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 Minlawa

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MessageSujet: Minlawa   Minlawa EmptyVen 15 Fév - 1:39

Procès de Minlawa

  • Trouble à l’Ordre Public : Procès du mois de Janvier 1461 Arrow Coupable
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MessageSujet: Re: Minlawa   Minlawa EmptyVen 15 Fév - 1:45

Minlawa Mainepetit6tx
    Comté du Maine
    Office de Justice Maine

    Procès pour Trouble à l'Ordre Public

    En date du mois de janvier 1461

    Procès instruit le 18 janvier 1461
    Verdict rendu le 28 janvier 1461


    Nom de l'accusé: Minlawa

    Procureur: Nine.
    Juge: Elendillefin



Acte d’accusation
Citation :
Nous Nine auditore Da Firenze, procureur du Maine, appelons à comparaitre devant cette Cour en ce dix huitième jour de janvier mil quatre cent soixante et un, messire Minlawa pour Trouble à l�ordre public.

En effet voilà plusieurs jours que Mon seigneur Minlawa fait sans cesse des provocations vers Nostre Majesté et envers Nostre Comtesse avec un refus total de leur autorité ce qui lui conduit de faire des appels à la révolte.
Ce qui Nous permet d�avancer de telle accusation sont les prêches que Messire Minlawa fait quotidiennement

Voici les articles de lois enfreints :
Codex Mainois
Section II du droit pénal
Sous section B : Crimes et délis
Article B.4: Trouble à l'ordre public

Article B.4.1: Tout acte pouvant porter atteinte à l�intégrité morale ou physique d�une personne ou d�un groupe de personnes, ainsi que tout acte perpétré allant à l�encontre de ce que peut vouloir la morale et le bon sens populaire.
Article B.4.2: Sera pareillement considérée comme un trouble à l'ordre public, toute atteinte aux intérêts du comté du Maine et de ses institutions commise par une personne ou un groupe de personne ne possédant pas la qualité de sujet Mainois et de ce fait étant étrangère au Comté.

Nous rappelons au prévenu avant qu'il ne prenne la parole qu'il peut faire appel à l'assistance d'un avocat qui pourra le représenté et parler à sa place. Le Maine n'ayant point de représentant en son barreau il peut quérir les services des Avocats du Dragon en se rendant soit à leur permanence à la Cour d'Appel Royale , soit directement au siège de l'ordre du Dragon à l'Hôtel Volponne, ou bien encore en contactant leur bâtonnier Maistre Elisabeth Stilton.

Nous vous remercions de Nous avoir écouté votre Honneur et laissons la parole à la défense.

Première plaidoirie de la défense
Citation :
*se levant l'air fatigué par ses prêches et sa grève de la faim pacifique. Et saluant le juge et le procureur*

Mes enfants... Soyons sérieux ! Qui agresse. Qui insulte en gargote pendant que j'appel au pacifisme?

De plus l' "atteinte à l'intégrité morale " dont vous parlez est une succession des faits que la comtesse et le roy ont produit. Si vous les trouvez immorale, veuillez leur dire à eux et pas a moi.

*il sourit*

et puis je ne me défendrais pas

pour cette raison:

Article B.4.5: Toute pratique allant à l'encontre de la religion aristotélicienne constitue un trouble à l'ordre public. Tout culte autre que l'Aristotélisme, toute forme d'hérésie, et toute atteinte à la Sainte Église Aristotélicienne, ses institutions, ses membres, ou ses enseignements, si demande est faite par l'Officialité Épiscopale de l'Évêché du Mans.

La plainte à été porté, le comté du Maine l'a refusé. Mais serait valable pour moi?

Il ne me restait plus d'autre choix que de prêcher et l'on me reproche de prêcher et de faire mon travail.

C'est ridicule, je ne reconnais plus le Maine.

*il soupira et se rassoit*

Réquisitoire de l’accusation
Citation :
Votre Honneur,

sur demande de Nostre majesté, le Roy, Eusaias Blanc-Combaz et sa Grandeur, Nostre Comtesse Karyaan le Verdier Lómàlas demandons le bannissement des terre du Domaine Royale de messire Connor pour une durée de 3 mois.

Je vous remercie de Nous avoir écouté votre Honneur

Dernière plaidoirie de la défense
Citation :
*Se relevant*

Voyez comme la comtesse me défend si bien en réalité.
D�ailleurs cela est de même pour l�affaire de frère Connor qui n�est ouvertement qu�un prétexte. Jouant sur les mots de « action » prenant un affichage de recrutement comme « action ». C�est un peu juste. Et ici aussi c�est un peu juste.
Je n�ai pas prit ce procès au sérieux à tors, ne pensant pas que la justice se laisserait avoir par des intérêts personnelles. Ainsi j�ai personnellement invité la comtesse à témoigné mais je n�aurais jamais cru qu�elle viendrait pour me défendre si bien.
Tous ce qu�elle dit prouve que ce procès est joué d�avance. Malgré que ni dehors, ni ici n�a été avancé de preuve de ces appels aux désobéissances civiles ou autre. Seule une grève pacifique d�appel à voté contre la comtesse aurait pus être évoqué ici, mais même cela n�a pas été fait.
Pouvons-nous par contre dire par contre que la comtesse du Maine parlait déjà de bannissement bien avant la fin, même avant le début de ce procès.
De plus on dit juger l�homme, mais� on juge mes prêches, on juge mes actes d�évêques, mais l�on se cache pour toutes ces choses injustes qui feront de la justice du Maine un sujet de moquerie à cause de votre comtesse et de votre roy qui vous utilise. Fort mal d�ailleurs
Ainsi, pour toute c�est raison, bien mieux que de me défendre je vais vous faire part d�une chose fort intéressant que l�on m�a fait parvenir :

*utilisant les mêmes mots que l�avocat avait fait parvenir à l�inquisitrice Naudeas. Lui qui n�y connaissait rien en justice temporel, et ne s�intéressait que très peu aux fastes de la noblesse. Lui-même ayant rendu sa noblesse ne souhaitant pas être au dessus des fidèles.*

Je porte donc à votre connaissance un arrêt de la Grande Chancellerie pouvant permettre à monseigneur Minlawa de se pourvoir en appel, outre le fait que ses prêches ne sont point sur le fond une atteinte à la révolte ou a bafouer l'autorité comtale, tout juste en certain cas ne sont ils qu'une attaque des façon de faire de la Comtesse et de son comportement.

Si après joint le texte de l'arrêt de la Grande Chancellerie

-> Citation:
« Nous, Pl@$m de Montfaucon, à tous ceux qui le présent écrit liront ou se feront lire, salut

Ayant entendu parler de procès en Justice locale où le Régnant de la Province est appelé comme témoin, nous aimerions préciser un point de Droit se rapportant à ces faits :

Attendu qu'un Juge provincial rend la justice au nom du Régnant,

Attendu que la Charte du Juge interdit à un Juge d'être Juge et partie au cours d'un même procès,

Rappelons qu'un Régnant de Province en exercice représente la justice de sa Province et qu'il lui est donc fortement déconseillé de témoigner au cours d'un procès en Cour de Justice locale durant son mandat.

Il convient que nul ne puisse mettre son objectivité en doute lorsque la justice est rendue en son nom. Ainsi, agir à l'encontre de cet édit accentuerait toute chance de voir un dossier accepté en Cour d'Appel du Royaume de France, avec ce que cela implique.

Fait en Paris ce huitième de Février en l�an de grâce 1458,
Par Pl@$m de Montfaucon alors Grand Chancelier de France. »

Dénoncer le caractère de juge et parti en l'affaire

*il ne savait pas s�il devait alors cité l�auteur de ces mots. En effet, il savait que la comtesse avait mis la pression à de nombreuse personne, et ne voulait pas pointer du doigt la personne qui l�aider.*

Je puis vous dire également que les procédures juridiques n'ont point été respectées concernant la plainte déposée par moi même à l'encontre de la Comtesse, en effet plainte formelle étant déposé conformément au statuts de la HCJ la justice Mainoise aurait du se déclarer incompétente et renvoyer elle même la plainte à la Grande Prévôté, ce qui n'a point été fait, la Comtesse du Maine se permettant d'outrepasser les règles de droit en faisant savoir elle même que la plainte était irrecevable, et qu'il fallait saisir la Pairie directement ce qui aux vues des circonstances était totalement faux.

*Il bénissait alors cette âme charitable qui avait étudié cette affaire et avait fait parvenir à lui cette défense et continua cette foi ci par ses propres mots.*

Par à même, ce procès est injustes, partiale, est incompétent pour me juger.

Vous êtes sur le point de donner le point final à une mascarade, à vous de choisir comment cela pourrait se finir.

Dans tout les cas je vous remercie de votre travail. Quoi qu'il arrive.

*Il se réinstallait dans son siège.*

La défense a appelé Karyaan à la barre
Citation :
Entrant dans le tribunal, visage de marbre, traits fatigués par un règne qui n'est pas de tout repos.
Saluant toute l'assemblée tout en approchant de la barre des témoins.

Bonjour votre Honneur,

Tout d'abord, je tiens à rappeler que ce n'est pas l'homme d'église qui est jugé ici, mais bien l'homme tout court.
Et c'est en tant que baptisée sous la croyance Aristotélicienne que je me présente à vous, non comme Comtesse du Maine.

Depuis plusieurs mois, je ne peux que constater avec désarroi que la situation entre Rome et notre Roy s'envenime et prend des proportions iniques. Nous voilà, nous, fidèles croyants face à un énorme dilemme.

Perdus et tiraillés entre deux entités qui nous semblaient indissociables, comme deux parents qui se déchirent. On nous impose un choix impossible. Pour ma part, j'ai choisit de tendre vers celui qui me laisse libre de faire le choix sans y aller de sa menace facile.

Depuis plusieurs jours, voire semaines, en place publique, nous avons un homme qui appel à la révolte soit disant pacifiste. Se cachant derrière des gardes armés de lance.
Depuis plusieurs jours, voire semaines, nous voilà suriné dès que nous sortons faire un tour au marché, de soit disant prêches qui nous rabaches les oreilles qu'il faut se révolter, qu'il faut combattre, y allant d'insultes envers le Roy, envers la Régnante du Maine, accusant d'hérésie, de sorcellerie. Manquant ouvertement de respect envers ces deux figures légitimement élues par tout un peuple.

Appel à la révolte d'un homme qui fait une soit disant grève de la faim et qui se baffre sans nul doute le soir venu.
Appel à la sédition d'un homme qui prétend être un guide pour nous autre, bien plus pondérés qu'il ne le sera jamais.
Appel à la guerre civile de celui qui ose nous faire croire qu'il n'agit qu'en pacificateur.

Moi, femme de foy, croyante et désabusée, je ne peux que constater la déchéance de cet homme qui est tombé bien bas.
Je suis outrée par une telle attitude.
Je suis dépitée qu'il puisse ainsi continuer impunément.
Peu importe sa charge. Il se dit homme d'église et protégé par un Droit Canon que Rome a bafoué elle-même.
Mais au delà de ça, c'est l'homme qui agit et fait ses choix.
Le Très Haut nous a offert le libre arbitre, et c'est en son âme et conscience, que cet homme appel à la révolte, la haine, la sédition et accuse sans hésitation, le tout venant de tous les maux impies possible.

Qu'il assume ses déclarations, que l'homme libre qu'il est assume devant la loi du Roy, ses choix et ses paroles.
Le peuple de France assumera devant le Très Haut ses choix quant à sa position vis à vis de Rome, quand le temps sera venu.

Et je citerais ce Concordat que Rome a bafoué, obligeant le Roy à le rendre caduc.

"Si un serviteur de Dieu est élu ou nommé pour servir le pouvoir Royal au nom du peuple et pour le peuple, il ne peut donc se retrancher derrière sa foi et son allégeance à l'Église pour refuser de servir le pouvoir Royal tout en faisant partie de son administration."

*Reportant son attention sur Minlawa*

Être homme de Rome ne permet à personne d'être au dessus des lois. Être homme de Rome ne rend pas intouchable. Être homme de Rome, ne fait pas de vous un sur homme et de nous des sous hommes.

Il est grand temps que vous assumiez vos paroles d'homme simple. Une soutane n'est et ne sera jamais un bouclier contre les lois temporelles.

*Revenant à l'assemblée judiciaire, posant son regard sur le Juge*

Ainsi vous avez mon témoignage Votre Honneur.
Que le Très Haut veille sur le Maine, la France et Son Roy

La défense a appelé Naudeas à la barre
Citation :
*Naudeas se leva pour venir témoigner, ni pour l'un, ni pour l'autre.

Je réitérerai ma demande que cet homme soit jugé par notre Sainte Mère l'Eglise dont il dépend. Quand un Comte n'est pas bon, ca ne sont pas les juges d'un conseil comtal qui le jugent, mais bien la pairie, enfin ses supérieurs, si je ne m'abuse, ce qu'on appelle aussi la Haute Cours de Justice, enfin si je ne m'abuse, voilà longtemps que je ne me suis pas penchée sur le temporel.

Pour l'Eglise, c'est du même ressort, je vous sais assez sensées pour réfléchir à ma requête. Il rend parfois la vie invivable, il est arrogant et sur de lui, mais n'en fait pas moins un mauvais bougre. Ce sont les voleurs, les esclavagistes, et autres scélérats qu'on est sensés mettre en prison pas un Évêque. Le Fossé se creuse chaque jour, et si vous le jugez coupable, il se creusera davantage.

Alors Madame la Présidente, je vous demande de gracier cet homme et si vos accusations sont fondées, nous nous en occuperons à la Congrégation de la Sainte Inquisition.

Je vous remercie de cette écoute.

*elle s'en retourna à sa place pour écouter la fin de l'histoire.


Témoin n°1 de l’accusation :
Citation :
« Témoin n°1 de l’accusation »

Témoin n°2 de l’accusation :
Citation :
« Témoin n°2 de l’accusation »

Verdict
Citation :
Il grimaça légèrement quand le dernier témoin l'appela madame.

Hum, vous devez être un peu aveuglée gente dame ... Mais soit.
Je vous répondrai seulement que celui que prétendez ne pas être mauvais bougre injurie quotidiennement la comtesse du Maine et le Roy de France sur la gargote du Maine. L'inquisition ou toute autre autorité religieuse aurait largment eu le temps de mettre le holà à cette pratique si elle le voulait vraiment et de le faire rentrer dans le rang.

Le procureur semblait sous le coup de l'émotion, appelant l'accusé Connor. Sans doute avait-elle mélangé ses notes.

Hum, Procureur, nous parlons bien ici de Minlawa et non de Connor.

Se tournant vers le prévenu.

Ce que vous dites est hautement risible, Minlawa. D'une part, vous prétendez que le témoignage du régnant dans une affaire de justice constituerait un cas de partialité, mais d'autre part vous soutenez qu'un procès, soit dit en passant pour une autre affaire, aurait dû être ouvert par la justice mainoise contre son régnant ? Bien sur que la cour se serait déclarée incompétente dans ce cas, et que vous auriez dû aller vous plaindre ailleurs. Remerciez donc la comtesse de vous avoir fait gagner du temps...

Mais je reviens sur le témoignage de notre comtesse qui n'est pas là en tant que tierce partie, mais bien comme plaignante, vu que c'est elle que vous êtes accusé d'injurier tous les jours en gargote, c'est elle que vous accusez de sorcellerie, c'est contre elle que vous appelez à la rébellion. Comment quelqu'un qui est la cible de ces attaques ne pourrait-il pas venir témoigner au procès de son agresseur? Nier ce droit serait nier le droit de chacun à la justice.

Accusé levez vous, voici mon verdict:

Attendu l'annonce royale publiée le 16 décembre 1460 sur la gargote Mainoise dans laquelle on peut lire entre autre :
"Aussi, annonçons solennellement dès à présent et jusqu'à nouvel ordre:

La caducité de fait du Concordat de Paris
La non-reconnaissance par le Roy, les Pairs de France, les Grands Officiers, les Officiers, et plus généralement les institutions de la Couronne de tout Concordat provincial contracté avec Rome
La perte de valeur juridique immédiate au devant de Nos institutions du statut d'hérétique ; de toute excommunication passée, présente, comme future agréée par la Curie Romaine indépendamment de Notre volonté.
La non-reconnaissance par la Hérauderie de France de Sacrements réalisés par des traîtres ou des ennemis de la France sous ce statut, ce qui entend à dater du moment où leur trahison et leur statut d'ennemi est avéré, sans effet rétroactif.
L'amendement de tous Nos textes par lesquels Nos vassaux, Notre noblesse, et Nos sujets, auraient à souffrir des chantages de la Curie, afin qu'il leur soit fait nul dommage ni dans leur dignité, ni dans leurs biens.

Attendu que cette annonce met fin implicitement aux relations entre la couronne et l'église,
Attendu que les propos insultants vis-à-vis de la régnante du Maine et de la couronne ont été reconnus véridiques et qu'il constituent un crime grave,
Attendu la personnalité de l'accusé,
Attendu que l'accusé est résident du Mans et du Maine,

Moi, Elendillefin, par les pouvoirs qui me sont conférés par le peuple en tant que juge du Maine, déclare :
- requalifier les charges retenues contre l'accusé en trahison,
- que l'accusé a contrevenu à l'article B.4.1 du codex mainois: Tout acte pouvant porter atteinte à l�intégrité morale ou physique d�une personne ou d�un groupe de personnes, ainsi que tout acte perpétré allant à l�encontre de ce que peut vouloir la morale et le bon sens populaire.
- que de ce fait l'accusé est coupable de trahison envers le Maine et envers la couronne Royale de France.

En conséquence de quoi, je condamne l'accusé Minlawa à une peine de 3 jours de prison et 50 écus d'amende.
Néanmoins à la demande expresse de sa majesté le Roy, la peine de prison est communée en 3 mois de banniseement hors des terres du Domaine Royal.

Fait en le tribunal du Maine, le 28 janvier 1461.

Peine
Citation :
Le prévenu a été condamné à une amende de 50 écus.
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MessageSujet: Re: Minlawa   Minlawa EmptyDim 24 Mar - 20:12

Procès de Minlawa

  • Trouble à l’Ordre Public : Procès du mois de Février 1461 Arrow Coupable
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MessageSujet: Re: Minlawa   Minlawa EmptyDim 24 Mar - 20:14

Minlawa Mainepetit6tx
    Comté du Maine
    Office de Justice du Maine

    Procès pour Trouble à l'Ordre Public

    En date du mois de février1461

    Procès instruit le 15 février 1461
    Verdict rendu le 16 février 1461


    Nom de l'accusé: Minlawa

    Procureur: Nine,
    Juge: Lantarius



Acte d’accusation
Citation :
*Nine entra dans la salle le dossier sous le bras, elle passa devant le Juge et lui souffla : "bonne chance voici votre premier procès", puis lui sourit avant de reprendre une expression totalement neutre et de débuter*


Votre Honneur, membres de la cour mes respects

Nous Nine Auditore da Firenze, appelons a comparaitre devant cette Cour Monseigneur Minlawa en quinzième jour de février mil quatre cent soixante et un, pour Trouble à l�ordre public.

En effet suite au jugement rendu le 28 janvier 1461 joint ci présent :

« Enoncé du verdict
Le prévenu a été reconnu coupable de trouble à l'ordre public.
Il grimaça légèrement quand le dernier témoin l'appela madame.

Hum, vous devez être un peu aveuglée gente dame ... Mais soit.
Je vous répondrai seulement que celui que prétendez ne pas être mauvais bougre injurie quotidiennement la comtesse du Maine et le Roy de France sur la gargote du Maine. L'inquisition ou toute autre autorité religieuse aurait largment eu le temps de mettre le holà à cette pratique si elle le voulait vraiment et de le faire rentrer dans le rang.

Le procureur semblait sous le coup de l'émotion, appelant l'accusé Connor. Sans doute avait-elle mélangé ses notes.

Hum, Procureur, nous parlons bien ici de Minlawa et non de Connor.

Se tournant vers le prévenu.

Ce que vous dites est hautement risible, Minlawa. D'une part, vous prétendez que le témoignage du régnant dans une affaire de justice constituerait un cas de partialité, mais d'autre part vous soutenez qu'un procès, soit dit en passant pour une autre affaire, aurait dû être ouvert par la justice mainoise contre son régnant ? Bien sur que la cour se serait déclarée incompétente dans ce cas, et que vous auriez dû aller vous plaindre ailleurs. Remerciez donc la comtesse de vous avoir fait gagner du temps...

Mais je reviens sur le témoignage de notre comtesse qui n'est pas là en tant que tierce partie, mais bien comme plaignante, vu que c'est elle que vous êtes accusé d'injurier tous les jours en gargote, c'est elle que vous accusez de sorcellerie, c'est contre elle que vous appelez à la rébellion. Comment quelqu'un qui est la cible de ces attaques ne pourrait-il pas venir témoigner au procès de son agresseur? Nier ce droit serait nier le droit de chacun à la justice.

Accusé levez vous, voici mon verdict:

Attendu l'annonce royale publiée le 16 décembre 1460 sur la gargote Mainoise dans laquelle on peut lire entre autre :
"Aussi, annonçons solennellement dès à présent et jusqu'à nouvel ordre:

La caducité de fait du Concordat de Paris
La non-reconnaissance par le Roy, les Pairs de France, les Grands Officiers, les Officiers, et plus généralement les institutions de la Couronne de tout Concordat provincial contracté avec Rome
La perte de valeur juridique immédiate au devant de Nos institutions du statut d'hérétique ; de toute excommunication passée, présente, comme future agréée par la Curie Romaine indépendamment de Notre volonté.
La non-reconnaissance par la Hérauderie de France de Sacrements réalisés par des traîtres ou des ennemis de la France sous ce statut, ce qui entend à dater du moment où leur trahison et leur statut d'ennemi est avéré, sans effet rétroactif.
L'amendement de tous Nos textes par lesquels Nos vassaux, Notre noblesse, et Nos sujets, auraient à souffrir des chantages de la Curie, afin qu'il leur soit fait nul dommage ni dans leur dignité, ni dans leurs biens.

Attendu que cette annonce met fin implicitement aux relations entre la couronne et l'église,
Attendu que les propos insultants vis-à-vis de la régnante du Maine et de la couronne ont été reconnus véridiques et qu'il constituent un crime grave,
Attendu la personnalité de l'accusé,
Attendu que l'accusé est résident du Mans et du Maine,

Moi, Elendillefin, par les pouvoirs qui me sont conférés par le peuple en tant que juge du Maine, déclare :
- requalifier les charges retenues contre l'accusé en trahison,
- que l'accusé a contrevenu à l'article B.4.1 du codex mainois: Tout acte pouvant porter atteinte à l�intégrité morale ou physique d�une personne ou d�un groupe de personnes, ainsi que tout acte perpétré allant à l�encontre de ce que peut vouloir la morale et le bon sens populaire.
- que de ce fait l'accusé est coupable de trahison envers le Maine et envers la couronne Royale de France.

En conséquence de quoi, je condamne l'accusé Minlawa à une peine de 3 jours de prison et 50 écus d'amende.
Néanmoins à la demande expresse de sa majesté le Roy, la peine de prison est communée en 3 mois de banniseement hors des terres du Domaine Royal.

Fait en le tribunal du Maine, le 28 janvier 1461.
Le prévenu a été condamné à une amende de 50 écus. »


Le prévenue n�a toujours pas effectué sa peine c�est-à-dire 3 mois de bannissement du DR.


Les articles de lois enfreints sont les suivants :

Codex Mainois du 26 janvier 1461

Section IV - Du droit pénal

Article 3 : Des crimes et délits

Article 3.1 : Sera poursuivi pour trouble à l'ordre public toute personne agissant de telle sorte que tous ne pourraient pas l'imiter sans mettre sévèrement en péril la bonne marche de la communauté.

Nous rappelons au prévenu avant qu'il ne prenne la parole qu'il peut faire appel à l'assistance d'un avocat qui pourra le représenté et parler à sa place. Le Maine n'ayant point de représentant en son barreau il peut quérir les services des Avocats du Dragon en se rendant soit à leur permanence à la Cour d'Appel Royale , soit directement au siège de l'ordre du Dragon à l'Hôtel Volponne, ou bien encore en contactant leur bâtonnier Maistre Elisabeth Stilton.

Nous vous remercions de Nous avoir écouté votre Honneur et laissons la parole à la défense.

Première plaidoirie de la défense
Citation :
* Bouya! Un garde épiscopale était arrivé dans son bureau, ne lui avait rien dit d'une tel rencontre et le prit sous son bras (vraiment... il l'a fait le bougre!) sans rien lui dire et le replante, tel un alpiniste en haut d'une montagne qui plante son drapeau, devant le tribunal.

Le Minlawa le regarde avec de grands yeux*

- « Quoi! Tu viens me kidnapper dans mon bureau juste pour me demander ceci? Tu ne pouvais pas me le demander dans mon bureau plutôt que de venir me porter jusqu'ici de cette manière? 

- « Bah on m'a d'mander d'apporter la raponse!

- « La réponse andouille! Pas celui qui la donne crottin de bouc! Par Aristote bénissez moi d'être entourer de garde plus *bip bip bip biiiiiiiiiip* que les autres *bip bip bip .... ______ (le bip censure est mort d'une crise cardiaque)_______ (le pauvre bip-censeur)____(paix à son âme)________(c'est long non?) ______ * Tu vas voir ce que je vais te faire toi! Tu viendras dans mon bureau!

Bon j'en étais où ?

Bon heu



*Regardant le garde de haut en bas*

Bonjour chère juge, chère procureur et les officiaux.

Bon bah on en est où cette foi ci niveau procès ? Non parce que hier j�ai fait une annonce demandant la paix et aujourd�hui je suis encore une foi ici ? J�ai pas tout tout comprit.

L�affaire est au bureau d�appel en plus.

Après on va encore dire que c�est l�église qui crée des ennuis.

Non parce que sinon j�ai aussi une ordination à organiser� Si vous n�avez rien à faire, moi si. J�ai l�impression que vous cherchez les ennuis en Maine non ? pour ensuite dire que c�est ma faute.
Alors je vous direz juste une chose pour ne pas continuer à parler pour ne rien dire. Si vous pensez que je suis coupable de toute cette histoire, condamnez moi, mais c�est alors que vous me donnez plus de pouvoir que j�e ai.

*Il soupira et laissait faire.*

Alors allons au jugement de fin, et retournons travailler. C�est quand même un comble !

Réquisitoire de l’accusation
Citation :
*Nine regarda Minlawa*

Messire nous ne sommes pas là pour créer des ennuis avec l'Eglise, nous nous permettons même pas de la juger, là Nous jugeons une personne, un homme, un citoyen de notre Comté c'est à dire vous Messire.
Oui vous voila de nouveau ici, mais vous auriez put éviter cela en effet le 28 janvier 1461 dans cette même Cour le verdict était un bannissement de 3 mois du Domaine Royale, or vous n'avez pas exécute votre peine donc oui vous êtes coupable, et ça n'est en rien une question de pouvoir, juste une question de justice!
Pensez vous vraiment qu'une personne raisonnable aurait défiée la justice, je dirais même un bon père de famille? non bien sûre. Si tout citoyen ne ce plieraient pas à la Justice alors nos institutions ne seraient que néant.

*La proc se tourna vers le Juge*

Votre Honneur, 

Nous demandons une requalification des faits de passer en TOP à Haute trahison en effet Messire Minlawa fut reconnu traître à la France voici une ordonnance royale que le prouve dont Nous vous faisons lecture:


Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France

À la hérauderie de France,
À la prévôté de France,
À tous ceux qui la présente liront ou se feront lire.



Ce jour, après moult tentatives de ramener certains à la raison nous sommes dans l�obligation de constater que notre bonté et notre patience furent veines. Leurs buts n�étant que la discorde au sein d�un royaume de France qui n�aspire qu�à la paix

De ce fait, déclarons Traitres à la France les belliqueux suivant :

- Rehael
- Vincent diftain
- Minlawa
- Alexandre908
- Wolfar
- Theudbald
- Miguael_enguerrand
- Istar.333
- Alexandre*
- Namaycush
- Flex
- Riwenn
- Amellyne
- Azilize
- Felix auguste
- Rozenn.
- Makcimus.
- Vald


Item Makcimus et Namaycush perdent toutes prétentions sur les fiefs en ile de France.
Item invitons nos vassaux à faire demande de destitutions pour les nobles figurant sur cette liste pour « nuisance au suzerain ».
Item déclarons ne plus reconnaître les titres « romains » et leurs ordres de chevaleries, mis à part pour qui de ceux là nous prêterons allégeance pour les dits titres de noblesse.


Ainsi nous frappons !

Rédigée à Sémur le 15 de février 1461."

Ainsi le prévenu a donc enfreint la loi suivante:

Article 3.5 : Sera poursuivi pour haute trahison toute personne ayant une charge de responsabilité devant les institutions mainoises, manquant au devoir de sa charge ou utilisant sa position à d'autres fins que l'intérêt du comté ou du Royaume, ainsi que toute personne ou groupe de personnes se trouvant en terre mainoise et qui serait déclaré félon ou traître à la Couronne de France, ou sur lesquelles pèserait une sentence royale.

Votre Honneur Nous demandons donc une peine de 5 jours de prisons plus une amende de 50écus avec bien sur l�obligation d�exécuter la peine du 28janvier 1461 à savoir le bannissement des terres du DR pour une durée de 3mois.

Nous vous remercions de nous avoir écouté votre Honneur

*puis l'italienne se remet à sa place* 


Dernière plaidoirie de la défense
Citation :
Tous les arguments que vous évoquez on été exprimé lors du premier procès. On ne va pas le refaire puisque déjà le premier, malgré ses vice de procèdure on entrainé mon jugement dans la mauvaise foi totale.

Mais j'entend que l'on ne me juge plus, l'on me condamne par contre.

L'ordonance du Roy faisant foi.

Le Maine s'entraine seul vers la guerre. Alors qu'on ne lui demandait pas.

Enfin bref, les mêmes erreurs encore une foi.

Condamnez moi si c'est votre souhait, cela ne changera pas grand chose à l'issu. 

*il soupira, et décida se s'en aller, à quoi bon discuter.*

Bonne chance mes enfants, bonne chance.

La défense a appelé Vittoria à la barre :
Citation :
« Témoin n°1 de la défense »

La défense a appelé Minlawa à la barre :
Citation :
voici mon annonce affiché en gargote hier:

_________________________

Nous devons être assez sincère pour faire connaitre que nous sommes dubitatif quant au fait de nommer vice-Comtesse, une femme qui ne s�est pas présentée aux élections et qui a inspiré tant de troubles pour ensuite laisser la fautes et les conséquences supportées par d�autres épaules que les siennes. Et nous espérons que ce poste qu�elle prend n�est pas une manouvre détournée pour continuer à jeté le trouble sur le Maine et dans l�esprit des fidèles. Et nous ne jugerais pas ce comportement car il est humain. 
Cela dit, nous devons aussi précisé que les anciennes querelles ne renaîtront pas aujourd�hui si les mêmes erreurs ne sont pas faites. Et c�est pour cela que nous écrivons cette annonce aujourd�hui. 

Et nous ne pouvons qu�aller de l�avant, alors nous avons l�espoir tout de même. Nous avons relu toute cette période de trouble, ce qui a été dit, ce qui a été fait. Nous avons réfléchit aux rapports entre ce qui n�était à l�origine qu�entre roi et pape, qui sont devenu malheureusement entre comtesse et clergé du Mans. Et nous nous sommes demandé comment faire si cela ne marchait pas ; le résultat était évident : attendre que la comtesse change. Et Ainsi nous venons faire une demande à la nouvelle comtesse. Celle-là même qui avait fait preuve de raison et de clairvoyance avec l�église ; Sa grandeur Vittoria Farnese de Nivellus de Sparte, Comtesse du Maine. 
Nous lui demandons donc simple d�acceptez la main tendu de nombreuse foi et refusé à chaque essai. Une main de paix, de tempérance et de neutralité. 
Nous savons comment l�ancienne comtesse nous percevait même si nous ne nous percevions pas de la même manière, pensant qu�avoir une idée opposé à la sienne et resté calme n�était pas un mal dans un pays où l�on vote pour le comte. Un échange d�idée qui s�est affronté à chaque foi par un refus de discourt de la part de la comtesse. Cependant une chose est évidente ; dans un conflit nous avons forcement tors, quelque soit ce tors. 

Cela me permet de continuer sur le sujet de la « neutralité », que nous pourrions aussi appeler « équilibre » entre l�église de le comté, que certain disent impossible et qui, consciemment ou inconsciemment, tentent par là même d�entrainé le Maine vers une guerre, nous pensons qu�il est possible d�apprécier passer du temps avec des gens qui vous ressemblent car le monde regorge d�être humaine merveilleusement divers qui ont leur propres compétences, opinions et parcours. Il s�agit d�apprécier et de côtoyer les différences, tous en laissant chacun maitre de son « domaine de compétence ». 
Toutes ces années, le clergé du diocèse du mans s�est efforcé à laisser le conseil comtal s�occuper du comté et des citoyens sans interférer dans celui-ci. Et de faire que le diocèse du mans s�occupe du diocèse et des fidèles. 
Il y a peu cet équilibre a été rompu mais peu encore être retrouvé. Cependant nous avons conscience que nous avons besoin de retrouver un respect mutuel et d�une nouvelle confiance. Il s�agit d�établir une nouvelle relation. Et cela pour être à l�aise quelles que soient les différences existantes entre nous. 

A partir de là, rien ne nous empêche de redevenir les amis que nous étions ; mains dans les mains à nouveau. Il est temps que nous nous posions les vraies questions à présent que l�entente peut à nouveau se faire. Quel changement souhaitons-nous vraiment voir arrivé ? Quel impact aurait-il ? Cela vaut-il la peine ? Nous répondrons que nous souhaitons un changement dans les affrontements actuels. Cela aurait un impact sur la bonne marche du comté, mais aussi calmerait les tensions, et nous permettrait de reprendre le travail sur de bonne base. ET nous pensons que cela en vaut la peine. 

Nous demandons, que disons-nous, nous prions la comtesse Vittoria Vittoria Farnese de Nivellus de Sparte, Comtesse du Maine, de bien être celle qui ramènerait la paix sur le comté du Maine en acceptant à nouveau de travailler communément avec l�église du Mans. 

Témoin n°1 de l’accusation :
Citation :
« Témoin n°1 de l’accusation »

Témoin n°2 de l’accusation :
Citation :
« Témoin n°2 de l’accusation »

Verdict
Citation :
*Le vieux juge se leva et regarda l'accusé*

Messire Minlawa, ici, nous jugeons le fait que vous n'ayez pas accompli votre peine et que vous soyez déclaré traître par le Roy.

Nous allons rendre notre verdict.

Accusé, levez-vous !

Attendu que vous êtes un traître aux yeux de sa Majesté.
Attendu que le texte présenté par l'accusation dans son réquisitoire est une circonstance atténuante.
Attendu qu'ici on ne parle pas de :"L�Église est méchante, le Roy est vilain" mais juste de vos actes qui sont que vous n'exécutez pas une peine.
Attendu que vous êtes citoyen mainois et résident en Maine.

Nous, Lantarius Cornavrin, juge du Maine, par les pouvoirs qui nous sont conférés par le peuple du Maine, déclarons :
- Requalifier ce Trouble à l'Ordre Publique en Haute Trahison
- Que l'accusé a contrevenu à l'article du Codex Mainois ; Section IV - Du droit pénal ; Article 3 : Des crimes et délits ; Article 3.1 : Sera poursuivi pour trouble à l'ordre public toute personne agissant de telle sorte que tous ne pourraient pas l'imiter sans mettre sévèrement en péril la bonne marche de la communauté.
- Que de ce fait l'accusé est coupable de Haute Trahison envers la Couronne de France.

En conséquence, nous condamnons l'accusé, Minlawa de Montfort Balmyr, a cinq jours de prison, cinquante écus d'amende, et réitérons la condamnation du 28 janvier 1461 soit trois mois de bannissement du Domaine Royal.

* Lantarius frappa son marteau*

La séance est levée.

Fait au Tribunal du Mans, le samedi 16 février 1461.

Peine
Citation :
Le prévenu a été condamné à une peine de prison de 5 jours et � une amende de 50 écus.


***Note : Suite à ma surprise de voir un procès s'achever en l'espace de 2 jours, j'ai écrit au Juge Lantarius, qui m'a certifié l'exactitude des dates. Les différents témoignages ont été apportés rapidement.
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