Philios
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 |  Sujet: Dioscoride – TOP – Relaxe – 28 Novembre 1457 Ven 14 Jan - 3:51 | |
| Dioscoride – 28 Novembre 1457 – Relaxe – TOP
Juge : Skiid
Procureur de l’Accusation : Aknaïl
Procureur du Réquisitoire : ...
Témoins de l’accusation :
 Gnia
…
Témoins de la défense :
...
...
Relaxe
Verdict rendu le 28 Novembre 1457
Minutes du procès :
- Citation :
- Acte d’accusation :
Votre Honneur,
Je lance en ce jour du 10 novembre 1457 un procès à l'encontre de Sir Dioscoride sous le chef d'accusation de Trouble à l'ordre public (TOP).
En effet, l'accusé est en situation illégale puisqu'il ne détient pas de laisser-passer. Seulement, il nous est apparu que cet homme a voyagé dans une lance de Genévois contre lequel notre comté est en guerre. Il y a eut une bataille entre la lance dont l'accusé faisait partit, et les forces défensive de notre comté. Je vous y joint la preuve :
*02-11-2009 04:09 : Vous avez été attaqué par un groupe composé de Sancte, de Lolo33, de Nimgly, de Darty, de Tlilifares, de Maddys, de Xenac et de Dioscoride.*
Je cite donc les lois enfreintes par l'accusé :
*Béarnais & Béarnaises,
Voyageurs & Voyageuses,
À tous, présents et à venir;
Qu'il soit su que désormais la loy martiale est déclarée en Béarn, en conséquence, en sus des obligations ordonnées par la fermeture des frontières :
*La circulation en territoire Béarnais est interdite à toute personne, Béarnaise ou étrangère au Comté du Béarn, et non munie d'une autorisation de circulation en règle.
*Les armées du Béarn ou agissant en son nom ont désormais l'ordre d'attaquer tout groupe, toute personne ou toute armée n'ayant reçu d'autorisation de circulation.
*Toute demande d'autorisation de circulation doit se faire auprès du Prévôt en fonction, actuellement Donà Lara Marqueyssac-Ravel dicte Lara60, Donà de Les Angles,.
*Toute circulation non-autorisée sera considérée comme un acte d'agression et entrainera des poursuites judiciaires immédiates pour trouble à l'ordre public.
Cette décision fait suite à la déclaration de guerre faite au Béarn par le Canton de Genève, sis en Confédération Helvétique, et l'envoie de troupes armées, Lions de Juda et autres mercenaires affiliés pour attaquer, piller, et saccager le Comté du Béarn.
Cette mesure est effective dès sa publication, et ce, jusqu'à nouvel ordre.
Rédigé et publié le 29 Octobre de l'An de Grasce 1457 en le Castèth de Pau.
Au nom du Conseil Comtal Béarnais,
Caro Maledent de Feytiat, Comtessa do Béarn.
Per lo Béarn !
Livre III: Lois pénales
6.Toute lance, ou corps d'armes étrangers sont interdits de circulation et de création sur le territoire du Béarn sans l'autorisation écrite du Comte ou du Capitaine. Tous les contrevenants seront poursuivis pour trouble à l'ordre publique. Toute personne créant une armée sans l'autorisation écrite du Comte sera poursuivie pour haute trahison.
6.1Toute personne ne mettant pas immédiatement un terme à l'existence d'une lance, un corps d'armes ou une armée à laquelle le Comte ou le Capitaine a décidé de sa dissolution sera poursuivie pour trouble à l'ordre publique.*
Je rappelle à l'accusé qu'il est en droit d'être représenté par un avocat. Il en trouvera un à l'adresse suivante : http://les-avok-haillons.forumchti.com/
Votre Honneur, la parole est à la défense.
*Acte d'accusation fait à Pau le 10 Novembre 1457.
Aknail, procureur du Béarn.*
- Citation :
- Première plaidoirie de la défense :
*Dioscoride avait passé la nuit à s'enivrer, une méthode efficace et dont il usait régulièrement, trop d'ailleurs pour éviter la moindre tracasserie. Il était tenu de rester à Pau pour raisons personnelles, bravant une Loy Martiale des plus saugrenue. Mais là où sa position relevait de l'exploit, c'était de supporter la misère intellectuelle des béarnais, région belle et bien isolée, perdue et arriérée dans un Royaume en pleine évolution. Tous n'étaient pas à mettre dans le même sac, non, certains méritaient d'être jetés au fond d'un puits sans prendre cette précaution.
Le borgne s'avança pour prendre la parole, titubant légèrement et se raccrochant de sa seul main au bureau de l'Honneur:*
"J'ai attaqué personne, l'argument de cette grenouille est de la foutaise. Et pas de témoins en plus, une simple feuille ! Mais j'en ai un de parchemin aussi!
*02-11-2009 04:07 : Vous avez croisé les défenseurs de Bazas*
Et de laisser moi passer j'en ai demandé un à une grognasse qu'est en train de bouffer les chardons par la racine que j'y suis pour rien en plus. Pas ma faute s'il y a des guerres, mais pas envie de payer votre incompétence. Suis pas le tigre judaïque où je ne sais quoi, ni un Informé d'Helvétie. Ferais pas de mal à une punaise même."
*Et Dioscoride de rester le menton sur le meuble, l'oeil divaguant comme s'il traversait murs*
- Citation :
- Réquisitoire de l’accusation :
La personne intéressée ne s'est pas manifestée.
- Citation :
- Dernière plaidoirie de la défense :
*Prit de folie, Dioscoride hurle :*
Je suis innocent !! Relâchez moi!!!!
- Citation :
- La défense a appelé … à la barre :
- Citation :
- La défense a appelé … à la barre :
- Citation :
- L’accusation a appelé Gnia à la barre :
*Le temps où elle trainait ses basques sur les bancs des tribunaux était bien loin désormais. Vieux souvenirs de l'ancien lieutenant de guet d'Arras... Bien loin oui...
Et puis aujourd'hui n'était pas un témoignage anodin. Elle devait témoigner contre l'un des membres de la lance ennemis qui avait tenté une percée suicide sous les rempart de Tarbes, la nuit où elle avait été blessée...
Lorsqu'on lui fit signe de prendre la parole, la vicomtesse se leva, non sans avoir touché auparavant la balafre, couverte par les pansements, qui lui zébrait le bas de la joue droite et le haut du torse.*
Votre Honneur, Salutations !
Je suis Agnès Adélaïde de Dénéré de saint Just dicte Gnia et je m'adresse à la cour aujourd'hui pour témoigner de l'attaque de l'armée Iunctis Viribus, posté sous les rempart de Tarbes par une lance d'ennemis la nuit du 02 au 03 novembre 1457.
J'étais cette nuit là au côté de Messire Lucasd, chef de l'armée quand un groupe de quatre indésirables en formation de lance à tenté de traverser nos rangs. Dans la mêlée qui a suivi cette percée, j'ai été attaquée par un homme à l'oeil couvert par un bandeau et auquel il manquait une main, tout comme le prévenu. De ce dont je me souviens avant de sombrer inconsciente à cause de la blessure qu'il m'a infligé, l'homme assis aujourd'hui dans le box des accusé est le même qui a tenté de traverser nos rangs avec sa lance.
Qu'Aristote soit le témoin de mon serment et qu'il me punisse si je mens.
*La vicomtesse reprit place sur le banc du tribunal. Elle ne savait si elle aurait le courage d'entendre le prévenu reprendre la parole, mais autant tenter...*
- Citation :
- L’accusation a appelé … à la barre :
- Citation :
- Verdict de la cour :
Meine Freunde Dioscoride ist, nous prononcons son relaxment! | |
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