Archives de France, donjon de Saint-Félix
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 Laurettes

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Flily
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Flily


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MessageSujet: Laurettes   Laurettes EmptyJeu 7 Avr - 18:25

Citation :
Laurettes Alenconoriflammejg8
Duché d'Alençon
    Office de Justice Duché d'Alençon
    Nom de l'accusé: Laurettes
    • Procès pour haute trahison.
      Verdict rendu le 27 Mars 1459: coupable


Dernière édition par Flily le Jeu 7 Avr - 18:41, édité 2 fois
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Flily
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MessageSujet: Procès de Laurettes - de haute trahison - 27/03/1459   Laurettes EmptyJeu 7 Avr - 18:37

Citation :
      Procès de haute trahison.

      En date du mois de Mars 1459

      Procès instruit le 15 Mars 1459
      Verdict rendu le 6 Avril 1459


      Nom de l'accusé: Laurettes

      Procureur: Sepa Von Strass
      Juge: Sepa Von Strass // Duchesse Deedlitt


      • Acte d’accusation
        Citation :
        Votre honneur, Assemblée, Salutations.

        D'après l'article I de la section III des status du royaumes de france!
        Article I. Des compétences des provinces du domaine royal et des provinces de la couronne.

        Les provinces du domaine royal et les provinces de la couronne possèdent les compétences résiduelles.

        Note : Cela signifie que si une compétence n�est pas explicitement donnée à une institution royale, elle est, de fait, octroyée aux provinces.


        En ce jour du 24ème jour de février de l�an de grâce 1459 débute le procès de Vanhelsin pour avoir attenter à la lance de la Reyne et de sa Garde lors de la nuit du 15 au 16 février 1459 dans la capitale Alençonnaise.

        L�accusé a été vu par le Nounoursfred,Dame Clody et Messire Nodo en ce jour, entrain de mener la tentative.


        Article tiré des livres des lois et décrets alençonnais :

        *******
        Art. 221-11-4 L'infraction au droit royal comprend tout acte portant préjudice au Roy ou ses domaines, à la famille royale, aux Pairs de France, aux Grands officiers, aux Officiers supérieurs de l�armée royale
        *******

        Nous invitons à la barre ceux qui ont vu la tentative.
        L'accusé a droit de défense et peut requérir avocat ou témoins à décharge si bon lui semble.

        Fait le 15 Mars 1459
        Sepa Von Strass
        Procureur d'Alençon

      • Première plaidoirie de la défense
        Citation :
        Laurettes se présenta à la barre, toute frétillante �Comme les premiers rayons du soleil et le ciel bleu, annonçaient le printemps, elle avait revêtue ses habits jaunes qu'elle aimait tant�Elle ressemblait à une petite renoncule au milieu de vert pâturage, bref le temps n'était pas aux rêveries et d'une voix douce mais ferme prit la parole.

        Messire procureur, c'est avec stupeur que j'ai reçue une convocation pour le tribunal, votre huissier a bien fait son travail, vu que sur l�enveloppe c'était bien mon nom qui y figurait ��Qu'elle ne fût pas mon soulagement quant je me suis aperçue que vous vous étiez trompé de personne.

        Je vous cite " En ce jour du 24ème jour de février de l�an de grâce 1459 débute le procès de Vanhelsin pour avoir attenter à la lance de la Reyne et de sa Garde lors de la nuit du 15 au 16 février 1459 dans la capitale Alençonnaise.

        L�accusé a été vu par le Nounoursfred,Dame Clody et Messire Nodo en ce jour, entrain de mener la tentative. "

        Comme vous pouvez le constater je ne ressemble en rien à ce Vanhelsin� elle se mit de profil pour que la cours puisse admirer ses formes, hé oui la Laurettes avait deux superbes petits seins et une croupe à vous damner un saint, elle ajouta�Vous voyez bien comme ça, un petit sourire malicieux aux lèvres �Et de plus si cette personne était de sexe féminin vous auriez écrit "l accusée" et non "l accusé".

        Maintenant il est vrais que les infirmiers mon ramassée prés du champs de bataille , mais j'étais à moitié morte de peur ��Oui messire je dois l'avouer , je suis une affreuse curieuse et dés que j� ai entendue les bruits de bataille, quelque chose en moi m'a pousser à aller voir ce spectacle extraordinaire de ces gueux et manants se ruer à l'assaut de votre bonne ville ou je ne faisait que passer �Il est vrais que de voir tous ces beaux chevaliers en armure défendre leur reine m'a fait perdre conscience et c'est dans les bras d�un infirmier que je me suis réveillée.
        Au passage je dois dire qu'il avait de beaux yeux, mais malheureusement pour lui ,il ne pouvait rivaliser avec les nobles que j�avais, l�espace de quelques minutes vu combattre.

        Voila j'en ai terminée, je vais regagner ma chambre à l'auberge et vous souhaite de mettre la main sur ce bon a rien ��Mais de grâce faites attention quant vous envoyez votre courrier, qui plus est ne ressemble à rien, vous dites qu'en ce jour du 24ieme jour de févier commence le procès et à la fin vous signez Fait le 15 Mars 1459, Sepa Von Strass, Procureur d�Alençon��Excusez moi encore mais une vache n�y retrouverai pas son veau

        Maintenant si vous avez besoin d'une greffière je suis prête à accepter la place pour corriger vos erreurs et tout ça pour la modique somme de 30 écus par jour.

      • Réquisitoire de l’accusation
        Citation :
        **le procureur se leva à son tour*

        Votre Honneur,le prévot Nounoursfred dit bien que l'accusé était dans les rangs de l'Armée des Lunes lors de l'attaque sur Nostre Majesté,la Reyne Beatriz. L'accusé se dit que je me suis trompé de personne, certe avec tous ses procés, beaucoup de nom en resorte et malheureusement j'ai écorché et me suis trompé de document durant mon acte d'accusation. Cette accusation est bien dirigée vers Dame Laurettes bien qu'elle le prenne avec l'humour. Les témoins stipulent bien qu'elle faisait parti de l'armée des Lunes Pourpres qui s'est engagé contre la Reyne. Plutôt que de plaisanter sur mon erreur,elle aurait peut être dû se défendre sur sa présence lors de la confrontation. Sans doute était elle trop confiante qu'elle passerait à coté du verdict à cause d'une erreur humaine.

        Pour accompagner les preuves,j'ai ici la lettre du Grand Prévot de France,Althiof de Marigny:
        "Par recoupement entre le rapport des maréchaux et les douanes du Mans le 15 février, soit la veille de l'attaque, avant que l'armée ne prenne le chemin d'Alençon où elle a recontré le groupe de la Reyne, la composition de l'armée Purpurae Lunae dirigée par Loupphoque apparait comme étant la suivante : Loupphoque, Baston, Batbot, Biliam, Jademance, Laurettes, Sauvane et Stelau, pour les membres clairement identifiés lors du combat, Alexane7, Calimityj, Enola1, Galway, Holaf, Jaja38, Khipulnapalm, Milou23, Nightwolf57, Peluchette, Penthesilee, Shony et Vidocque, par le recoupement."

        *tend la lettre au complet pour que le juge voit que c'est un document officiel*

        Voilà pour vous,pour que vous puissiez lire le courrier du Grand Prévot de France. Que dire de plus alors que sa présence est approuvé par un Grand Officier.

        *Prenant son livre des lois*

        Après avoir eppluché toutes les lois,le verdict le mieux approprié pour avoir essayer de mettre fin au jour de Nostre Majesté Beatriz,je propose d'après

        ***********************
        Art. 625-6 � Crime de sang
        Crime de sang sur un conseiller en fonction.
        Passible prison et peines alternatives ainsi qu�une amende de 1 à 500 écus. La peine de mort peut être appliquée dans ce cas.
        atta pas le bon articile
        ***********************

        Dans ce cas là,je propose la peine de mort. Aristote décidera de son sort.

        Fait le 21 mars 1459
        Sepa Von Strass
        Procureur d'Alençon

      • Dernière plaidoirie de la défense
        Citation :
        Là franchement il commençait à lui brouter le chou, le p�tit procureur et ce n�est plus d�une voix douce qu�elle lui répondit, mais d�une voix déterminée à lui faire entendre raison à ce petit morveux !!!!!!!

        Messire juge, je ne voie et n�entend que haine et hargne dans ce procureur, qui soit dit en passant se mélange les pinceaux, il est tellement teigneux qu�il est sourd aux déclarations des témoins.

        Premièrement je ne peux être jugée vu qu�il a bien spécifié dans l� acte d�accusation le nom de Vanhelsin et non le mien et maintenant il se rétracte en disant qu�il a encocher mon nom et s� est trompé dans ses documents ��Messire juge si j� étais vous je ne saurai faire confiance à quelqu�un d� aussi bordelique et j� espère que vous au moins vous êtes intègre et n� allez pas tourner à tous les vents comme une girouette��Parce que je vais vous prouvez que ce que dit le procureur n� est que tissu de mensonge.

        Voici ce que le procureur vient de dire
        :*****Votre Honneur,le prévot Nounoursfred dit bien que l'accusé était dans les rangs de l'Armée des Lunes lors de l'attaque sur Nostre Majesté,la Reyne Beatriz.*****

        Et voici ce que j�ai entendu de bouche de plusieurs pseudos temoins

        *****Moi Nounoursfred, Prévôt d'Alençon, Atteste sur l'honneur que le prévenu n'as pas été embauché par le duché à la défense de la ville de Mortagne, il ne faisait partis, ni de la maréchaussé, ni de la milice

        Voici ci après les témoignages des chefs de lances défendant la ville de mortagne le soir de l'attaque

        Moi, Lisandre de Castelviray, Chef maréchal et Chef de lance la nuit du 20/02/1459 aillant défendu la ville de Mortagne de l'attaque de l'armée de la "Lune pourpre", déclare sur l'honneur, que le prévenu ne faisait pas partis de ma lance

        Moi, Clody de Shanley, Baronne de Tourouvre, et Rectrice d'Alençon, Chef de lance la nuit du 20/02/1459 aillant défendu la ville de Mortagne de l'attaque de l'armée de la "Lune pourpre", déclare sur l'honneur, que le prévenu ne faisait pas partis de ma lance

        Moi Monseigneur Martin_Tamarre de Nivellus, Seigneur de Randonnai, chef de lance la nuit du 20/02/1459 aillant défendu la ville de Mortagne de l'attaque de l'armée de la "Lune pourpre", déclare sur l'honneur, que le prévenu ne faisait pas partis de ma lance *****

        Il ne pourrait s�agir de l�attaque de reine vu que l�acte d�accusation lu par le procureur lui-même dit ceci
        ****En ce jour du 24ème jour de février de l�an de grâce 1459 débute le procès de Vanhelsin pour avoir attenter à la lance de la Reyne et de sa Garde lors de la nuit du 15 au 16 février 1459 dans la capitale Alençonnaise.****

        Donc les lunes ont étaient vu par Lisandre de Castelviray, Clody de Shanley, Monseigneur Martin_Tamarre de Nivellus, Seigneur de Randonnai et Nounoursfred, Prévôt d�Alençon, le 20/02/1459 et qu�ils ne faisaient parti d�aucune de leur lance et qu�ils n�avaient pas été embauché par le duché pour la défense de la ville de Mortagne ��.Donc la date et le lieu non rien avoir avec l�acte d�accusation, je demande à messire juge de bien en prendre note.

        Ensuite ce torchon, que le procureur vous a tendu ne peut être qu�un faux, il ne vous a même pas donné l�original (screen) et encore une fois messire quand bien même il vous l�aurait donné, je continuerai à dire que c�est machination ��Vous connaissez beaucoup d�armée qui en passant la frontière demande à ses soldats de décliner un par un leur identité �..Alors là je rigole.

        Maintenant cerise sur le gâteau

        ***** L'accusation a appelé Clody à la barre

        Voici son témoignage :

        Bonjour,

        Dans la nuit du 15 au 16 du mois dernier, je participais a des rondes de défense civile dans la ville de Mortagne en compagnie de mon ami Nodo en raison de la présence de la Reyne en nos mur.
        Lors de l'une de ces rondes, un groupe a tenté de nous assaillir aux abords de la mairie. Le combat fut bref, mais rude, et dans la mélée, nous blessames quelques adversaire, l'accusée avait arme à la main, bien que ne connaissant pas son nom je confirme qu�elle ne faisait pas partie de nos défenseurs et je la reconnais ici comme l'un des assailant que nous avons repoussé *****

        Donc si comme le prêtent dame Clody de Shanley, Baronne de Tourouvre j�étais à Mortagne la nuit du 15 au 16 à jeter des cailloux sur les vitres de la mairie, je ne pouvais me trouver sur un n�ud prés d�Alençon pour y attaquer notre reine bien aimée, mais là curieusement une chose m� interpelle, la Baronne dit ***** Dans la nuit du 15 au 16 du mois dernier, je participais a des rondes de défense civile dans la ville de Mortagne en compagnie de mon ami Nodo en raison de la présence de la Reyne en nos mur ***** la reine serait elle sorciere au point de se trouver à deux endroit à la fois ��Et je doute messire juge que vous puissiez mettre en doute la parole d�une Baronne �..Petit sourire au juge et regard de glace au procureur bafouilleur��

        Voila j'en ai terminée, pour l' instant, parce que je pense qu'avec ce que je viens de mettre sur la table aucune accusation pour l attentat à la vie de la reine ne peut être retenu, parce qu'il est connu de tous qu'il est impossible d'attenter à la vie d'une personne qui se trouve en ville, qu'elle se soit trouvée à Mortagne comme le dit la Baronne ou la nuit du 15 au 16 février 1459 dans la capitale Alençonnaise comme le dit le procureur.


        Elle avait bien parlée �.Un peu trop peut être sa gorge était sèche comme un ruisseau en été �..Elle fit signe au commis de lui apporter un verre d�eau et repris sa place pour entendre ce que le juge allait prononcer comme sentence ��.Elle pariait sur un non lieu vu les vices de forme ou tout au plus à l�écu symbolique pour avoir abimé les fenêtres de la mairie de Mortagne

      • La défense a appelé Leon_blak à la barre
        Citation :
        Voici son témoignage :
        Leon, honteux s'approcha.
        Un regard vers Néa, et il prit la parole

        La scène se déroula après minuit.
        Alors que nous discutions tranquillement en taverne de différents sujets, il me vint à l'idée de demander à Néa si elle voulait me faire un enfant.
        C'est alors que Néa se mit à crier, prétextant que hors mariage, il ne serait pas question pour elle d'enfanter, que sa foi était grande, et que lui demander une telle chose faisait injure au respect que je pouvais, ou devais, avoir à l'égard de la condition féminine de ma bien aimée.
        Visiblement, elle n'avait pas perçu que mon intention n'était nullement de faire un morveux, mais uniquement d'avoir une relation horizontale avec elle.
        Je changeais donc de sujet lorsqu'elle me sauta dessus, entourant mon cou de ses mains et serrant fort, criant au scandale et me menaçant de me faire la peau si jamais je ne m'excusais pas.
        Elle serrait tellement fort qu'aucun mot de sortit de ma bouche.
        Je réussit à m'en sortir par un habile mouvement sec, et commença à m'enfuir.
        Elle me rattrapa dehors, et c'est alors que nous nous sommes battus.
        Lorsque nous étions épuisés de fatigue et de douleur, nous nous sommes allongés au sol, afin de nous reposer.

        C'est alors qu'une horde de barbares est arrivée en courant et en hurlant.
        je ne me souviens plus de la suite, j'avais été piétiné.
        Néa aussi.

        Ceci est l'unique vérité.
        je le jure

      • L'accusation a appelé Nounoursfred à la barre
        Citation :
        Voici son témoignage :
        Après l'attaque de l'armée des lunes pourpres visant à prendre la ville de Mortagne et as attenter a la vie de notre souveraine la reine béatrice infirmiers du duché ont récupérés tous les blesser et les morts sur le champs de bataille

        Le prévenu as été ramassé gisant a moitié mort, il as été soigné par les médecins du duché.
        Après vérification de son identité, il n'apparais sur aucunes liste de défenseurs, il apparais donc que dame *amalinea* appartiens à l'armée des lunes pourpres

        Moi Nounoursfred, Prévôt d'Alençon, Atteste sur l'honneur que le prévenu n'as pas été embauché par le duché à la défense de la ville de Mortagne, il ne faisait partis, ni de la maréchaussé, ni de la milice

        voici ci après les témoignages des chefs de lances défendant la ville de mortagne le soir de l'attaque

        Moi, Lisandre de Castelviray, Chef maréchal et Chef de lance la nuit du 20/02/1459 aillant défendu la ville de Mortagne de l'attaque de l'armée de la "Lune pourpre", déclare sur l'honneur, que le prévenu ne faisait pas partis de ma lance

        Moi, Clody de Shanley, Baronne de Tourouvre, et Rectrice d'Alençon, Chef de lance la nuit du 20/02/1459 aillant défendu la ville de Mortagne de l'attaque de l'armée de la "Lune pourpre", déclare sur l'honneur, que le prévenu ne faisait pas partis de ma lance

        Moi Monseigneur Martin_Tamarre de Nivellus, Seigneur de Randonnai, chef de lance la nuit du 20/02/1459 aillant défendu la ville de Mortagne de l'attaque de l'armée de la "Lune pourpre", déclare sur l'honneur, que le prévenu ne faisait pas partis de ma lance

      • L'accusation a appelé Clody à la barre
        Citation :
        Bonjour,

        Dans la nuit du 15 au 16 du mois dernier, je participais a des rondes de défense civile dans la ville de Mortagne en compagnie de mon ami Nodo en raison de la présence de la Reyne en nos mur.
        Lors de l'une de ces rondes, un groupe a tenté de nous assaillir aux abords de la mairie. Le combat fut bref, mais rude, et dans la mélée, nous blessames quelques adversaire, l'accusée avait arme à la main, bien que ne connaissant pas son nom je confirme qu�elle ne faisait pas partie de nos défenseurs et je la reconnais ici comme l'un des assailant que nous avons repoussé.

        Merci de m'avoir écouté

      • Verdict
        Citation :
        *Le juge posa son regard un instant sur celui de l'accusée, se leva et se tourna vers la cour*

        Voici un dossier fort difficile à traité. D'un côté nous avons une accusation très lourde qui est passible de Peine de mort. En effet on accuse ici Dame Laurettes a s'être attaquée à nostre bien aimé Majesté Béatrice de Castelmaure-Frayner, Reyne de France.

        *Le Castelviray fit quelque pas en direction de sa chaine, regarda le dossier une nouvelle fois avant de se retourner une nouvelle fois vers la cour*

        Néanmoins je ne peux rester aveugle face à la faute du procureur en faisant l'erreur sur le nom de la personne ici présente ce qui la discrédite pour certain témoignage donné mais... pas tous.

        *Petit moment de réflexion de la part du Juge*

        De part la fragilité du dossier et sans oublier la gravité de l'accusation dont certain témoignage ne sont pas remise en question.

        Je condamne ...

        *Le juge se tourna vers l'accusé*

        à une amende de 140 écus.

        Fait à Alençon le vingt-set mars de l'an mil quatre cent cinquante-neuf, au nom de la duchesse Deedlitt.
      • Peine
        Citation :
        Le prévenu a été condamné à une amende de 140 écus.
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