Hobb

Procès d'Hobb

Trahison : procès du mois de Février 1461 Coupable

Duché de Bourgogne
Office de Justice

Casier judiciaire de Hobb

Procès pour Trahison

En date du mois de Février 146
Procès instruit le 13 Février 1461
Verdict rendu le21 Février 1461[/size]

Nom de l'accusé: Hobb

Procureur: Olivier1er
Juge: : Charles_dubois

Citation :: Procès ayant opposé Hobb au Duché de Bourgogne

Hobb était accusé de trahison.

Le jugement a été rendu

Citation:
Enoncé du verdict
Le prévenu a été reconnu coupable de trahison.
Attendu que messire Hobb a pénétré illégalement dans le Duché de Bourgogne,
Attendu qu'il a porté la main sur les défenseurs de la Capitale,

Moi, Charles Dubois, Juge de Bourgogne, en ce 21 février 1461, déclare Hobb coupable de trouble à l'ordre public et le condamne à l'interdiction de séjour et de passage en notre Duché jusqu'au 21 mai 1461 et à 3 jours de prison.

Greffier, actez, je vous prie.

*BLAM*
Le prévenu a été condamné à une peine de prison de 3 jours.

Citation :: Acte d'accusation
Citation:
Acte d'accusation

* Le Procureur se leva de sa chaire et prit la parole *

Monsieur le Juge, je suis Athos de la Bronze, le Procureur de Bourgogne.

Messire Hobb comparait ce jour, 13 Février 1461 pour répondre du chef d accusation de Trahison envers le Duché de Bourgogne

Il lui est reproché d appeler a la sédition, de soutenir une personne déclarée Usurpatrice par les Lois régissant le Royaume de France applicable en Bourgogne par le Lien de vassalité liant le Duché de Bourgogne au Royaume de France,

De vouloir porter atteinte a l integrité du Duché de Bourgogne en participant au Siege de Dijon et en ayant attaqué le Duché de Bourgogne et ses representants et defenseurs sous une banniere Etrangere a la Bourgogne et au Royaume de France.

De refuser de reconnaître comme Régente du Duché de Bourgogne Dame Aryanha reconnue par Sa Majesté le Roy de France lui conférant selon nos lois fondamentales sa légitimité de Regente,

Comme vous le savez, la justice est coutumière en Bourgogne et fonctionne selon trois critères :

- Un bon père de famille n'agirait pas ainsi et ne tenterait pas de déstabiliser le Duché de Bourgogne, ni ne tenterait de porter atteinte a l intégrité du Duché de Bourgogne en prenant les armes contre les autorités légitimes du Duché.

- Si cette attitude se généralisait, le Chaos, oeuvre de la Bete sans Nom, s installerait en Bourgogne portant un coup fatale au Duché tout entier, a chacune des Villes de Bourgognes, A chaque Bourguignon.
- De coutume, la Trahison est sévèrement punie en Bourgogne.

J accuse donc Messire Hobb de Trahison en portant atteinte a l autorité de la Regente de Bourgogne ligitimé par sa Majesté notre Roy, de soutenir ouvertement l Usurpateur Alexandre Olund et de participer activement a l'agression militaire par des armées étrangeres contre la Bourgogne en pretant son bras armé a cette ignominie.

La trahison sur les terres bourguignonnes est passible de la peine de Mort, Bannissement du Duché et d'emprisonnement

Messire Hobb, vous avez la possibilité de faire appel a un avocat du Barreau de Bourgogne dont voici la liste :
Angelyque
Gautier.de.vaisneau
Effelissianor
ou un Avocat du Dragon.

*se tournant vers le Juge *

Votre Honneur, je vous remercie de m avoir écouté.

* se dirige vers le greffier et signe l acte d accusation apres l avoir daté du 13 Février 1461.

Citation :: Première plaidoirie de la défense
Citation:
Depuis la maladerie Teutonique :

Gents foutre et autres nigauds de la Régence de Bourgogne,

Moi Hobb déclare par la présente, que votre procès est une honte à la justice.

Je m'adresserai en temps utile, c'est à dire quand il me plaîra, à une juridiction supérieure à votre paroderie, ce qui ne sera pas difficile. En effet,
Le moindre pochtron étant plus respectable que votre clique de porteurs de robe.

Je ne m'attendais pas à moins d'hérétiques et d'anathémisé. C'est dans leur culture de pervers.

Sachez que c'est un honneur de se battre contre le Roy fol et par ricochet à la Régence, tout être humain, animal et ectoplasme qui a un tant soit peu d'honneur, de fierté et de bons snes le fera.

Le bon père de famille dont vous parlez ne se vautre pas dans le stupre, la débauche qui existe chez vous et vos semblables.
Mais ce bon père de famille, dont je suis, ferait ce que les résistants à la Régence font. Et à coups de Morgenstern s'il le faut.
Mes Milites sont venus de l'Empire pour certains pour aider le Royaume de France à se libérer, beaucoup ont déjà versé leur sang, et à peine sorti du champ de bataille, vous envoyez vos oiseaux de mauvaise augure, la patte sertie d'un message inepte, cette mise en procès.
J'assume, par la présente, ce que vous reprochez à mes Lanzereiter ainsi que pour tout autre résistant. C'est un honneur pour moi !
Il va de soit, que si vous m'envoyez par retour de corbac, votre repentance et vos excuses quant à vos menaces ridicules, je serai magnanime. Peut-être !

Je ne veux pas de défenseur, ne sachant pas si celui-ci ne sera pas tué par vos services. Puisque il semble bien que vous utilisez des moyens supra naturels !
Quant à ma position, je suis et reste au camp Teutonique jusqu'à mon prompt rétabllissement, qui sera accéléré par le besoin de vous dire de vive voix ce que je pense des urluberlus de votre espèce et de la justice que vous dites représenter.

Signé :
Illisible

Citation :: Réquisitoire de l'accusation
Citation:
*Le Procureur prit le torchon de celui qui se disait chef des defenseur teuton de l�église et qui envoyait des missives au style sortant des bordels d�une ville de l�empire*

*Il prit la plume et ecrivit*

*Messire l�assassin qui deshonore l�Ordre Teutonique, et qui foule aux pieds les valeurs de l�Eglise d�Aristote,

Vous avez été reconnus lorsque vous avez agressé les defenseurs de Dijon. C�est bien beau de se parer d�accoutrement teuton, mais le revert de la medaille, c�est quand on tombe au combat on se fait identifier tout de suite.

Vous ne valez pas trippette, juste un fort en gueule propre a jeter des gens credules sur des murailles epaisses en faisant fit de la vie. Belle Mentalité pour quelqu�un qui se veut aristotelicien.

J�appel comme temoin, Messire Dnapo, l�homme Brave parmi les Braves qui vous a fait mettre genou a terre�pas un, mais les deux, afin qu�il vous identifie comme l�homme a qui il a fait mordre la poussiere.

Messire Dnapo :
« 13/02/1461 04:05 : Vous avez frappé Hobb. Vous l'avez grièvement blessé.»

Messire Hobb, Vous étiez du coté des agresseurs de la Bourgogne.

Je demande au juge de Bourgogne de Vous condamner par contumace a l�interdiction d�entree sur le Duché de Bourgogne temps que vous n�aurez pas demander pardon au Peuple de Bourgogne en reconnaissant l�erreur d�avoir fait s�égarer l�Ordre Teutonique dans une bataille totalement injuste qui ne vous regardait en rien et qui a fait souffrir les Bourguignons.

A defaut, et temps que vous vivrez vous serez considérer comme ennemi de la Bourgogne et a ce titre placé systématiquement en ennemi des armées Bourgogne.

Fait a dijon le 18 février 1461
Athos de la Bronze,
Procureur de Bourgogne*

Monsieur Juge, l�accusée est un des chefs des agresseurs de notre Duché. Les agresseurs de la Bourgogne ne peuvent et ne doivent attendre aucune clemence. Au contraire, il faut que la justice soit severe pour punir toute envie de recidive de porter le glaive sur notre Duché.

Je requiers donc la peine la plus severe : qu�il soit condamner par contumace a l�interdiction d�entree sur le Duché de Bourgogne temps qu�il n�aura pas demander pardon au Peuple de Bourgogne en reconnaissant l�erreur d�avoir fait s�égarer l�Ordre Teutonique dans une bataille totalement injuste qui ne les regardait en rien et qui a fait souffrir les Bourguignons.

A defaut, et temps qu�il vivra il devra etre considérer comme ennemi de la Bourgogne et a ce titre placé systématiquement en ennemi des armées Bourgogne.

Je vous remercie.
*Le procureur appose sa signature sur les minutes du proces juste en dessous de la date du 18 février 1461*.

Citation :: Dernière plaidoirie de la défense
Citation:
[Envoi de courriers et sorcellerie de la justice de la Régence.]

Hobb lut le courrier du procureur, il y répondit :

Monsieur Athos, représentant de la Procure au service de la Régence illégale,

Je vous rappelle que c'est vous qui avez attaqué le château de Dijon, il ne faudrait pas inverser la situation.
Sinon, je ne suis pas un assassin, à la différence de votre quarteron d'illégaux.
Personne n'est crédule dans nos rangs, bien au contraire. Vous voulez mettre en doute ma condition d'Aristotélicien, vous un banni de la Religion. Vous êtes brouillon dans votre réquisitoire, mais vous devez vous en fiche, car d'un claquement de doigt vous vous croyez détenir le droit !!!

Que croyez vous que votre sanction aura pour effet sur moi. Si je suis venu en Bourgogne à plusieurs reprises, y compris du temps de AsdrubaelVect Général des armées bourguignonnes à une époque pas si lointaine où j'avais accès aux salles de coordination les plus secrètes, c'était pour sa protection. Ou êtiez vous ? Que faisiez vous. ? Combien de fois ai-je mis mon bras au service de la Bourgogne ? Quitte à me ruiner ! A me retrouver blessé, mourant même.
Combien de fois la Bourgogne m'a t-elle apportée quoique se soit ? Jamais !
Vous allez vous faire laminer par les bandes de brigands et hérétiques, vous allez pleurer, comme l'an dernier. Pour qu'encore une fois mon bras, qu'avec respect toute la Bourgogne admire, mon bras qui tant de fois à sauver ce Royaume.
Voilà celles et ceux que vous jugez Monsieur Athos ! Et vous me semblez un peu léger, court même.
N'insultez pas un homme qui pourrait vous envoyer son gant, comme il l'a fait à ce Sancte, à Montauban, et lui a donné la raclée qu'il méritait.
Léger, court ?
Ou devrais-je dire niais ? Voilà la question qui vaille.
Vous vous croyez être bien né ? Je ne vois icelieu qu'une canaille.
Et prendre pour écus comptant le témoignage du quidam Dnapo,
voilà encore une légèreté coupable. Comment m'a-t-il reconnu ?
Et vous me jugez par contumace ! Si votre témoin était si fort, comment se fait-il que lui ou ses congénères ne m'ont pas ramenés derrière les murailles ?
Si en fait cela n'était que baliverne ! Voilà ce qu'il faut reconnaître en toute honnêteté.
N'oubliez jamais Monsieur, l'Ordre Teutonique n'a pas besoin de vous, mais la Bourgogne a souvent eu besoin de l'Ordre Teutonique et toutes les Saintes Armées. Depuis son Cardinal Connétable jusqu'au postulant.
Et pourquoi, ai je demandé les témoignages du Juge et du Prévôt ? C'est pour me montrer les pièces qui ont désignés les uns et les autres à votre vindicte.
Pièces qui sont illégales comme je les démontrais ci-dessus.
Alors je ne m'étonne pas de leurs réponses.
Votre bannissement pour tout Milites ou Résistant, ne vaut rien, vous outrepassez toutes règles de la bonne justice qui se trouve dans la forme et l'esprit de la charte du juge. Vous vous en éloignez d'une façon grotesque qui méritera la sanction suprême à votre endroit et pour ceux qui si sont associés.

Soyez assuré de mon grand mépris.
Repentez vous.

Signé :
illésible

Citation :: La défense a appelé Charles_dubois à la barre
Citation:
Voici son témoignage :
Messire Hobb, vous m'envoyé convocation pour témoigner en votre faveur.

Que vous ne soyez pas en accord avec sa Majesté le Roy et ses décisions légitimants la régence et cette Cour de Justice, vous n'êtes pas sans savoir, j'ose espérer, que nul membre de la Cour peut être à la fois juge et parti.

Par conséquent, même si je le voulais, je ne pourrais être témoin dans ce procès.

Si le prévôt veut témoigner, qu'il le fasse.

Ensuite, monsieur le Procureur, je vous demanderais de bien vouloir poursuivre votre réquisitoire.

Citation :: La défense a appelé Adriah à la barre
Citation:
Voici son témoignage :
Elle laissa un mot à la procure...

D'Adriah de la Croix de Bramafan, Prévôt des Maréchaux de Bourgogne,
A la Procure,

Nous avons été appeler pour défendre le sieur. Cela est inutile puisque nous n'avons pas défendre qui que ce soit.

Notre rôle est de déposer plainte à la place des victimes si celles-ci ne peuvent se rendre en ces lieux. Nous n'avons pas a venir défendre un sieur qui attaque notre Capitale.

Cela étant dit, nous ne voyons pas l'interet que nous aurions a nous déplacer en ces lieux.

Respectueusement.

Citation :: L'accusation a appelé Dnapo à la barre
Citation:
Voici son témoignage :
*N'étant pas encore remis totalement de ses blessures, il s'avança avec l'aide de son valet, pour témoigner dans ce procès.*

Votre honneur,

Je m'appelle Didier de Naphield, aussi dict "Dnapo", Seigneur de Thury et de Lavault de Frétoy. Je suis membre du conseil de régence, et ne voulant que le bien de la Bourgogne, d'où ma présence dans la régence, je defendais depuis un moment, avec de vrais Bourguignons, qui aiment leurs terres, notre belle capitale qu'est Dijon.

Pendant plusieurs jours, les ennemis ont tenté de nous terrasser, nous avons résisté, mais je ne peux en dire autant. Ces misérables se sont mis à plusieurs sur moi. Cependant, parmi ceux-ci, j'en ai reconnu un, et je lui ai donné un coup avant d'être submergé.

Cet homme, qui était donc dans les rangs ennemis, s'en prenait à la Bourgogne, en attaquant Dijon et la Régence. Il pensait ne pas être reconnu, hélas, ce n'est pas évident de rester cacher, lorsque l'on dirige un campement. De nos murailles et même de nos rondes, un peu plus rapproché, nous avions vu plusieurs fois cet homme diriger le campement Teutonique. Ainsi, lors du combat, je l'ai immédiatement reconnu, et son nom, était connu, en temps de guerre, on se renseigne sur les généraux ou personnes importantes du camp ennemi.

Alors que les autres avec qui j'ai combattu, je ne saurai dire leur nom, le sien, vu sa position dans l'ordre, je le connaissais.

Je confirme donc sa présence dans les forces ennemies, et qu'il a attaqué Dijon, s'opposant à la Régence. La preuve, il a même attaqué un conseiller de la régence, moi-même.

Je voulais juste également rajouter un chose de ce que j'ai pu entendre juste avant ... certes, l'ordre Teutonique nous a aidé par le passé, mais à ce moment là, l'ordre voyait la bonne cause, or aujourd'hui, l'ordre est dans l'erreur et ne devrait pas être ici pour se mêler de tout ça. Nous n'oublions pas vos actes passés, mais ils ne vous sauveront pas, nous n'oublierons pas les actes présents, et ce, peu importe que vous étiez dans des salles secrètes, car nous y étions aussi. J'ai notamment collaboré plusieurs fois avec Messire Chevreux, un des maîtres de l'Ordre. Mais c'était à l'époque où l'ordre n'avait pas perdu la raison comme aujourd'hui, et ça me désole vraiment.

Je n'ai rien d'autres à rajouter votre honneur.

*Dnapo s'inclina légèrement et retourna s'installer plus loin ...*