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 |  Sujet: Vicda3 - Esclavagisme - Coupable - Février 1455 Lun 21 Mar - 16:00 | |
| Comté du Maine
Office de Justice
Procès pour Esclavagisme
En date du mois de Février 1455
Procès instruit le 21/2/1455
Verdict rendu le 1/3/1455
Nom de l'accusé: Vicda3
Procureur: Caitline
Juge: Micki
Acte d’accusation - Citation :
- Le Procureur du Tribunal Caitline agissant en vertu des pouvoirs qui lui sont conférés accuse Vidca3 d’esclavagisme.
Toute personne rémunérant un employé pour un salaire inférieur à 15 écus sera considéré comme esclavagiste et pourra être traduit devant la justice du comté.
Ainsi vous comparaissez ce jour sieur Vidca3, pour esclavagisme à l'embauche envers sieur Zeak le 18 Février
Je tiens à disposition les faits suivant :
https://i.servimg.com/u/11/04/25/09/vidca310.gif
Vous avez été prévenu par dame Fineasse (médiatrice de Mayenne) afin de régulariser votre situation, mais vous n’en avez pas tenu compte. Dommage pour vous, vous auriez pu éviter ce procès !
Que suive la plaidoirie du prévenu. Réquisitoire de l’accusation - Citation :
- Sujet: Re: Vicda3 (esclavagisme)18/02/1455 [JUG - COUPABLE] Jeu 22 Fév - 4:43
Réquisitoire envoyé :
Votre Honneur,
L’esclavagisme est effectivement confirmé par l’accusé sieur Vidca3 ici présent. La Justice n'est point là pour permettre à tout un chacun de se faire rendre Justice par lui-même, et la possibilité laissée à l'accusé pour trouver un moyen de conciliation me semble avoir été satisfaisante, et qu’il n’en a pas tenu compte.
Au vue des divers éléments de preuves et témoignages déposés devant la Cour, vu les Lois et Usages applicables sur le territoire du Maine, je demande à la Cour, une condamnation de seulement 15 écus pour l’accusé ici présent puisque l’attitude et l’empressement de sieur Vidcat3 à réparer ses torts, me semble de bon augure.
Merci de m'avoir écouté Monsieur le Juge.
Dame Caitline
Procureur du Maine
Le 22 Février 1455 Verdict - Citation :
- En cette journée du 1er mars 1455, moi estimé Juge Micki du Comté du Maine, rend mon juste verdict par la grâce du très Saint Radis aristotélicien et la haute bienveillance royale.
Une affaire bien banale Messir Vic, votre bonne foi et surtout le fait de n'être point coutumier de ces lieux plaident en votre faveur.
La Haute cour du Maine par la parole distinguée de son juge estimé rend donc son verdict.
Je vous condamne à une amende de 15 écus pour les troubles engendrés.
Que le très Saint Radis aristotélicien soit goulotté en mesure avant de replonger dans son saint flacon de prune !
Micki, Juge du Maine
En l'an de grâce 1455 le 1er Mars Peine - Citation :
- 15 écus d'amende
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