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| Pardaillan | |
| | Auteur | Message |
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nouchka. Copiste
Nombre de messages : 174 Localisation : Saintes Réputation : 0 Points : 485 Date d'inscription : 13/04/2010
| Sujet: Pardaillan Mar 27 Avr - 21:44 | |
| Accusateur : Comté du Poitou Procureur : Eragon de Lisaran Juge : Elhana dite La_justiciere Accusé : Pardaillan Village d'origine : La Rochelle Niveau et métier : Paysan sans terre Acte d'accusation : courant fevrier - Citation :
- Nous, Eragon de Lisaran, en notre qualité de procureur du Poitou, ce 8 Mars 1458 accusons le sieur Pardaillan de Trouble à l'Ordre Public pour installation illégale dans notre beau Port de La Rochelle, courant février.
De plus celui-ci ne nie pas s'être installé illégalement, il l'a fait sciemment ne faisant pas preuve de patiente pendant que son dossier était étudié.
Rappel des lois
------------------------------------- Article I.3 : de la citoyenneté poitevine : Toute personne étant née au Poitou ET ayant résidence au Poitou, est considéré comme citoyen Poitevin. Un étranger au Poitou ne peut être citoyen qu'après avoir obtenu l'autorisation écrite du comte ou du bureau de la citoyenneté de déménager sa résidence principale au Poitou, et avoir effectivement déménagé. Tout noble ayant fief au Poitou est considéré comme citoyen Poitevin. Tout citoyen du Poitou que ce soit depuis sa naissance, ou suite à un déménagement, doit fidélité au Poitou et donc a son Comte.
-------------------------------------- Également, l'article II.2 : Du trouble à l'ordre public a. Tout acte portant préjudice à une personne ou à un groupe de personnes, ou susceptible de le faire, de quelque nature qu'il soit, sera considéré comme trouble à l'ordre public. Il en sera de même de tout acte nuisant à la quiétude publique. b. Sera pareillement considérée toute atteinte aux intérêts du Poitou commise par une personne n'étant pas sujette du Poitou.
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Voila le dossier votre honneur :
http://chateau-poitevin.forum2jeux.com/bureau-du-juge-f4/installation-illegalepardaillan-t11118.htm
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Je rappelle si besoin en est que la coutume Poitevine est affichée aux yeux de tous sur la place publique http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=1021054
Je rappelle enfin que l'accusé peut faire appel à un avocat s'il le souhaite.
La parole est à la défense. 1er témoignage - Citation :
- *Xedar entra dans le tribunal, salua les personnes présentent et s'assis à la barre.*
Votre honneur, je viens à la demande du procureur témoigné dans ce procès du sieur Pardaillan pour installation illégale. Tout d'abord ce monsieur fait sa demande de citoyenneté dans les règles, dans le bureau prévus à cette effet, puis quelques jours après,c'est à dire deux jours, semblant trouver que cela tarde il annonce que il va s'installer, réponse ou pas, au mépris de la loi, disant qu'il se tamponnai d'avoir un procès. le 17 février comme il le dit, il dérape et s'installe à la Rochellle, ceci contasté, je lui envoie une lettre afin de l'avertir qu'il est dans l'illégalité, que le fait d'avoir fait sa demande ne l'autorise pas à s'installer, et que donc il doit soit quitter le Poitou, soit obtenir une réponse favorable à sa demande. Il m'a répondu en disant qu'il assumait cette instalation et ce passage en force, prêt à subir cette farce. Car selon lui nous sommes ici réuni pour une farce. selon moi la farce est juste bonne à rester dans les volailles et n'a rien à faire dans un tribunal mais chacun son opinion madame le juge n'est ce pas? il dit s'être mis au service, il est vrai que en tant qu'il anime fort bien la péche, mais est ce une raison? Non au contraire, avoir une fonction entraine des responsabilités, et celle de respecter les lois doit en faire partie. Et je ne vous parle pas des critiques de ce monsieur sur tout ce qui pourrai se faire et qui ne vient pas de nous. Voilà, tout est dit. Messieurs, madame, passez uen bonne journée. *se lève et file...allez témoignez dans une autre affaire.* Première plaidoirie de la défense - Citation :
- Madame le juge, monsieur le procureur,
Je plaide coupable mais demande la clémence du tribunal pour des circonstances atténuantes.
Ce n'est pas par caprice que j'ai délibérément enfreint la loi du comté, mais parceque l'urgence de la situation le demandait.
Arrivé le 2 février à La rochelle, j'ai immédiatement cherché à me mettre au service de la ville. Pour cela j'ai contacté monsieur le maire, messire Velaron, et messire Kiriell, responsable de la pêche. Très vite nous sommes tombés d'accord pour que je soulage messire Kiriell, qui est par ailleurs fort occupé, de sa charge de responsable de la pêche et monsieur le maire m'a nommé garde pêche. Mais un garde pêche qui n'est pas en charge de la carte renseignée ne sert à rien. Je suis donc entré à la fédération des pêcheurs le 10 février pour y apprendre que JE NE POUVAIS ETRE RESPONSABLE DE LA PECHE DE LA ROCHELLE SI JE N'ETAIS PAS ROCHELAIS.
Il me fallait donc d'urgence devenir rochelais.
Par ignorance ( je pensais qu'il fallait les avoir pour faire la demande) j'ai effectué les 7 jours de mines, comme notre prévot me l'avait demandé par ailleurs et le 14 février j'ai posé ma demande au bureau de la citoyenneté. Le 16 février, constatant qu'il n'y avait pas de réponse, j'ai consulté le registre de ce bureau pour me rendre compte que certaines demandes n'avaient pas de réponse au bout de 20 jours (leelo).Dans mon impatience de bien faire, 20 jours c'était 19 jours de trop.
J'ai alors prévenu de mon intention de passer outre l'autorisation, car le temps qui passait le faisait au détriment des rochelais qui pêchaient en aveugles. Espèrant accélérer la marche de l'administration, car , je le pensais mon dossier était bon, et le comté allait l'accepter de toute façon.
Cela n'a pas eu l'effet escompté et le 18, je crois, je me suis installé à La Rochelle, abandonnant tous mes biens à Lourdes, sans presque rien dans ma bourse et presque nu. Et surtout sans autorisation.
Le 20 j'étais nommé responsable de la pêche et commençais le travail auquel je me destinais et que je fais bien je crois.
Voilà, madame la juge et monsieur le procureur. Je reconnais ma faute et accepterai quel qu'il soit le jugement de votre autorité, en espèrant que vous tiendrez compte de mon dévouement au service de La Rochelle et des rochelais, et donc, indirectement, du comté.
Et je souhaiterais appeler deux témoins, messire Velaron et messire Kiriell pour qu'ils confirment la véracité de mes dires. La défense a appelé Velaron à la barre Voici son témoignage : - Citation :
- Madame le Juge, Monsieur le Procureur, Bonjour à tous.
Je viens témoigner ce 10ème jour de mars concernant l�accusation du sieur Pardaillan.
J�ai suivi avec attention son plaidoyer et l�approuve totalement.
Ledit sieur s�est présenté à moi il y a quelques semaines avec beaucoup de motivation et de bonnes idées. Dès son arrivée à La Rochelle, un projet lui tenait à c�ur : renouer les liens entre les Rochelais et leur ressource première : la mer. Comme les volontaires sont rares, je me suis directement bien entendu avec Pardaillan.
Dès son premier courrier, il m�a fait part de la situation illégale dans laquelle il se trouvait. Sans vouloir le féliciter sur son statut, je l�ai nommé garde-pêche en lieu et place de kiriell, dont les occupations le retiennent fortement pour l�instant. Le Poitou et La Rochelle en particulier sont des endroits où les lois doivent être respectées. Je n�ai peut-être pas montré le bon exemple en nommant Pardaillan mais j�ai avant tout pensé aux Rochelais qui bénéficieraient de ses services.
Depuis sa nomination, il n�a cessé de faire du bon travail, avec un renseignement quotidien des lignes de pêche pour tout type de pêcheur, et une proposition de concours qui va bientôt voir le jour.
Enfin, je tiens à souligner que j�ai insisté auprès de Pardaillan que le poste qu�il occuperait n�engageait aucune fonction municipale. Le garde-pêche est selon moi un représentant de la ville et des villageois.
Je déplore que l�accusé ait outrepassé les règles du Poitou et s�il doit être puni, je le comprendrais. Ce que je peux vous assurer, c�est que c�est pour des bonnes intentions que cet individu s�est installé à La Rochelle, et je me porte garant de sa motivation et de son honnêteté.
Je vous remercie pour votre attention. La défense a appelé Kiriell à la barre Voici son témoignage : - Citation :
- votre honneur, messires procureur.
Me voilà bien embarrassé à venir témoigner ici même. En effet, en tant que Poitevin, seigneur en notre comté, je me dois de respecter et faire respecter la loi en Poitou. Messires pardailhan, quant à lui ne l'a pas respecté et c'est bien dommage car il a �uvré dès son arrivé en notre port au bien être de la ville de la Rochelle où il comptait s'installer au point d'en devenir le garde pêche local. Certes cela ne lui vaut pas de passe droit, cela est évident mais en tant que garde pêche moi même et membre comme lui de la fédération des pêcheurs, j'ai pu apprécier à sa juste valeur son travail au bureau de pêche et son absence serait un manque évident. J'ai entendu avec surprise la déclaration de mon ami le très respectable xedar, ex maire et lieutenant de notre police et ne peux qu'abonder dans son sens. Cependant, je crois qu'aux vus de ses services pour notre port et donc Poitou, il mérite clémence. Il est évident cependant qu'il devra alors respecter Poitou et Rochelle comme tout digne citoyen Poitevin car on ne peut tolérer de critique gratuite tendant à salir la réputation de notre grand comté et par la même de notre très respectable grandeur ! Si propos ont été prononcés visant à nuire à Poitou, il devra au minimum s'en excuser publiquement. Par la même donc, si nous devions alors accepter la clémence, je demanderais à la commission d'enquête de revoir leur position à condition qu'ils estiment que le sieur ici accusé ait lavé ses fautes par ses actes bienveillant. Réquisitoire : - Citation :
- *Eragon écoute successivement, Xedar, Velaron, Kiriell et l'accusé puis il se tourna vers la juge*
Votre honneur, nous avons ici un homme qui a sciemment outrepassé les lois Poitevines, il ne le nie pas et ne ne pouvons décemment le relaxer puisque cela serait INJUSTE envers les personnes qui ont été patients et qui ont suivi la procédure jusqu'au bout. Cependant, au vu des témoignages du Maire de la Rochelle de l'époque et du seigneur Kiriell, nous ne pouvons pas douter de la bonne foi de messire Pardaillan. Par ailleurs, il semble que l'accusé est très attaché à la mer et aux poissons, à ce titre je demanderais une peine originale et très à propos. A savoir et pour prouver que le sieur Pardaillan est fidèle à la pêche, au Poitou et à la ville de La Rochelle.. Je demande qu'il pêche sept jours durant en remettant à la mairie de La Rochelle chaque jour le fruit de sa journée de pêche.
Voila votre honneur. Dernière plaidoirie de la défense - Citation :
- Messire le procureur, j'ose espèrer que vous me demandez de vendre ma production au tarif pratiqué par la mairie, sinon vous demandez de fait une amende de 126 écus, ce qui me parait disproportionné.
Mais bon, j'ai compris, j'espère, l'esprit de votre réquisitoire et me plierai volontier à cette peine.( si elle consiste à vendre 7 poissons à la mairie de La Rochelle) Je tiens à dire que je n"ai commis ce délit que pour servir plus vite et que je n'ai en aucun cas l'intention de recommencer à me mettre hors la loi. Je respecte le comté et les poitevins (dont je suis, de fait, même si ma nationalité n'est pas acquise) et je promets de ne plus contrevenir à ses lois.
J'ai plaidé coupable de toutes façons et je sais que je dois être condamné.
Pêcher pour La Rochelle ne me changera pas trop et j'apprécie à sa juste mesure la clémence du réquisitoire et salue, par avance, la sagesse du tribunal. Le jugement a été rendu - Citation :
- Enoncé du verdict
Le prévenu a été reconnu coupable de trouble à l'ordre public. *Elhana se retint de rire à la demande du procureur puis prit la parole.*
Messire Pardaillan, vous bénéficiez de témoins dont la qualité et l'honneur sont reconnus partout en Poitou. S'ils assurent que vous êtes honnête et travailleur, je les crois sans hésitation. Néanmoins, et vous le reconnaissez vous-même, vous avez transgresser la loi, mais cela dans le but d'aider la ville qui m'apparait comme étant chère à votre coeur. C'est pourquoi, je ne peux que vous déclarer coupable d'installation illégale, en ce 13 mars 1458, et je vous condamne à une peine symbolique de 1 écu. De plus, étant donné que le maire Velraon se porte garant pour vous, je demande à ce que la commission examine à nouveau votre dossier de citoyenneté, ceci dans le but de vous donner une nouvelle chance de faire vos preuves et de demeurer en Poitou, légalement. J'espère qu'à l'avenir vous vous montrerez plus patient. Le prévenu a été condamné à une amende de 1 écu. | |
| | | nouchka. Copiste
Nombre de messages : 174 Localisation : Saintes Réputation : 0 Points : 485 Date d'inscription : 13/04/2010
| Sujet: Re: Pardaillan Mer 26 Mai - 12:23 | |
| accusateur : Comté du Poitou Procureur : Xedar Juge : jmanci Accusé :Pardaillan Village d'origine : installé illégalement à la Rochelle Niveau et métier : paysan, sans champs Acte d'accusation : 20 avril 1458 - Citation :
- Nous, Xedar, en notre qualité de procureur du Poitou, ce 20 avril 1458 accusons le sieur Pardaillan de Troubles A l'Ordre Public envers le comté du Poitou. En effet, il a à de nombreuses reprises fait preuves d'irrespect envers des poitevins; Il a diffamé bon nombre de personne sans apporter de preuves concrète. Il a de plus parler à nombreuse reprises de sa volonté de prendre de force la mairie de la Rochelle. Malgré son premier procès, il persiste à rester en Poitou malgré le refus de sa demande de citoyenneté.
Voici plus en détails ce qu'il a dit ou fait. Il a tenu des propos insultant vis à vis de dame Alienor.1 la traitant entre autre de pauvre cruche. Il à mis en doute les motivations du comté vis à vis de la Rochelle, disant qu'il(le comté) voulait annexer la ville et ne se soucier pas de son bien. Il a aussi indiqué que le comté, donc par extension le comte lui donné la nausée. Il à parler à de nombreuses reprises de prendre la mairie de la Rochelle. Voici une retranscription de ses propos. "Tu veux que je reprenne la mairie de force ou tu organises les élections? " Il a traité choupi22, habitant de la Rochelle et membre de notre OST de fou. Il a diffamé le travail de notre tribun, en disant qu'elle dormait et qu'elle faisait mal son travail. Il a à de nombreuse reprises insulté le travail de notre maire Mathelly. Le traitant de machin, de truc et aussi de nullard, le menaçant aussi de lui mettre des coups de pieds aux fesses.
bref, je vous l'avoue, tout ceci parait bien confus. Il faut dire que le sieur provoque à tout va, ce qui entraine une multiplication de cas assimilable à du TAOP.
Ainsi donc pour résumer le tout. le sieur Pardaillan incite à la révolte et diffame à tour de bras. le tout en étant installé illégalement. ---------------------------------------------- A propos du TAOP, la coutume dit ceci: 4-Du trouble à l'ordre public a. Tout acte portant préjudice à une personne ou à un groupe de personnes, ou susceptible de le faire, de quelque nature qu'il soit, sera considéré comme trouble à l'ordre public. Il en sera de même de tout acte nuisant à la quiétude publique. b. Sera pareillement considérée toute atteinte aux intérêts du Poitou commise par une personne n'étant pas sujette du Poitou. -------------------------------------------------
Votre honneur voici le dossier : http://chateau-poitevin.forum2jeux.com/bureau-du-procureur-f5/taop-a-l-encontre-du-sieur-pardaillan-t11403.htm
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Je rappelle si besoin en est que la coutume Poitevine est affichée aux yeux de tous sur la place publique en gargote.
Je rappelle enfin que l'accusé peut faire appel à un avocat s'il le souhaite.
La parole est à la défense. L'accusation a appelé Choupi22 à la barre - Citation :
- Monsieur le juge ,
Monsieur le procureur , Messieurs et Mesdames
je ne ferais point de long discours , le dossier présenté par Messire le procureur étant assez laconique sur les charges et les preuves apportées , je ne ferais point de long discours et me contenterais d'apporter ici mon témoignagne
Le sieur Pardaillan à t'il :
- mis en doute les motivations du comté vis à vis de la Rochelle, disant qu'il(le comté) voulait annexer la ville et ne se soucier pas de son bien. Il a aussi indiqué que le comté, donc par extension le comte lui donné la nausée. -parler à de nombreuses reprises de prendre la mairie de la Rochelle. Voici une retranscription de ses propos. "Tu veux que je reprenne la mairie de force ou tu organises les élections? " -à de nombreuse reprises insulté le travail de notre maire Mathelly. Le traitant de machin, de truc et aussi de nullard, le menaçant aussi de lui mettre des coups de pieds aux fesses. - tenu des propos insultant vis à vis de dame Alienor.1 la traitant entre autre de pauvre cruche.
A toutes ces choses je dis OUI et je me portes entier témoin de tout cela
Tous ces propos ont été tenu en halle ou gargote et je suis totalement sur d'avoir été là a chaqu'un des passages du sieur Pardaillan que j'ai entendu proférer ces paroles
Concernant les propos du Sieur à mon égard , ou il m'a traité de fou et de menteur lors de l'enquête de prévoté , je suis aussi témoin de ces propos et profondément outré de ces propos
Cependant cela est une petite goutte d'eau dans un océan des propos du Sieur et surement les moins importantes au vue des paroles qu'il a eu envers nos autorités comtales et municipales
je n'ai cessé d'oeuvrer pour le bien de notre Comté a travers les différents postes que j'ai occupé , et voir des non poitevins proféré de telles paroles à mon égard m'indifére tout simplement par leur fond mais me choque quand même par leur existence , je sais ce que je suis et ce que j'ai fais pour notre Comté, contrairement a d'autre .
Comme je dis souvent et le conçois très bien, "le doute profite à l'accusé" mais si il y a bien une chose claire dans cette affaire , c'est que le doute n'existe pas Première plaidoirie de la défense - Citation :
- Monsieur le juge,
je prends ceci avec le sourire, et un peu de bonne humeur m'est nécéssaire tant cette nouvelle mise en accusation est affligeante de mauvaise foi et de rancoeur.
Je plaide NON COUPABLE.
D'abord, je suis ravi que l'élucubrante accusation de rebellion ait été abandonnée par NOTRE Prévot.
Et pourtant c'est bien sur cette base que j'aurais aimé être jugé. Car personne n'est dupe: si je suis ici, ce n'est pas pour la longue lithanie des plaintes de Xédar le béni ( il entend des voix) , mais bien car j'ai critiqué le Comté pour sa prise de La Rochelle.
Et alors? Cela n'est pas permi? Je sais que certains qui font tout pour m'empêcher l'accès à la citoyenneté sauront, et Xédar le premier, jouer sur ce point de droit. Mais, si je n'ai pas la citoyenneté, mon dossier est en cours messire, et en l'absence de réponse...
Plus grave ensuite: j'ai la surprise de voir Xédar comme procureur alors qu'il est témoin dans ce procès. Je ne vais pas revenir sur l"épisode de la prise de la mairie, mais je dis clairement qui en sont les protagonistes: Mathelly, Choupi22 et Xédar. Et maintenant il est au procès autrement que comme témoin? Si vous lisez le travail du prévot, vous verrez qu'il témoigne contre moi.
Je demande donc que Xédar redevienne le très simple citoyen qu'il est, et l'annulation pure et simple du procès en attendant qu'une personne impartiale instruise la plainte
Je reviendrais plus tard et point par point sur le dossier: aucune preuve tangible et un grand flou artistique de la part de l'accusation notamment dans les témoignges et leur utilisation. Certaines pièces du dossier sont des faux manifestes et cela ne m'étonne pas de la part de Xédar et Choupi que j'ai ridiculisé.
Cette accusation est une basse vengeance, rien d'autre. Réquisitoire de l'accusation - Citation :
- *Xedar écouta la défense de l'accusé avec un petit sourire aux lèvres, puis il prit la parole en s'adressant directement à Pardaillan.*
Je vais commencer par votre citoyenneté, votre dossier n'est pas en cours, vous avez reçus un refus. Vous savez, on vous a dit non, ça veut dire, que vous ne l'avez pas. Ho, c'est grave, je suis semble il procureur et témoin? Tout d'abord, cela n'est interdit nul part, ensuite, le Poitou en entier est témoin de vos propos en gargote, dure d'avoir un procureur qui ne vous a pas entendu répondre votre fiel. Pour reprendre les paroles du procureur qui se trouvait ici avant moi, le procureur n'a pas a être impartial, il défend les intérets du comté. Bref que je soit impartial ou non cela ne change rien. Et puis regarder les deux témoins que j'ai appelé, vous voyez mon nom dedans? Ensuite, concernant les pièces du dossier, vous êtes bien gentil de dire que tout ceci n'est que mascarade, mais avez vous des gens qui vont dans votre sens? la moitié de la ville à entendue les propos que vous avez sorti devant la mairie. C'est aussi la moitié du comté qui à du vous entendre en place publique parler de ce comté qui vous donne la nausée. Vous passez votre temps à déranger et pire insulter la responsable qui s'occupe de votre dossier. Vous voulez vous intégrer à la Rochelle? Vous passez votre temps à insulter ses villageois, le travail de son maire et aussi du tribun. Vous incitez même à se révolter contre la ville. cela se voit que vous avez jamais mis les pieds dans une mairie, vous comprendrez les désastres que peuvent causer une révolte ou même le fait d'avoir une mairie sans maire, comme cela aurait été le cas si le comté n'avait pas organisé de révolte à la Rochelle. Je ne vous comprend pas je vous avoue, vous dites que vous n'aimez pas ce comté, qu'il vous donne la nausée, mais allez vous en. Personne ne vous retient ici, je vous en prie, partez. Nos portes sont grandes ouvertes. Quand à ridiculiser quelqu'un, ce n'est ni choupi ni moi, mais plutôt vous même. Regardez vous, vous êtes là à fuir constamment vos responsabilité, et quand vous ne pouvez faire autrement vous sortez que c'est pas vous le grand méchant loup, non vous êtes juste une victime. Arretez de vous moquez des gens! A t'on déjà vus quelqu'un être grossier à votre égard? Non il ne me semble pas, et pourtant vous vous donnez le droit d'insultez et d'être malpolis avec tout le monde. Vous avez raison, tout ceci n'est qu'une mascarade, une farce qu'il faut stopper. Pour cela, je demanderais deux jours de prisons afin de pouvoir lui faire profiter d'une visite du château. Puis, je demande à ce qu'il est 48 heures pour quitter le Poitou et ne plus jamais y revenir. Ce laps de temps passer, il sera indésirable en Poitou, toute nos armées ainsi que nos gens d'armes auront alors pour but de le traquer afin que justice soit faite. Et songez Pardaillan, que ci l'on vous retrouve en procès, vous serez dès lors un multirécidiviste, et là il se pourrai bien qu'un gibet soit monter en Poitou rien que pour vous. Dernière plaidoirie de la défense[/] - Citation :
- Triste portrait que celui qui est fait de moi par ce qui devient mon pire ennemi. Ce n'est pas flatteur pour moi si on considère que la valeur d'un homme se mesure à celle de ses ennemis.
Je vous passe le délire sur le gibet. J"ai suffisamment confiance en la justice pour qu'un trouble à l'ordre public ne puisse entrainer le gibet. Il a de l'imagination notre procureur, cela, c'est vrai. Il entend des voix, il dit que la population de La Rochelle les a entendues aussi et utilise des propos que j'aurais tenus à Mathélly en mairie comme des évidences. Sans bien sur avancer aucune preuve,; c'est sa marque de fabrique si j'ai bien compris. Et il appuie son propos par le témoignage de Choupi.
Ce sont des faux grossiers: le jour ou je suis sensé avoir tenu ces propos, mathélly était en retraite, ce que j'ai dit en gargotte, tout le monde peut vérifier.
Pour le reste, il n'y a rien de très grave si ce n'est mon aspiration à la liberté et à la démocratie qui gène forcément. Mais bon , je ne changerai pas de ce côté là, le monde devra s'adapter.
Vous pouvez me juger là dessus, mais pas sur un dossier qui est vide de preuves et de sens.
J'appelle Mathelly à la barre. On verra bien s'il confirme ou pas le délire de Choupi (oui choupi: vous ête fou, vous entendez des voix et décemment je ne peux vous comparer à Jehanne)
J'espère que le jugement aura lieu sur des faits, pas sur les fantasmes d'un procureur haineux.
Moi, je n'ai pas de haine. Mais il y a un truc qui y ressemble qui commence à monter. Gaffe quand même: là, je suis cool. [b]La défense a appelé Mathelly à la barre - Citation :
- Monsieur le juge,
Voila une situation des plus ironique. La personne m'ayant accuser de mal faire mon travail, voir même d'être un tyran à la solde du comté me demande de venir le défendre.
Alors pour mettre les choses au clair : - Oui je suis bien à la "solde" du Comté en tant que loyal citoyen et soldat de ce dernier. - Oui j'ai bien organiser la prise de la Rochelle mais sur demande du maire précédent et avec l'aval du comté. - Non, je ne lèverais pas le petit doigt pour vous défendre, bien au contraire car vous, sieur Pardaillan, n'êtes qu'une nuisance pour les personnes ayant a c�ur les intérêts de la Rochelle ainsi que du comté. Pour preuve, vous avez agis sans l'aval de la municipalité dans la fermeture de l'accès au bureau de la pêche, ce qui n'a pas vraiment plus au sieur Ticannis et à moi non plus d'ailleurs quand on sait que le poisson est la principale sources de richesse de LR.
Sur ce Monsieur le juge je vous salue car je n'ai plus rien a rajoutez et je vais donc me retirer.
Au revoir sieur Pardaillan et au plaisir de ne plus jamais vous revoir. L'accusation a appelé Alienor_de_proisy à la barre - Citation :
- Alienor arriva, encore Pardaillan qui faisait des siennes. Elle approcha et pris la parole.
Bonjour, Alienor de Proisy Fortunat, Dame de l'Isle d 'Olonne responsable de la citoyenneté. Que dire sur Sieur Pardaillan , deja qu il m a ecrit pour me dire de venir pour me poser des questions. Je suis témoin de l 'accusation et point de la defence que l on soit bien d 'accord.
Sieur pardaillan a reçu 3 refus de citoyenneté, mon bureau est devenu pour lui un endroit ou il parle politique et denigre nos institutions. IL se croit indispensable pour nous Poitevin mais en reste t il digne je dit que non pas avec un tel comportement. Le bureau de la citoyenneté est fait pour les demandes et non pour discuter politique comtale ou municipale. Avec son comportement il empeche bon nombres de personnes de venir se presenter. cela sature mon pigeonnier car les demande arrive en privée...
Pour Sieur Pardaillan je suis une cruche grand bien lui face mais ses propos insultants ne changerons pas qu il n est pas considéder comme citoyen.
Il serait préférable qu il cesse de prendre le bureau de la citoyenneté pour une salle de debat et ainsi m empecher de faire mon travail.
IL est installer Illégalement et ses trois demande son rester sur un refus le comte lui même a refuser, que faire de plus ? continuer a supporter cette personne qui par depit viens troubler notre travail ? Enoncé du Verdict - Citation :
- Sieur pardaillan que vous dire ou plutôt par quoi commencer,
Un procureur haineux, des témoins qui entendent des voix. Des voix ou plutôt votre voix, vous avez vos idées choses bien normale mais faites vous entendre autrement dans le respect de la loi et en respectant les autres, vous dites dans un procès, votre procès je vous cite » Moi, je n'ai pas de haine. Mais il y a un truc qui y ressemble qui commence à monter. Gaffe quand même: là, je suis cool. » Pensez vous réellement que cela se dit dans un procès, vous été l�accusé, vous été là pour être jugé, suivez le conseil que je vous donne exprimez vos idées avec respect et faites en sorte de ne plus revenir dans se tribunal le multi récidivisme se traduit par un bannissement.
Que les choses soient claires vous êtes ici pour avoir tenus des propos irrespectueux, propos confirmez par divers témoin, sieur vous déblatérez à tout va, en tout lieux et vous n�assumez pas vos dires.
Pour vos propos et vos agissements irrespectueux je vous déclare coupable de trouble à l�ordre publique et vous condamne à 1 jour de prison ainsi qu�une amende de 40 écus | |
| | | nouchka. Copiste
Nombre de messages : 174 Localisation : Saintes Réputation : 0 Points : 485 Date d'inscription : 13/04/2010
| Sujet: Re: Pardaillan Mer 26 Mai - 12:38 | |
| Le 09 mai 1458, comté du Poitou, Comte regnant : Ventreachoux Accusateurs : Dame Philorca, Comté du Poitou Procureur : Jmanci Juge : Xedar Accusé : messire Pardaillan Village d'origine : installé illégalement à La Rochelle (Comté du Poitou) Niveau : Paysan, ne cultive ni n'élève rien Victime : Dame Philorca Village d'origine : La Rochelle(Comté du Poitou) Métier: artisan, forgeron *********************************************************************************** Acte d'accusation : 9 mai 1458[/] - Citation :
- Votre Honneur,
En ma qualité de procureur du Poitou et au nom du Comté du Poitou, ce jour, nous accusons messire Pardaillan de trouble à l'ordre public, pour avoir insulté et menacé Dame Philorca à la Rochelle.
Voici votre honneur les pièces du dossier : http://chateau-poitevin.forum2jeux.com/bureau-du-procureur-f5/infractionpardaillan-23-avril-1458-t11477.htm
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II - Les Coutumes pénales
4-Du trouble à l'ordre public a. Tout acte portant préjudice à une personne ou à un groupe de personnes, ou susceptible de le faire, de quelque nature qu'il soit, sera considéré comme trouble à l'ordre public. Il en sera de même de tout acte nuisant à la quiétude publique. b. Sera pareillement considérée toute atteinte aux intérêts du Poitou commise par une personne n'étant pas sujette du Poitou.
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Je rappelle si besoin en est que la coutume Poitevine est affichée aux yeux de tous sur la place publique http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=1021054&sid=tbqQ2tt7lzMBbhNmmWm1lSp5g
Je rappelle enfin que l'accusé peut faire appel à un avocat s'il le souhaite.
La parole est à la défense. [b]Temoignage de Philorca - Citation :
- *Philorca se lève et salue la cour*
Bonjour à tous, je suis Philorca, citoyenne poitevine depuis juin 1457 puis rochelaise et aujourd’hui maire de La Rochelle.
Comme je l’ai dit à notre prévôte lors de son enquête, Moi comme plusieurs pêcheurs occasionnels, nous sommes présenté de beau matin au lac et là, telle ne fut pas notre surprise quand nous avons remarqué que les clés avait été changé. Je me suis donc présentée au bureau de pêche où Xedar était d’ailleurs entrain de rouspéter également. Nous ne comprenons pas pourquoi ce messire, qui de plus n’est pas rochelais, se permet de telles choses. Nous avons donc cherché à discuter afin d’avoir des réponses, mais cela à très vite dégénéré. Nous nous sommes fait insulter à tour de rôle, et comme à son habitude messire Pardaillan est devenu vulgaire, et pas qu’avec moi… Cela dit, le connaissant cela ne m’interpelait pas plus que ça sauf au moment où il m’a menacé de et je le cite…
*Phil sort de sa poche un morceau de parchemin. Les paroles répétitives et agressives de ce sieur l’ayant tellement marqué, elle n’avait pu s’empêcher de les noter*
« Si vous me le permettez je vais donc la mettre dehors avec mon pied au cul en prime. »
*Puis relevant la tête vers les jurés, et rangeant soigneusement le parchemin dans sa poche*
Voilà qui est dit. Pour ce nouvelle arrivant, et je le clame haut et fort, qui n’est pas poitevin et illégalement rochelais, je trouve limite que comme excuse à la suppression de trousseau de clés, il ai le culot de me dire que je n’ai jamais eu ces clés, lui qui il y a trois mois n’était même pas ici. Le précédent responsable de pêche, qui lui était un vrai responsable, le sieur Kiriell pourrait vous confirmer que j’ai pêcher bien plus que ce triste sire. Ce qui m’a poussé à venir devant vous aujourd’hui, ce sont ses premières menaces, qui même après interventions de différents rochelais, comme messire Azzalelo, Ticannis ou Choupi, ses paroles agressives et rempli de violence se sont continué pendant plusieurs jours au bureau de la mairie également.
J’ai donc décidé de faire respecter les lois qui protègent les poitevins. J’ai envoyé un courrier notre prévôte, de dépôt de plainte à l’encontre de ce perturbateur.
*La jeune femme jette un regard à l’accusé puis se retournant vers le juge*
Voilà je pense vous avoir tout dit, si ce n’est pas le cas, je reste à votre disposition. Je vous remercie de m'avoir écouté.
*Philorca regarde l’assemblée et retourne s’assoir.* La défense a appelé Barnard à la barre Voici son témoignage : - Citation :
- Votre honneur,
Je suis témoin des évènements qui ses sont déroulés au bureau de pêche, bien que la plaignante n'ait pas jugé nécessaire de me nommer. D'ailleurs, vous étiez également présent, vous ne devriez donc pas être juge dans cette affaire...
Les propose prononcés par le Sieur Pardaillan étaient une réponse à des provocations proférées précédemment par vous-mêmes et Dame Philorca, sans parler des rires insultants suite à cette psudo-insulte...
En fait, je pense que vous n'avez rien à faire à votre poste puisque vouas avez pris parti lors de l'altercation. Cette affaire aurait du être jugée par les Pairs de France.
Si j'avais du faire remarquer tous les propos blessants de Dame Philorca, j'aurais bien ouvert une cinquantaine de procès, et encore plus contre vous...
De plus, je dois vous rappeler que votre plainte a été déboutée par la fédération des pêcheurs.
Personnellement, je ne respecte pas la loi comtale mais la loi royale, contrairement à vous. Ne m'obligez pas à vous apprendre le droit...
Bref, tout le monde connaît déjà votre décision concernant cette fausse affaire, nous verrons ce qu'en dira la Cour d'Appel. L'accusation a appelé Rikke à la barre Voici son témoignage : - Citation :
- La Rouquine prévôt venait de recevoir une convocation à témoigner. Elle quitta donc son bureau du château et se rendit au palais de justice.
Elle devait témoigner dans le cadre d'une affaire opposant le sieur Pardaillan à la dame Philorca. Elle avait mené l'enquête et tous les éléments étaient dans sa mémoire. Elle s'approcha du procureur, qu'elle salua respectueusement.
"Votre honneur, j'ai mené des investigations ces temps derniers concernant l'attitude de messire Pardaillan. Cet homme réside à la Rochelle , mais n'est pas citoyen Poitevin,il aime à perturber la quiétude de sa cité, preuve en sont les différentes affaires le concernant. Mais revenons a celle qui vous intéresse. En date du 23 avril 1458 j'ai reçu une plainte de Dame Philorca citoyenne de la Rochelle, cette dernière me faisait part des injures portées a son encontre par Pardaillan. Je dois dire que ce dernier n'a pas tardé a répondre a ma convocation, il n'a jamais démenti avoir proféré des insultes��de l'ordre de coup de pieds au cul�..,je suis navrée d'utiliser céans ces mots qui sont ceux utilisés par messire Pardaillan . Je dois toutefois vous rappeler monsieur le procureur, que le contexte ambiant de la Rochelle a cette époque était échauffé, en effet des élections municipales allaient avoir lieu et la compagne du messire était candidate. Au cours de mes investigations, par de nombreuses fois, L'individu Pardaillan, sans qu'il daigne répondre a l'intégralité de mes questions a eu du mal à contrôler ses propos et j'ai du maintes fois le rappeler a l'ordre. Je conclurais ce témoignage sur une scène dont je fus moi-même témoin lors d'un passage à la Rochelle, ma mémoire étant excellente, en voici les mots exactes qui étaient a adréssé a Philorca.
La Prévôt reprend sa respiration:
C'est ça, allez vous saouler ivrogne!
En plus elle boit! Incroyable.
Et elle veut etre maire. Pfff, elle est à la fois stupide et alcoolique?
Cela fait beaucoup...
voila monsieur le procureur, le témoignage que je fais ce jour en mon âme et conscience. je me tiens a la disposition de la justice de mon comté." Réquisitoire de l'accusation : - Citation :
- *Ayant écouté les divers témoins et la plaidoirie de la défense, il prit un instant pour relire ses notes et mettre en place son réquisitoire.*
Pour rappel de notre coutume qui est visible de tous 4-Du trouble à l'ordre public a. Tout acte portant préjudice à une personne ou à un groupe de personnes, ou susceptible de le faire, de quelque nature qu'il soit, sera considéré comme trouble à l'ordre public. Il en sera de même de tout acte nuisant à la quiétude publique. b. Sera pareillement considérée toute atteinte aux intérêts du Poitou commise par une personne n'étant pas sujette du Poitou.
Nous sommes ici pour juger un homme, cet homme *désigne le sieur pardaillan* qui est accusé de trouble à l�ordre pour avoir proféré diverses insultes et menace contre dame philorca.
Pour vous répondre sieur pardaillan, non quelqu�un qui va en taverne n�est pas synonyme de pochetron, on peut y manger, y boire des tisanes, parler à des gens, des voyageurs, faire de connaissance, orienter les nouveaux,�. Et bien d�autres choses, si pour vous une taverne se réduit à un simple lieu de beuverie ne supposez qu�il en est de même pour tout le monde.
Je me dois au passage de rappeler à l�accusé ainsi qu�au témoin de la défense que vous été ici dans un tribunal, je vous demanderais donc de mesurer les propos que vous tenez.
La défense a appelé sieur barnard à témoigner, personne qui admet être témoin et qui di lui-même avoir entendu les insultes et menace que l�accusé a prononcé. J�ai convoqué comme témoin notre prévôt en charge de l�affaire qui nous a rappelé que le sieur n�en était pas a sont premier trouble à l�ordre publique et qui a elle-même était témoin de l�attitude insultante de l�accusé.
Votre honneur nous avons démontré ici l�attitude irrespectueuse du sieur pardaillan, cet homme n�hésite pas à insulter une dame se rendant dans un bureau de pèche, cet homme se permet même de la menace d�un coup de pied, et tout cela sans aucun remord bien au contraire, il dit ici même et je le cite *prend ses notes pour lire à la cour * « alors la menace de mon pied au cul m'a semblé suffire. visiblement ce n'est pas le cas «
Alors votre honneur je vous le demande un homme qui insulte et qui menace une personne, ne porte t il pas préjudice à une personne et ne nuit il pas à la quiétude publique
Je demanderais contre l�accusé récidiviste, le sieur pardaillan un peine de 2 jours de prison.
*Se tournant vers l�accusé* il y a diverse façon d�exprimer ses idées, ses opinions et tout autres choses, vous choisissez la mauvaise, les menaces et les insultes ne vous mèneront nulle part, hormis au tribunal. Dernière plaidoirie de la défense - Citation :
- devant l'absurdité, quoi faire?
Chanter!
"j'suis un goujon" ( pardaillan/pardaillan)
j'suis pas mou du jonc, j'suis un goujon; mais au bout de la ligne, j'suis comme un con; je frétille et me tortille, me démène, ramasse mes billes;
maiiiiiiss, la goujonne a des nageoires magnifiiiiiquuues, mais il faut absoluement quuue je la niiiquuue; la goujonne a toujours raison!
poil au con!
j'suis pas fou, pas maléfique;
j'suis pas mou du jonc; j'suis un goujon; mais quand elle m'évite, j'me sens comme une bite je me pose sur le quai, ne fais plus rien , je suis inquiet!
maiiisss, la goujonne a des écailles magniffiiiiques, il faut absoluement que je la niiiique, la goujonne a toujours raison,
poil au fion!
j'suis pas dingue, mais ça me prend au tripes;
j'suis pas mou du jonc, je suis un goujon; ce soir j'ai rendez vous (au resto), sur, je la nique je vois l'asticot, un truc me pique;
me tire de l'eau, me tire de l'eau, pauvre de moiiiiiii, fait coooomme unnn raaaat! ( d'eau)
la goujonne a toujours raison:
je suis un con!
Bon appétit! a défense a appelé Cacciopee à la barre Voici son témoignage :Citation: - Citation :
- Messire le juge Jmanci.
oups! pardonnez moi messire le juge Xedar , je m'y perds avec ces nominations de dernière minute.
Votre compagne Messire le juge Xedar, Pilorca, accuse Pardaillan de propos déplacé à son encontre au bureau des pêcheurs, Je suis d'ailleurs très surprise qu'elle ne soit pas venue témoigner ici. enfin...
Dame Ciboulette,responsable nationale à la fédération des pêcheurs,a fait une enquête sur le travail de sieur Pardaillan,elle a été claire et a conclu que Pardaillan faisait admirablement bien son travail et l'a réhabilité dans ses fonctions. Cette enquête s'est produite comme par hasard au même moment que cette affaire et suite à des plaintes ou je dirai plutôt des pleurnicheries de personnes incapable de régler des divergences par le dialogue.
J'étais présente quand votre compagne ainsi que vous même êtes venus au bureau des pêcheurs critiquer et rabaisser le travail de Pardaillan sans à aucun moment vous demander et surtout lui demander pourquoi il avait enlevé l'accés à la carte aux pêcheurs inactifs. En trois mois votre compagne Philorca, messire le juge Xedar,n'a jamais renseigné ou une fois, tant dis que Pardaillan et d'autres fidèles pêcheurs comme camulogène,Shyro,Barnard et quelques autres sont là tous les jours sur le lac et utilisent la carte et aident tous les pêcheurs rochelais.
Alors trouvez vous normal que des personnes complètement inactives et qui ne s'intéressent pas à la pêche viennent rouspecter et pleurnicher au bureau de Pardaillan?
Les clefs ne sont utiles que pour renseigner et aider. Quelle utilité d'avoir les clefs de cette carte si Philorca ne renseigne jamais ,elle peut très bien aller pêcher sans cette clef et pour savoir les meilleurs coins lire le bulletin quotidien au bureau des pêcheurs.
Si j'étais garde de pêche et que des personnes qui ne sont pas solidaires en ne renseignant pratiquement jamais et qui ne font rien pour la pêche étaient venues me critiquer gratuitement dans mon travail sans savoir ,juste pour une mannoeuvre politique, croyez moi je n'aurai pas été aussi patiente que Pardaillan.
Voilà Messire le juge Xedar. Je vous remercie de m'avoir écoutée, et reste à votre disposition. Enoncé du verdictLe prévenu a été reconnu coupable de trouble à l'ordre public. - Citation :
- Jugement rendu à Poitiers le 21 Mai 1458 par Lanie
Sieur Pardaillan
Nous sommes dans un tribunal et non sur une place publique gardez donc vos sobriquets et vos chansons pour vous. Vous résidez illégalement en Poitou et vous vous permettez d'insulter de menacer et dénigrer une résidente de longue date. Peu importent les causes qui vous y ont amené. En conséquence je vous déclare coupable de trouble à l'ordre public et je vais suivre le procureur en vous condamnant à 2 jours de prison un pour les insultes envers Dame Philorca et un pour votre conduite inqualifiable dans ce tribunal ainsi qu'une amende de 15 écus pour récidive. | |
| | | Elhana Parcheminier
Nombre de messages : 45 Réputation : 0 Points : 109 Date d'inscription : 30/04/2009
| Sujet: Re: Pardaillan Dim 31 Oct - 20:12 | |
| Accusateurs : comté du poitou Procureur : Lanie Juge : Oane Accusé : Pardaillan Village d'origine : installé illégalement à La Rochelle (Comté du Poitou) Niveau : Paysan, possède un potager Victimes : Dame Allydou Prévot du Poitou Gordibach homme d'église *********************************************************************************** - Citation :
Votre Honneur,
En ma qualité de procureur du Poitou et au nom du Comté du Poitou, ce jour 20 Juin 1458 nous accusons le sieur Pardaillan de trouble à l'ordre public, pour manque de respect envers un homme d'église Gordibach le 26 Mai de cette anée et insultes, manque de respect, atteinte à l'intégrité envers Dame Allydou
Votre Honneur voici le dossier
http://chateau-poitevin.forum2jeux.com/bureau-du-procureur-f5/plainte-pardaillan-insulte-a-l-encontre-de-gordibach-t11624.htm
************************************************************************************
II - Les Coutumes pénales
4-Du trouble à l'ordre public a. Tout acte portant préjudice à une personne ou à un groupe de personnes, ou susceptible de le faire, de quelque nature qu'il soit, sera considéré comme trouble à l'ordre public. Il en sera de même de tout acte nuisant à la quiétude publique. b. Sera pareillement considérée toute atteinte aux intérêts du Poitou commise par une personne n'étant pas sujette du Poitou.
************************************************************************************
Je rappelle si besoin en est que la coutume Poitevine est affichée aux yeux de tous sur la place publique http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=1021054&sid=tbqQ2tt7lzMBbhNmmWm1lSp5g
********************* Votre Honneur voici le sieur Pardaillan accoutumé des lieux.. Cet homme qui n'a pas obtenu la citoyenneté poitevine et qui se permet de manquer de respect, insulter et menacer toute personne qui ose le contredire
********************
Je rappelle enfin que l'accusé peut faire appel à un avocat s'il le souhaite. La parole est à la défense. L'accusation a appelé Gordibach à la barre, voici son témoignage - Citation :
- *Le curé avança vers la barre*
Bonjour mes enfants. Je me présente, je suis Gordibach, Ex Vicaire Diocésain des Malines et ex Prévôt de Flandres. Je suis appelé à témoigner devant vous aujourd'hui contre le sieur Pardaillan. En effet, je ne pensais pas qu'un enfant d'Aristote puisse parler de la sorte. Tout à commencé quand je suis venu au bureau de pêche de la halle de LR, lorsque Messire Pardaillan y était responsable de pêche, afin d'y afficher le meilleur coin de la journée. J'ai reçu le premier courrier de messire Pardaillan qui m'invitait à renseigner la carte de pêche et non pas le bureau où aurait pu se présenter des visiteurs. J'ai donc pris ma plume et un parchemin et lui ai répondu que je le remerciais, mais que depuis peu je n'avais plus les accès à cette carte et que dorénavant je renseignerais au bureau de la halle pour les pêcheurs matinaux et non pas sur cette carte. Aristote ne fait pas de privilégier, vous en conviendrez, je me dois donc d'aider toute personne voulant pêcher. Cet enfant m'a alors répondu par pigeon que si ça ne me plaisait pas, je n'avais et je le cite..
*le curé s'arrêta un instant et se signa en vue des paroles qu'il allait prononcer*
que si ça ne me plaisait pas, je n'avais qu'à aller mourir.
*Il releva la tête et fit face aux jurés*
Après mûre réflexion, j'ai décidé de porter plainte, car aucune personne, tel qu'il soit n'a le droit de se permettre de parler de la sorte, encore en plus si cette personne a des responsabilité envers une ville et ses habitants. J'ai su par la suite que ce messire était de plus hors la loi, puisqu'il était installé à La Rochelle en toute illégalité et que ce n'était là point son premier méfait.
Voilà donc ce qui s'est passé.
*L'homme d'Eglise salua respectueusement l'assemblée avant de retourner s'assoir*
Qu'Aristote veille sur vous mes enfants ainsi que sur cet agneau égaré. l'accusation a appelé Allydou à la barre, voici son témoignage : - Citation :
- Avant de s�en rentrer à son bureau pour encore travailler quelques longues heures, elle passe par la salle ou se déroule l�audience du Pardaillan. « Du » parce que c�est ainsi qu�elle le nomme mentalement quand elle se voit obligée de penser à lui. « Du » parce qu�il a perdu, pour elle, le droit de prétendre au titre de « messire » ou même encore « sieur » en faisant preuve de tant d�irrespect à son égard.
Pour lui, l�avantage c�est qu�elle n�avait pas eu de fiche à consulter, pas de note à prendre �Il était désormais aussi connu que le loup blanc à la Prévôté.
Elle s�avance donc, dignement bien que le simple regard, aussi vite posé que détourné pour ne pas lui accorder plus d�attentions que nécessaire, suffit à la mettre en colère.
Arrivée à la barre, elle salue la Cour.*
Dame la Juge, Dame la Procureur,
Je suis ici devant vous aujourd�hui, non en tant que Prévôt en fonction, mais en mon nom propre. Car celui-là, non content de ne point respecter mon titre de noblesse, ni même ma fonction, ne fait pas plus preuve d�égards devant la femme que je suis et c�est bien cela qui m�amène à vous ce jour.
En reprenant, et hélas même avant, le poste de Prévôt, j�ai trouvé dans le bureau, plusieurs témoignages se portant sur la même personne. Je le sais, pour l�avoir entendu des fenêtres de mon bureau, cette même mon bureau, cette même personne a fait quelques grabuges au bureau de dépôt des demandes de citoyenneté. Grabuge lorsque les refus lui étaient opposés, puisqu�il se décrète au dessus de nos Lois et choisit de n�en faire qu�à sa tête.
Quand je l�ai vu, un soir, tardivement, rôder près de l�ancien bureau, celui qui maintenant ne nous sert plus, mes collègues, le Capitaine du Poitou, la responsable civile et moi-même, qu�à délibérer au calme, je me suis rendue devant lui pour répondre à une énième provocation de la part de ce Pardaillan. Je me souviens lui avoir d�ailleurs signalé que la provocation n�était pas, et de loin, la meilleure manière d�obtenir ce qu�il semble tant désirer : le DROIT d�être Poitevin !
Quel mal m�a-t-il pris ce soir là. Je me suis entendue répondre des paroles que la décence *Avant de s�en rentrer à son bureau pour encore travailler quelques longues heures, elle passe par la salle ou se déroule l�audience du Pardaillan. « Du » parce que c�est ainsi qu�elle le nomme mentalement quand elle se voit obligée de penser à lui. « Du » parce qu�il a perdu, pour elle, le droit de prétendre au titre de « messire » ou même encore « sieur » en faisant preuve de tant d�irrespect à son égard.
Pour lui, l�avantage c�est qu�elle n�avait pas eu de fiche à consulter, pas de note à prendre � Il était désormais aussi connu que le loup blanc à la Prévôté.
Elle s�avance donc, dignement bien que le simple regard, aussi vite posé que détourné pour ne pas lui accorder plus d�attentions que nécessaire, suffit à la mettre en colère.
Arrivée à la barre, elle salue la Cour.*
Dame la Juge, Dame la Procureur,
Je suis ici devant vous aujourd�hui, non en tant que Prévôt en fonction, mais en mon nom propre. Car celui-là, non content de ne point respecter mon titre de noblesse, ni même ma fonction, ne fait pas plus preuve d�égards devant la femme que je suis et c�est bien cela qui m�amène à vous ce jour.
En reprenant, et hélas même avant, le poste de Prévôt, j�ai trouvé dans le bureau, plusieurs témoignages se portant sur la même personne. Je le sais, pour l�avoir entendu des fenêtres de mon bureau, cette même personne a fait quelques grabuges au bureau de dépôt des demandes de citoyenneté. Grabuge lorsque les refus lui étaient opposés, puisqu�il se décrète au dessus de nos Lois et choisit de n�en faire qu�à sa tête.
Quand je l�ai vu, un soir, tardivement, rôder près de l�ancien bureau, celui qui maintenant ne nous sert plus, mes collègues, le Capitaine du Poitou, la responsable civile et moi-même, qu�à délibérer au calme, je me suis rendue devant lui pour répondre à une énième provocation de la part de ce Pardaillan. Je me souviens lui avoir d�ailleurs signalé que la provocation n�était pas, et de loin, la meilleure manière d�obtenir ce qu�il semble tant désirer : le DROIT d�être Poitevin !
Quel mal m�a-t-il pris ce soir là. Je me suis entendue répondre des paroles que la décence m�empêche de vous redire à haute voix ici même, par respect pour cette Cour tant que par honte pour moi-même.
Bien évidement, je ne m�étais pas attardée à ses cotés, je n�ai pas pour plaisir de côtoyer les plus méprisables personnes. En repartant de mon bureau, quelques heures plus tard, je n�ai pu me retenir de repasser par la salle ou l�écho résonnait encore de la chansonnette tout droit venue de l�esprit semble t-il dérangé de notre accusé. Chansonnette où, une nouvelle fois, insultes et mépris ont la part belle, comme il l�avoue lui-même.
Il ne reconnait rien ni personne comme étant au dessus de lui, nous parle à longueur de temps d�un certain Démocratie. Voyez-vous Votre Honneur, depuis le temps que je suis ici, en Poitou, je n�ai encore eu le plaisir de rencontrer cette personne, ce Démocratie. Peut-être mérite t-il à être connu, peut-être le sera-t-il dans l�avenir, mais toujours est-il qu�ici, en 1458, il n�a point encore la parole et ne doit pas servir d�excuse aux agissements d�un égaré.
Voilà Votre Honneur, et pour laver le mien, pourquoi j�ai déposé plainte et réclame excuses et réparation !
Je vous remercie de m�avoir laissé ce temps de parole.
*Elle se retire, va s�assoir sans un regard pour le méprisable de l�autre coté de la salle et attend la délibération ainsi que le verdict, avec grande impatience.* réquisitoire : - Citation :
- Votre Honneur
Comme vous avez pu voir le sieur Pardaillan s'est enfui dès le début de son procès.nous avons au moins pour une fois échappé à ses grossièretés et ses chants ridicules.
les propos qu'il a osé tenir à messire Gordibach qui je le rappelle un homme d'église et surtout Dame Allydou qui est non seulement noble mais aussi prévot sont inqualifiables et d'une grossièreté impardonnable méritant une lourde peine.
cet individu s'est installé illégalement dans notre comté a eu sa demande de citoyenneté refusée trois fois il a déja plusieurs procès à son actif et n'a aucun respect envers les autorités ni les nobles ni la religion ni les femmes visiblement.
Je demande donc une peine exemplaire : le bannissement Le jugement a été rendu Enoncé du verdict Le prévenu a été relaxé. => en fait peine RP = bannissement de 3 mois - Citation :
- [La jeune femme entra dans la salle vêtue d�une robe noire de juge raccourcie au dessus du genou, et de fait, laissait entrevoir un collant rouge brodé d�or, à la manière des hommes. Depuis qu�un bandait s�était échappée par la faute de sa robe longue, la jeune femme avait fait raccourcir la robe de juge par sa couturière, ce quia avait beaucoup fait sourire la procureur Lanie. Un murmure s�éleva dans la salle. Mais, la juge n�en eu cure et attendit que le silence se fasse avant de donner de sa voix haute et claire son verdict]
Attendu que Pardaillan a insulté maintes foy de trop nombreuses personnes que ce soit des membres de nostre Saincte Eglise, ici Gordibach, des membres de l�Honorable Noblesse de nostre beau comté, des membres du beau sexe, ici dame Allydou qui répond à ces trois critères-, il s�agit adonc ici d�une énième récidive
Attendu que l�insulte n�est pas son unique délit (installation illégale entre autre)
Attendu qu�il n�a pas daigné se présenter en ce tribunal pour se défendre puisqu�il a quitté nostre comté : tandem �. et nous l�en remercions
Peut-être a t-il enfin compris, par tous les Saincts, que son attitude détestable et irrespectueuse envers les loy qui sont le ciment de nostre société, comme envers autrui, l�a rendu indésirable en nos terres.
Moi, Oane de Surgères, juge du Poitou, je vous condamne par contumace, Pardaillan, à 3 mois de bannissement des terres poitevines. Durant ces trois mois Pardaillan sera considéré comme ennemi du Poitou et abattu à vue si il se présente à nos portes.
Nous lui souhaitons que cette expérience lui ai servi de leçon à l�avenir et que sa prochaine installation soit une réussisse car je reste certaine que son don pour les chants pourra un jour être mis au service d�une noble cause et reconnu à sa juste valeur.
[Bam ! Bam ! Bam ! La jeune femme frappa trois coups secs de son marteau puis ajouta]
Vous pouvez faire appel de cette sentence auprès de la cour d�Appel du Royaume. La séance est levée. | |
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