Fingon - TOP (revolte) - coupable - 16 juin 1456

Trouble à l'ordre public - coupable - 16 juin 1456

Procès ayant opposé Fingon au Comté de Béarn

Fingon était accusé de trouble à l'ordre public.

Citation :

Le jugement a été rendu

Enoncé du verdict
Le prévenu a été reconnu coupable de trouble à l'ordre public.
** Aujourd'hui, il fallait régler le cas Fingon qui avait quelques affaires en cours. Afin de rendre une justice impeccable, les verdicts avaient été énoncés pour chaque affaire, séparément. **

- Peuple du Béarn, voici le verdict de la Cour de Pau.

Je commence à me répéter...

Entendu que l'accusé s'est reconnu responsable du délit qu'on lui reproche.
Entendu que le délit est puni gravement par le coutumier.

Nous, Cour de Pau, reconnaissons l'accusé coupable.

Etant donné qu'il commence à être complètement séché, nous le condamnons à 2 jours de prison et à 10 écu d'amende.

En ce 16 juin 1456,
Justice est dite, Justice est rendue !

**Il quitta la pièce **
Le prévenu a été condamné à une peine de prison de 2 jours et à une amende de 10 écus.

Citation :

Acte d'accusation

Mesdames et Messires, votre Honneur,

Nous nous retrouvons aujourd'hui, pour juger les actes de sieur Fingon, qui a décidé de rentrer dans les livres du record du Comté.
Celui-ci dans la matinée, enfin, devrais je dire dans la nuit du 31 mai de cette année, cette nuit quoi, à tenté de rentrer par effraction dans la mairie Tarbes.
L'individu après un combat avec les miliciens s'est enfui.
Heureusement il n'a pas été difficile de le reconnaitre puisque son portrait était diffusé dans tous les postes de polices ainsi qu'à la milice, l'individu s'étant rendu copable de nombre de crime, et sous surveillance suite à son annonce publique affichant une pancarte pour annoncer son geste.

La révolte de sieur Fingon contre la mairie de Tarbes allant à l'encontre de du critère du bon père de famille, son acte entrant dans le cadre de l'universalité d'action puisque contraire au bon sens et à la sérénité de notre beau Comté de notre coutume, je vous accuse, sieur Fingon de trouble à l'ordre public.

Sieur Fingon, qu'avez vous à y répondre ?

*Fait à Pau le 31 mai 1456*

Citation :

Première plaidoirie de la défense

je voulais voir les belle tapiserie et vérifer si la sauce béarnaise était un bonne sécurité et je confirme elle est trés bien protéger et je suis donc plus rassuré

Citation :

Réquisitoire de l'accusation


Et bien qu'elle explication on ne peut plus convaincante. Mais si vous doutiez de la sécurité, peut-être que vous renseigner auprès des autorités compétentes aurait été plus aisé... et plus légal.
Sieur Fingon n'a plus rien a prouvé côté bêtise, il reconnait son crime.
L'accusé a plus l'air d'un pied nickelé que d'un criminel averti, néanmoins il a annoncé son crime avant incitant d'autres à le suivre, ce qui aurait pu tourner au drame pour la communauté béarnaise.

En suivant la politique de main tendue, je propose à sieur Fingon une alternative :
Si l'accusé présente ses excuses à la cour,
Si l'accusé achète une stère de bois à 50 écus mis à son attention sur le marché municipal de Tarbes et m'envoi par courrier la preuve de l'achat.
Le tout AVANT sa deuxième plaidoirie, il sera demandé l'indulgence à la cour, uniquement coupable au casier judiciaire.

Dans le cas contraire, si aucun effort de votre part est fait, Il est demandé à la cour de condamner Sieur Fingon à une peine de 2 jours de prison ainsi qu'une amende de 75 écus.

*Fait à Pau le 10 juin*

Citation :

Dernière plaidoirie de la défense

La personne intéressée ne s'est pas manifestée.