre aucune repentance
pour son acte et constituent des circonstances aggravantes,
En conséquence de quoi, je condamne l'accusé Ignir pour trouble à l'ordre public et trahison à une peine
de 6 jours de prison et de 79 écus d'amende.
Fait en le tribunal du Maine le 17 septembre 1459
Len frappa du marteau sur le bureau, pas trop fort de peur de le casser. Peine - Citation :
- Le prévenu a été condamné à une peine de prison de 6 jours et une amende de 79 écus.
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