Trent~Edison T.O.P 1457

Procès ayant opposé Trent~Edison au Duché de Guyenne

Trent~Edison était accusé de T.O.P..

Nom du procureur : Fantik37
Nom du juge : Zazounette
Date du verdict : 18/01/1457
Lieu concerné par l'affaire : Agen

Acte d'accusation :

Citation :

Votre Honneur,
J'ouvre en ce 11ème jour du mois de janvier, de l'An de Grâce 1457, un muald de Vaisneau récemment et du temps de son mandat de Duc,
de Messire lachainep, Duc actuel
et des institutions de Guyenne en général.
Vous avez tenu les propos suivants, en place publique, qui nous ont été rapportés par Messire Romuald de Vaisneau lui-même , qui viendra témoigner en personne lors de ce procès.

Je citerai donc deux extraits de vos dernières interventions
- extrait d’un courrier déposé en place publique :
«Messire le duc Lachainep je suis point d'accord avec vous de remettre cette honneur a messire Romuald de vaisseau….
…je dit que messire Romuald ne mérite pas cette récompense et cette honneur. »
- Propos tenus par vous en gargote :
« Trent dit ceci au duc:
Autre chose messire le duc de m ....... ce sont les … ,alors messire le duc Lachainep me faite pas chier avec vos belles paroles et avec toute le respect du a votre rang. »

Ces propos sont inadmissible Messire.
En les tenant vous avez enfreint l’article 2 du chapitre 3 du livre II du coutumier.
« Tout comportement portant préjudice à autrui ou portant atteinte à l'intégrité physique ou morale d'un habitant de Guyenne, ou à l'ensemble de la communauté pourra être considéré comme trouble à l'ordre public »

Vous avez le droit de faire appel à un avocat, lequel vous prêtera assistance et vous défendra durant ce procès.
Qu’avez vous à répondre à cette cour ?

*Dame Fantik37 fit signe à l’huissier qui se tenait près de la porte*

J’appelle Messire Romuald de Vaisneau à venir témoigner à la barre

Première plaidoirie de la défense :

Citation :

Trent se leva et dit:
Votre honneur on m'accuse pour trouble publique
alors que je dit je que je pense de cela,oui messire Romuald de vaisseau pour moi il mérite pas cette honneur et ceci cet seulement mon point de vue a moi uniquement a moi .

JAMAIS j'ai fait cela pour lui faire des préjudices a l'autrui ou atteinte a sa l'intégrité physique ou morale de celui ci ou tout autre accusation.

votre honneur j'ai seulement dit se que je pense de tout cela et avec moi droit de Guyennois a savoir le droit de s'exprime librement et en toute sécurité sans pour autant que l'ont m'accuse de l'ordre publique

Comme le Grand coutumier de Guyenne toute personne en Guyenne a le droit de s'exprime librement et sans être poursuivie en justice

votre honneur penser vous vraiment qu 'un homme seul peu être si dangereux pour la Guyenne.

Trent se retira et sa sois.

Réquisitoire de l'accusation :

Citation :

Madame le Juge,

Ainsi que l'a démontré Messire Romuald de Vaisneau dans son témoignage, l'accusé non seulement l'a harcelé durant tout son mandat de Duc, mandat légitimement acquis par le vote des Guyennois je le rappelle, mais continu à porter atteinte à son honneur en remettant en cause sa légitimité à recevoir l'insigne de "compagnon de la Rose d'Aliénor".

Par ses propos, Messire trent~Edison remet en cause l'intégrité des membres de la Cambras de Sabia qui ont statué sur le bien fondé de cette récompense et dont je rappelle ici la composition
"le Grand Maistre de la Rose, Du maistre de la Rose, d�un conseiller ducal, d'un Maire de Guyenne, de la rectrice, du Chambellan, du Commandant de Guyenne et d'un Noble de Guyenne. "
Que de personnes insultées pour une rancoeur toute personnelle ! je pense qu'il n'avait pas mesuré l'ampleur des personnes concernées.

Et que dire des propos adressés à messire Louisnapoléon vicomte de Castelanne dans son courrier ?
Qu'au delà de l'incident regrettable, condamné vigoureusement par notre Duc, les propos deMessire Trent~Edison ont mis dans l'embarras toute la chancellerie de Guyenne qui oeuvre à une entente cordiale entres les peuples des provinces du sud-ouest.

Comme l'a rappelé Messire Romuald de Vaisneau, tout Guyennois est libre de s'exprimer.
S'exprimer en public veut dire mesurer ses paroles et user d'un langage qui n'offense pas par sa crudité.
Quand une réponse a été donnée avec justificatif de sa pertinence, il est malséant de continuer à polémiquer sur le sujet.
Utiliser des propos injurieux pour qualifier les membres du conseil et leur travail est inconvenant à tout le moins !

Le témoignage de Messire Dankan montre que Messire trent~Edison sait faire preuve de civilité et de courtoisie pour aider les nouveaux arrivants et par là même , sa ville et la Guyenne.
J'ose espérer que la tenue de ce procès lui fera comprendre la limite acceptable dans une critique constructive pour le bien du duché.
J'ose espérer qu'il est suffisamment responsable pour reconnaitre qu'il est allé trop loin dans sa façon de s'exprimer et dans ses propos.

En fonction de quoi je réclame à l'encontre de Messire Trent~Edison un emprisonnement de 3 jours qui je l'espère lui permettront de réfléchir sur sa conduite.
Je réclame en outre des excuses publiques envers toutes les personnes qu'il a insulté dès sa sortie des géoles.

Dernière plaidoirie de la défense :

Citation :

Trent se leva et dit: Objection votre honneur

Messire s,éloigne des raisons de se procès.

Tout les accusations aux nom du Duc Lachainep et tout les accusations sur les affaires a du duché na rien avoir dan ce procès.

Ce procès regarde uniquement et seulement moi et messire Romuald et personne d,autre.

Il fau pas oublié que s'est seulement messire Romuald qui m'accuse alors votre honneur restons la.

Je rappelle que messire n,est plus le duc et tout je que j'ai dit a ce moment là na rien avoir dans ce procès c'est a lu de porté des accusation a ce moment la quand il était le duc de guyenne.

Votre honneur si qui concerne la loi sur le salaire minimum en guyenne voici la preuve

Livre v Droit et procédure pénale guyennaise
CHAPITRE 1: Du code pénale
Article 1: de l,esclavagisme

tout embauche en dessous de salaire minimum l,égaux sera considéré comme l'esclavagisme ,le salaire minimum est fixé dans l,article III du livre VII du grand coutumier

voici se que dit l'article III du livre VII du grand coutumier.

tout Faquin qui osera utilisé ses dons de noblesse pour embaucher un innocent a un salaire obscène(inférieur a 15 écus) devra répondre d'esclavagisme.

D'après ses lois le salaire minimum en Guyenne est fixé a 15 écus.si j'ai bien compris c,est loi.

votre honneur avec tout je que j'ai dit je vous demande d'être RELAXÉ

Trent se retira et s'assoie

L'accusation a appelé Dankan à la barre :

Citation :

Votre Honneur,
Je me présente Dankan, nouvel habitant du Duché de Guyenne.
A mon arrivé depuis peu, j'ai eu l'occasion de côtoyer Sir Trent~Edison, son approche a été plus que courtoise, et m'as beaucoup aidé dans mon apprentissage, beaucoup de gens dirons qu'il est très civique et serviable...
Pour ma part, je ne l'ai jamais entendu proféré des insultes a l'égard d'un autre citoyen, mais utilisé des mots très simples et compréhensibles.
Il ne faut pas s'offusquer pour ce peu, parfois accepté les critiques constructive qui mène a nous améliorez au quotidien.
Voilà ce que je peux affirmer qu'il est vrai et entier, beaucoup de villageois de Bazas peuvent en témoigner.

Dankan se retira de la barre et assit au fond de la salle.

L'accusation a appelé Romuald_de_vaisneau à la barre :

Citation :

Voici son témoignage :
**Appelé à la barre, Romuald s’avança, un dossier sous la main. Ayant prit place, il salua le juge ainsi que le procureur et déposa le dossier.**

Monsieur le juge, je me retrouve ci lieux afin de demander application des lois de Guyenne.
Le prévenu ci-présent, messireTrent-Edison, a lors de multiples interventions porté atteinte à ma propre personne, à celle de notre Duc, sa Grâce Lachainep et plus récemment à la province de Guyenne.

Afin de vous permettre situation je rappel que les faits commencèrent lors de mon mandat de duc règnant.
Durant cette période de crise à laquelle nous étions confronté, il m’a fallu mettre en application nombre de mesures afin de redresser la situation de notre province. Parmi celles-ci la mesure de suppression du salaire minimum afin de favoriser les engagements miniers fut particulièrement visée par le prévenu.
Dès parution de cette mesure temporaire, messire Trent~Edison s’est élevé contre, argumentant une loi royale imposant le salaire minimum à 15 écus.
Après démonstration que cette loi royale, dont il n’a à ce jour toujours pas donné copie, n’est point existante et que ce qu’il interprète comme loi royale n’est qu’une généralisation au niveau de l’ensemble des provinces du Royaume portant le salaire minimum à 15écus, et que le seul salaire minimum est celui de 12écus qui nous est poussé par la bonne raison (IG), le prévenu a continuer d’exprimer son ressentiment vis-à-vis de ce décret.
**Romuald déposa les registres actant les paroles du prévenu depuis sa première intervention**
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Faisant monstre de patience et tenant sa réaction sur le coup de la crise que nous traversions, je n’ai jugé bon de donner suites aux mots parfois acerbes qu’il proférait en place publique. Allant à insulter le conseil et moi-même d’idiot, de minable ou encore de personnes ridicules.
Déclarant même, je cite « on na des dirigieant de mdr qui nous dirige » ou encore « je peu dire que après la ex duchesse Casandre les autres duchesses et les autre ducs même si. Ils ont faute une chose de bien (j'ai bien dit si) 90% c'est de la mrd(désolé pour le mrd)mais bon c'est que je pense. »
**Romuald sortit les preuves des dires du prévenu**
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Le temps passant et les mesures prises étant appliqués, je ne me suis pas inquiété du silence passager du prévenu. Mais lors de l’annonce du décret édicter par sa Grâce Lachainep et informant la mise en place du salaire minimum à 14écu, toujours dans la vision de favoriser les embauches minières, messire Trent~Edison refis surface. Recassant une fois de plus ses arguments sans fondements et recevant encore les mêmes explications et les mêmes réponses.
Cette réapparition de prévenu fut une fois de plus mise sur le compte de la situation de crise et sur les tensions existantes au sein de notre province.

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Aussi, sa grâce Lachainep et moi-même avions décidé une fois de plus de laisser là cette personne certainement mécontente s’exprimer librement en place publique, ce afin de démontrer que tout un chacun est libre de s’exprimer ce même si les opinions divergent de celles menées par le conseil élu.

Et c’est peut-être à tord que nous avons agit de sorte !

Car lors du récent incident militaire que nous avons connus avec nos voisins gascons, cet individu a pris plume afin de régir à l’entrée fortuite de l’armée gasconne. Vous me direz que tout sujet est libre de s’exprimer. Certes, mais les propos du prévenu dans cette missive ont engendré une dégringolade diplomatique amenant à une augmentation des tensions frontalières alors que le duc lui-même avait vivement et promptement réagit !
Aussi m’a-t-il fallu intervenir auprès du lieutenant de la garnison de Labrit, messire Louisnapoléon vicomte de Castelanne en Provence, ce afin d’expliquer que les propos du prévenu ne reflétaient en rien les pensées du conseil, que cet homme ne possédait aucune capacité responsable dans la gestion de la diplomatie de notre province et que sa lettre devrait, par sagesse et compréhension entre nos provinces respectives, être considérée comme missive n’ayant point d’existence ce malgré l’insulte faite au lieutenant de part ces mot « vous êtes chanceux que ne suis pas ambassadeur pour votre province si non je vous botterais vos fesses du à votre rang. »
Vous comprendrez que mon intervention dans telle situation ne relevait que du bon sens ainsi que de mon devoir visant à maintenir une bonne entente diplomatique d’avec nos voisins, et vous comprendrez de même que les propos du prévenu sont caractéristique d’un souhait de déstabilisation de la Guyenne par le biais d’une déchirure diplomatique.

**Romuald rendit alors une copie de la missive que Trent~Edison avait envoyé au lieutenant de la garnison de Labrit**
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Et cette intervention ne fut pas la dernière, loin de là. Car aussitôt ces propos tenus à son nom propre malgré la possibilité d’interaction qu’ils auraient pu avoir, et qu’ils ont d’ailleurs eu, sur la stabilité de notre province, voici que le prévenu continue à vociférer à tout va et à clamer, je cite « que notre duc et s’est conseillers de faire conneries sur des conneries et encore des conneries ».
**Tout en parlant, Romuald glissa le relevé sur le bureau du juge**
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C’est à ce demander qui fait idiotie si on tiens compte de la missive envoyée par le prévenu…

Et même plus ! Messire Trent~Edison INSULTE sa Grâce Lachainep en usant de mots que je ne pourrais répéter sans soulever un haut le cœur.
**Romuald déposa une fois de plus une copie des propos**
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Enfin … messire Trent~Edison part dans une divagation paranoïaque au sujet de la mise en place de la Banque de Guyenne. Critiquant une fois de plus les mesures prises par le conseil élu afin de favoriser la relance économique de notre Province.

**Romuald déposa la copie d’un geste lent, glissant au juge un petit mot « ne vous en faite pas il n’y a plus qu’un registre après »**
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Et continuant les critiques envers notre Duc, le conseil, envers la Cambra des Sabia et envers moi-même, ce en émettant un avis plus que douteux sur l’octroi du mérite Guyennois.

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Oui Monsieur le juge, la liberté d’expression existe en noter Guyenne et n’est pas réprimée.
Mais les propos injurieux, les tentatives de déstabilisation des institutions guyennoise et l’atteinte à l’intégrité de notre territoire le sont.
Et que puis-je dire de plus que de vous déclarer que les propos incessant du prévenu à mon encontre portent atteinte moralement à ma personne ainsi qu’à celle de notre duc Lachainep. Ce malgré la diplomatie et la patience que nous avons mis en œuvre afin d’écouter et de répondre courtoisement à ce troublion.

Oui Monsieur le juge, je demande que la loi soit appliquée et ce afin de faire prendre conscience au prévenu, que le respect des personnes ainsi que le respect des décisions prises par les personnes élues par le peuple est chose qui s’apprend. Et messire Trent~Edison devrait peut-être faire une introspection sur ce dernier point.

Ce sera tout votre honneur.

**Romuald, la mâchoire serrée afin de diminuer l’énervement qui prenait place en lui, se dirigea vers sa place et s’y installa**

Enoncé du verdict :

Citation :

Le prévenu a été reconnu coupable de trouble à l'ordre public.
En ce dimanche 18 janvier de l';an de grâce 1457, en vertu des pouvoirs conférés à nous de rendre justice et fort de notre autorité, faisons savoir ce qui suit :

Attendu les éléments présentés par l';accusation, et après examens du dossier, et audition des témoins.

Nous,Zazounette Juge de Guyenne, déclarons l'accusé coupable, et le condamnons à 3 jours de prison et a présenter des excuses publiques.
Ainsi soit-il !

*Le Juge frappa son marteau trois fois sur le pupitre.*

Affaire suivante.

Le prévenu a été condamné à 3 jours de prison ferme et à la peine de substitution suivante :

Excuses publiques