Aurea.du.perray

Récapitulatif des accusations :

Accusé reconnue coupable de sorcellerie le 15 février 1459

ouvert le 16 décembre 1458


Acte d'accusation

Citation :

Monsieur le juge, vous avez à juger une personne dont il est absolument certain qu'elle a commis des actes de sorcellerie. Est-elle une invocation ou un invocateur ? Nul ne sait. Ce qui est assuré, c'est qu'elle a perpétré ces crimes en compagnie de Quetzal..

De tels actes sont véritablement effroyables. Cependant, monsieur le juge, n'oublions jamais que cette ignoble créature, transfigurée par un affreux rictus qui est celui du Malin, est une créature de Dieu. Pour lui donner une petite chance d'échapper à la damnation éternelle, je vous demande donc la brûler sur la place publique.
Obéissant aux consignes laxistes du pouvoir temporel, nous allons néanmoins écouter le prévenu nous dire qui, parmi les personnes accusées, est l'invocateur, et qui sont les invocations. Peut-être, monsieur le juge, serez-vous touché par le témoignage du sorcier et ne le condamnerez-vous pas à la peine maximale. Je vous recommande, quant à moi, d'être clément envers l'âme du pêcheur, en étant sévère avec son corps.

L'évèque Zippo

Dernière plaidoirie de la défense

Citation :

RAS

Citation :

Dames, Messires, moi, Ysaoth Noihlac, Juge du Bourbonnais Auvergne, vais prononcer le verdict dans l'affaire opposant la Sainte Inquisition à Dame Auréa du Perray, mise en accusation pour Sorcellerie.

Vu l'acte d'accusation du représentant de la Sainte Inquisition.

Puisqu'il semblerait que l'invocation de l'accusée ait disparue, et qu'elle semble avoir prouvé qu'elle voulait vivre de nouveau selon les préceptes enseignés par l'Eglise Aristotelicienne.

Prononce la relaxe de Dame Auréa du Perray.

Jugement rendu par Ysaoth Noihlac pour sa Grasce Silec de Joncheray, Duc du Bourbonnais Auvergne, le 15 février de l'an de grâce 1459

La séance est levée.

DOSSIER CLASSE APRES VERIFICATION D'USAGE LE 22 FEVRIER 1459