Illoria

Procès ayant opposé Illoria au Comté de Rouergue

Illoria était accusé de T.O.P..

Nom du procureur : Crysania
Nom du juge : Maharet
Date du verdict : 04/07/1456
Lieu concerné par l'affaire : Sur les chemins

Acte d'accusation :

Citation :

*Sans perdre plus de temps, la procureur prit la parole.*

Votre Honneur, en ce treizième jour du sixième mois de l’an de grâce 1456, j’ouvre un procès contre Illoria donc la demeure se trouve à Murat dans le Bourbonnais-Auvergne pour trouble à l’ordre publique.

Cette dame a effectivement troublé l’ordre sur la route entre rodez et Aurillac, le 10 juin, en s’en prenant à Dame Raelynn sauvagement, sans ménagement. Elle l’a battu jusqu’à l’inconscience, la laissant pour morte dans un champ avec ses enfants. Cette dame s’en est sortie, mais l’enfant qu’elle portait depuis peu, n’a pas eu autant de chance ! De plus cette femme sans scrupule, lui a prit tout ce qu’elle avait, 8 légumes, ses 56 écus et un couteau.

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Il est intolérable de laisser ce genre d’individu venir sur nos terre et de s’en prendre à nos habitants de la sorte !

J’appel donc à la barre ce Dame Illoria, pour qu’elle puisse se défendre, comme il est de coutume sur nos terres.

J’en appellerai aussi à Dame Raelynn de venir témoigner, nous raconter cet événement.

*Crysania se retournant et prit place sur son siège.*

Première plaidoirie de la défense :

Citation :

Votre honneur, je vois ici de bien mauvaises choses, encore une dame qui a du se faire violer, par un brigand. elle etait inanimé dans un champs, quand je l'ai decouvert, je lui ai aussitot porter secours, et quand elle a repris connaissance , elle c'est mise a m'insulter de voleuse...

Est-ce comme cela, que l'on doit traiter les touristes depensant leur argent dans votre comté !!!

Mais bon, comme elle etait en etat de choc, je deciderai de ne pas porter plainte contre ces attaques verbales.

Mes respects, votre honneur.

Réquisitoire de l'accusation :

Citation :

*Crysania se leva expressément après les deux témoignages et prit la parole aussitôt.*

Votre honneur, elle dit bien dépensé son argent dans notre comté, sur un nœud, où il n’y a pas de marché, mais que des marchants mandaté, des voyageurs et des champs !

Mais de qui se moque t-on ici ? Elle se fait de l’argent sur le dos des voyageurs, pour aller le dépenser à Espalion ? Ou plutôt à Aurilliac qui est beaucoup plus proche.

Quoi qu’il en soit, ce n’est point son argent votre honneur qu’elle dépense, mais bien celle des autres !

Je vais me répéter votre honneur, mais on reste marqué profondément de nos agresseurs, surtout à cette ampleur.

Cette femme ne pourra jamais oubliée ce qu’elle lui a fait subir. Il ne faut pas laisser l’agresseur impuni. Il faut qu’elle assume les actes qu’elle a posés !!

Il ne faut pas laisser ces les étrangers venir dépouiller les gens sur nos terres sans les punir ! Nous sommes un pilier de la sécurité des voyageurs et des habitants de la Rouergue. Autrement, ils reviendront et recommenceront.

Il faut bien leur faire comprendre, qu’au Rouergue, on ne laisse pas passé ce genre de chose.

Il faut pensée, à cette femme qui vient de perdre un être que le Tout Puissant lui avait accordé de porte et que cette femme lui a sauvagement enlever, devant les yeux innocents de trois enfants !

La Procure demande à la cours, trois jours de geôle plus une forte amande !

*Elle en avait fini, se rassoyant sur son siège, elle prit une grande respiration. *

Dernière plaidoirie de la défense :

Citation :

La personne intéressée ne s'est pas manifestée.

La défense a appelé Alexandre.le.grand à la barre :

Citation :

La personne intéressée ne s'est pas manifestée.

L'accusation a appelé Raelynn à la barre :

Citation :

Voici son témoignage :
*Raelynn se mit à la barre, impressionnée de se retrouver dans un tel lieu mais avec la rage au ventre*

Votre Honneur,

Je suis outrée que cette Dame ici présente puisse proférer de telles mensonges. J’ai peut être perdu connaissance après mon attaque mais je n’ai point perdu la mémoire. Je puis vous jurer que c’est elle

*montre du doigt l’accusé en la fixant du regard*

Qui m’a laissé pour morte, m’a sauvagement battu devant mes trois enfants qui sont maintenant traumatisés. J’ai aussi perdu l’enfant que je portais quelques heures après suite aux blessures qu’elle m’a fait.

* Crispe les poings pour s’empêcher de pleurer et jette un regard noir de fureur à l’accusée*

Cette femme a abusé de sa force contre une faible femme, a brisé ma vie. Je n’ai plus rien! Je compte sur vous, madame le procureur pour ne pas laisser cette personne impunie, pour qu‘elle ne puisse plus faire subir cela à d’autres.

* se rassoit, pleine d’espoir pour la suite de ce procès*

Enoncé du verdict :

Citation :

Le prévenu a été reconnu coupable de trouble à l'ordre public.
*C’est le regard noir*

Donà Illoria, levez-vous afin d’entendre votre sentence.

* D’un ton monocorde *

Vous avez peut-être vu en ce jeune Comté un moyen de vous enrichir, en vous basant sur son manque de lois propre. Mais vous devez avoir oublié qu’il existe en ce royaume des coutumes ancestrales régissant la vie sur nos terres. Et l’une d’elle interdit les actes de brigandage.

Aussi, Nous Maharet, juge du Rouergue en ce IVème jour du VIIème mois de l’an de Grâce MCDLVI vous reconnaissons coupable de brigandage avec circonstances aggravantes. Vous avez menti Éhontément à la cour, traité votre victime de menteuse alors que vous l’avez roué de coups jusqu’à la laisser pour morte.

*Elle reprend son souffle pour éviter de s’emporter*

Pour cela, je vous condamne à une peine de III jours de prison, à 100 écus d’amende et au bannissement de nos terres.

*soupire*

Le dossier suivant vous concernant, point besoin de sortir de la salle.

*Regarde le greffe*

Prévenez-moi quand vous aurez fini avec celui-là qu’on entame le second.

Le prévenu a été condamné à une amende de 100 écus et à 3 jours de prison ferme et à 3 mois de bannissement

Procès ayant opposé Illoria au Comté de Rouergue

Illoria était accusé de T.O.P..

Nom du procureur : Crysania
Nom du juge : Maharet
Date du verdict : 04/07/1456
Lieu concerné par l'affaire : Sur les chemins

Acte d'accusation :

Citation :

*Arrivé dans la salle, la procureur avait prit place sur son siège, regardant une dernière fois son dossier le temps que tout le monde soit arrivé et fin prêt. Aussitôt l’assistance à l’écoute, elle se leva, salua le Juge en inclinant la tête.*

Votre Honneur.

En ce quinzième jour du sixième mois de l’an de grâce 1456, j’ouvre un procès contre Dame Illoria donc la demeure se trouve à Murat en Bourbonnais-Auvergne pour trouble à l’ordre publique.

Cette dame votre honneur, sur la route entre Aurilliac et Rodez, le treizième jour de juin, a profité de la faiblesse de la jeune femme ici présente, Dame Lithana.

*Crysania pointa du doigt Lithana.*

Pour faire quoi ? Pour lui voler tout ce qu’elle avait. Soit, la somme totale de la vente de son champ, 400 écus, ainsi que 33 écus de ses économies et pour finir, deux miches de pain, de quoi tenir jusqu’à son arriver.

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Enfin, avant de terminer, j'aimerais préciser, que Dame Illoria est une récidiviste dans ce domaine.

L’accusation appel donc Dame Illoria à la barre, ainsi que la victime, Dame Lithana.

*Crysania se rassit.*

Première plaidoirie de la défense :

Citation :

Votre honneur, n'y a t-il pas de temoin ?

Les preuves dont vous me parler la , ne releve que de la seule parole de madame Lithana, et je doute de sa bonne foi.

Un garde m'aurait t il vu faire ce qu'on me reproche et que je refute inevitablement, car je n'ai commis aucune faute...

Il est vrai que j'ai croiser cette dame sur les chemins, mais bon, vous savez, les jeunes, avec une telle somme en possession, peut etre les aura t' elle depenser en taverne...

Je ne porterai as ce chapeau la !!!

Votre honneur, a vous de decider.

Réquisitoire de l'accusation :

Citation :

*Crysania écouta attentivement l’accusé. Levant les sourcils à ses paroles. Vint ensuite la victime. Elle nota quelques mots au passage des deux femmes, pour qu’ensuite, on lui demande de se lever pour le réquisitoire.*

Permettez moi votre honneur.

*La rouquine laissa du regard le Juge pour regarder Illoria sévèrement.*

Madame, si vous, vous avez un doute sur la bonne foy de cette femme.

*Parole et geste en tandems, elle pointa Lithana avant de la pointé maintenant à son tour.*

Moi, je ne doute point un instant de votre mauvaise foy dans ce tribunal.

Vous n’êtes point à votre première accusation. À vous entendre, ces eux les méchants et vous une douce dame de bonne famille.

Cependant ! Je me pose une question. Vous qui êtes du BA, qu’est ce que ce nœud, entre Aurilliac et Rodez, peut bien vous apporter ? Il n’y a que des champs… et des passants !

Voilà ce que cela vous rapporte de rester planté sur ce nœud, les passants. Rien d’autre que des passants.

*Elle se retourna devant vers le juge.*

Votre honneur, ses vils mensonges sont un outrage dans ce tribunal.

Cette personne, nous ment c’est évident ! Je ne sais pas qui elle essaye de convaincre le plus dans cette histoire, elle-même sûrement !

Elle peut tenté tant qu’elle voudra de ce convaincre qu’elle dit la vérité, mais ce n’est point à moi qu’elle va faire avaler ces mensonges.

Des témoins ? Une femme, se faire agresser, se battant pour rester en vie, n’à nullement besoin de témoin pour rester marqué du visage de son agresseur, qui plus est, se rappeler jusqu’aux vêtements qu,il portait.

Elle n'a pas besoin de porter le chapeau, puisqu'elle l'a déjà sur la tête.

Les preuves son claire, vous l'avez voler, la laissant sans un sous.

Votre honneur, j’ai toute confiance en votre jugement.

*Crysania se rassit sans dire plus.*

Dernière plaidoirie de la défense :

Citation :

La personne intéressée ne s'est pas manifestée.

La défense a appelé Alexandre.le.grand à la barre :

Citation :

Il ne s'est pas présenté.

L'accusation a appelé Lithana à la barre :

Citation :

Voici son témoignage :
Bonjour votre Honneur,
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Oui, je la reconnais, j'ai eu bien le temps de la dévisager pendant qu'elle me frappait et me volait Elle n'était pas habillée comme ça. Mais ce n'est pas parce qu'elle vient au tribunal en jupe rose que ça ne fait pas d'elle un bandit !
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Je ne vois pas comment j'aurais pu dépenser mes écus comme elle prétend, vu qu'entre Aurillac et Espalion il n'y a pas une seule taverne. Je ne suis d'ailleurs pas portée sur la boisson les taverniers d'Aurillac pourront le confirmer.
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Je venais voir ma soeur, Dame Debeaurains et j'ai essayé de marcher le plus vite possible sur les routes mais, vraiment, les temps ne sont pas surs.
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Je comptais m'installer ici avec mes économies. A cause de cette voleuse je vais devoir repartir de rien.

Je crois avoir tout dit, votre Honneur.

Enoncé du verdict :

Citation :

Le prévenu a été reconnu coupable de trouble à l'ordre public.
*Sourire désabusé esquissé par Maharet*

Donà Illoria, apparemment vous aimez le confort de nos tribunaux, mais nous, n’aimons pas les gens de votre acabit. Je pourrai encore faire mon laïus mais vous êtes sourde.

*Montre la plaignante*

Bien sur vous ne la connaissez pas, pas plus que vous ne reconnaissez être l’auteur de ce forfait !


* D’une voix de stentor*

Nous Maharet, juge du Rouergue en ce Vème jour du VIIème mois de l’an de Grâce MCDLVI vous reconnaissons coupable de brigandage avec circonstances aggravantes et récidive. Votre bouche est un nid à mensonge. La clémence ne peut vous être accordée. Pour cela, je vous condamne à une peine de V jours de prison, et vu vos moyens à 1000 écus d’amende et au bannissement de nos terres pour une durée de six mois à compter de ce jour, en cumul avec le bannissement de votre précèdent procès.

*se levant, point le doigt vers l’accusée.*

Puisqu’elle est si bien en geôles, conduisez là séance tenante entre nos murs !

Le prévenu a été condamné à une amende de 1000 écus et à 5 jours de prison ferme et à 3 mois de bannissement